Dessinateur. J'espère que ma fille sera fière.
J'ai arrêté les drogues non légales sur un coup de tête. Car j'ai un rockinch chair en bois usé et vermoulu. 
Je n'ai jamais reçu d'amour ou savoir le recevoir. Mais cela permet d'être intouchable.moralement irréversible..
Ma vie s'écrit au charbon. Ou la craie pour dessiner une marelle avec des odeurs de tilleuls.
Non  je ne cherche aucune compassion. Votre avis importe peu et ce cri est un croisement de vie. À la manière des libellules et des  crapauds je coasse dans la nuit. Certes j'aime à divaguer, pagaiyer dans les marais et le marasme humain. Mais j'avoue mon âge. 43. Je suis fatigué de la politique, des femmes et  des hommes.
Je souhaite tirer ma révérence à cette liberté que je  vénère et pourtant une amante morte dans un accident de voiture.
La politique actuelle, comme il faut forcément en parler et aussi importante que la météo, dû moi celle où les où les arbres dépassent mon balcon remplis de pieds de tomates savent vivre en bruissements et mouvements qui me retourne à mon existence pathétique.
S'enivrer de musique, de livres et de films n'est  finalement une solution. 
Des draps pouasseux de nuit blanche. Une pendule qui annonce 07h comme 19h.
Des bières et seresta qui rythme les heures.
Je suis définitivement mort. Mort de peur.

Une epoque cyberpunk en guise de préquelle à une époque semblable à la nôtre, lors de cette époque cyberpunk les machines ont pris l'avantage sur les hommes en effet la race humaine est devenue au fil du temps modifiée metabologiquement, physiquement et mentalement.
Lors de cette époque, la minorité dominante observant les ravages sur la santé et la sécurité dé cide de mettre en place pour les générations futures une nouvelle race humaine purgée le plus possible de toute modification cybernétique.
Cela est rendue possible par l'interdiction dans la loi de modifications corporelles sur les nouvelles générations, une purge chez les constructeurs et fournisseurs pharmacologique et la création sur un nouveau terrain / nouvelle planète d'une nouvelle génération sans lien avec les précédentes sauf par l'élite gouvernante.

Same man, plain of marie-jeanne 
Explain yourself and your plan in japan
Break your chains, don't let anyone enchain you again.
Peak to the mountain and say &quot;amen&quot; with singing without slying.
Credits : anonyme

Webcams adultes gratuites

Améliorant son quotidien, portant le bien, façonnant le destin.
S'exprimer comme il vient, pleurer pour rien.
Maîtrisant le passé, le matin au Lycée avec Lucien.
Souhaiter le juste, regarder le buste.
Retrouvant dans la brousse, les cheveux cassés de la rousse.
Miser sur l'azur, épurer dans la durée.
Et pour le temps, servir un contre à la rescousse.

Voir l'espoir, tendre son miroir.
Parler sans retenue, des biens comme convenue.
Croire sur un micro-terroir, craquer devant l'auditoire.
Théoriser sur le passé ému, grue grise comme l'avenue.

J'emménage avec toi.

Sur le toit, les flocons de neige se mêlent aux tuiles, ces dernières semblables à la floraison de tulipes changent de couleur au gré du vent.
Souvent, lorsque j'observe ton visage, des vies sages agrémentent bon gré malgré nos existences .
Parfois, la foi nous mène à de drôles d'apparences .
Maintenant, il est temps.
Temps de sortir du camion des vestiges du passé qui appartiennent au futur.
Rions, tant qu'il est possible d'un avenir plus mûre.
Les objets à leurs place, les affaires défaites, il est l'heure de la fête avec nos emplettes.

Je pars.
Je prépare mon départ.
Sans toi, la vie me semble étrange.
Ne m'oublie pas malgré que tu ne me suis pas.
Emma, tu ranges pendant que je cherche des anges.
Tu viens de te lever sous le ciel éclairé, pas-à-pas.
Tu es sur le divan seule à guetter le vent.
Je regarde ton beau visage pendant un long moment.
Je viens de m'assoir sur le canapé.
Nous rentrons dans la pièce, bien déterminés à nous aimer.

Dans l'ombre du choual anonyme sans audace, 
Sans testicule, caché sous sa propre surface. 
Il craint le regard, dissimule sa vérité, 
Timide, il évite toute forme d'authenticité.

Pas de courage pour affirmer ses box,
Il se perd dans l'anonymat, fragile équinoxe. 
Son silence parle d'une peur cachée, 
De ne pas être accepté, d'être jugé.

Pourtant, derrière le voile de la retenue,
Le choual sans testicule, est de petite vertu. 
Que son anonymat nous démontre sa valeur, 
Celle d'un gros lâche dans toute sa splendeur.

Que le choual trouve en lui la force d'être vrai, D'assumer ses box, ou de flopper sans regret.
Car dans chaque silence, peut naître une voix, 
Celle du choual authentique, qui assume ses choix.

Je pars.
Je prépare mon départ.
Sans toi, la vie me semble étrange.
Ne m'oublie pas malgré que tu ne me suis pas.
Emma, tu ranges pendant que je cherche des anges.
Tu viens de te lever sous le ciel éclairé, pas-à-pas. 
Tu es sur le divan seule à guetter le vent.
Je regarde ton beau visage pendant un long moment.
Je viens de m'assoir sur le canapé.
Nous rentrons dans la pièce, bien déterminés à nous aimer.

Tous les matins, sur le chemin qui me mène au travail, je vois toujours à la même heure le même adolescent. Dans la nuit noire de décembre, il longe la voie où les voitures foncent, menant leurs conducteurs encore hagards, tirés de la chaleur de leurs rêves par le réveil quotidien qui les a extirpé d’une nuit trop courte. Le front déjà plissé de rides de soucis, l’adolescent vêtu de son gilet réfléchissant éclaire l’herbe devant lui avec la lampe torche de son smartphone. Dérisoire tentative de se rendre visible aux yeux encore mi-clos des zombies motorisés. Il n’y a aucun trottoir à cet endroit, pour rejoindre l’arrêt de bus auquel il doit se rendre dès 6h45 pour rejoindre son école. Les pieds trempés par l’herbe inondée des pluies torrentielles qui ne s’arrêtent plus de tomber depuis un mois, je l’imagine, la morve au nez et les orteils gelés, se demander ce qui est le pire entre être malade et fatigué six mois de l’année parce qu’il vit dans le fin fond de la campagne des bouseux, et être mort parce qu’il aura choisi de marcher sur la bande blanche de la route. Chaque voiture qui file à plus de 90km/h tout près de lui est comme une balle de fusil qu’il espère et qu’il craint en même temps.

C'était un au-revoir.
Pour te voir, je modifierai les trottoirs.
Pour t'apercevoir, je défierai le directoire.
Malgré les rois et les parrois.
Les rouages mages créent le sage.
Je tourne la page et le sentiment s'accroche au maintenant.
Et là, la marée détourne la roche gravée sur l'instant.
Et pourtant, on en oublierait le moment.

Nous pourrions rêver notre vie.
Pourriez-vous jouer dans des forts ?
Sous l'olivier ou le poirier espérant avec votre mie.
D'où le tenancier pleurer qui nous endort.

Apprendre ou prétendre, espérer ou casser.
Tout cela n'a d'importance pour l'errance.
Mériter ou bien espérer, rendre ou prétendre.
Mais la voix n'entrevoit que le chemin mince et rance qui pousse à la fulgurance.

Rebrousse chemin et laisse sur le pouce ceux qui délaissent et fuient la vie.
Berce ceux qui prient à l'envie et se laissent porter par la mousse et glousse jusqu'à l'avoir dit.

J'irai chanter n'importe quoi, zina reviens-moi !
J'accrocherai une photo de toi, zina pardonne-moi !
Je laisserai nos rêves me hanter, zina explique-moi !
Je graverai ton nom aux sommets, zina ne pleure pas pour moi !

Le choual mort rêve de gagner des points,
De poster encore, de pointfager en vainqueur,
De sentir les pos' fouetter sa main page,
De poster librement, sans aucun barrage.

Mais hélas, il est là, étendu sous le sol,
Son corps sans vie, son esprit envolé,
Il ne peut plus poster, ni même commenter,
Son rêve de pointfag s'est ainsi envolé.

Pourtant, dans son sommeil éternel,
Il voit des pos, des trophées, des médailles,
Il entend les outrances du g/fun en délire,
Et il se sent de nouveau vivre.

Mais la réalité est cruelle,
Le choual est mort, il ne peut plus rien faire,
Il ne peut plus nous lire, ni même poster
Son destin est scellé, il ne peut plus changer.

Pourtant, dans nos cœurs, il restera vivant,
Son humour, sa fougue, son esprit triomphant,
Nous rappellent que la vie est un combat,
Et que même dans la mort, on peut encore briller
Mais lui est déjà mort et vous un jour allez crevez

Que vous soyez illustre ou bien sombre inconnu
Sache choual qu'un beau jour tu l'aura dans le cul




Moi

Moi, martyr, je ne saurai être maître de moi-même 
Moi, martyr, je ne saurai reconnaître tout le monde.
Moi, martyr, j'oublierai.
Moi, martyr, je changerai d'apparence physique surtout quand je ne le voudrais pas.
Moi, martyr, je vieillerai.
Moi, martyr, je voudrai mourir.
Moi, martyr, j'aurai peur.
Moi, martyr, je ne saurai plus quoi écrire.
Moi, martyr, j'aurai du mal à lire.
Moi, martyr, je n'entendrai plus très bien.
Moi, martyr, je serai l'humanité.

Un nain déguisé en feuille d'érable se tenait à peu près débout, il était complètement ivre.
Un druide qui passant par là lui proposa de le soigner de son ivresse, le nain accepta mais qu'à la seule condition d'attendre que sa gueule de bois commence, ce que le druide refusa. Il ne lui proposait que de le soigner à l'instant présent.
Le nain accepta à condition de pouvoir reboire.
C'est alors qu'un chevalier arriva, il avait entendu toute la conversation, il disposait de deux chevaux, il leur proposa un marché : le druide soigne le nain et le chevalier emmènera les deux en boîte de nuit médiévale située dans un jardin avec des lumières en huiles en guise de guirlandes, une boule à facette tout de vert vêtue en fleurs, en guise de musique des bardes étaient disposés avec des gramophones en métal.
Le druide accepta à condition de pouvoir vendre ses potions.
Le nain accepta à condition de pouvoir boire à volonté.
Le chevalier les y emmena et y firent la fête toute la nuit.
Le chevalier ramena une princesse, le nain se désoûla à la potion du druide et le druide vendit toutes ses potions aux ivrognes qui firent nombreux il faut le dire, le druide aida même un barde à mieux chanter grâce à une potion aux herbes euphorisantes.
Un jour, en guise de cadeau, on construisit une carapace au chevalier,  Une armure en écailles et en os construite par un ami du nain, un forgeron.
Alors, ce jour-ci, le chevalier s'en alla chez le druide et lui qui s'y fort en alchimie, se fit quémandébune confection de boisson alcoolisée qui garantissait l'absence de nausée pour tout le monde.
Un an passa, puis le druide convoqua le chevalier au plus vite par lettre d'oiseau.
Il avait réussi à confectionner cette boisson mais il ne fallait pas la boire plus de deux fois par jour, en bouteille de préférence.
Le chevalier remercia le druide, alla chez le nain et lui passa le mélange tout en le prévenant.
Des jours passèrent et un jour un grand jeune homme se présenta chez le chevalier : il avait surconsommé la boisson.
Le chevalier fut surpris et se demanda quel effet cela aurait sur une personne grande, il surconsomma la boisson et son ventre grossit : il ne rentrait plus dans son armure, ce qui lui donna une bonne excuse pour ne plus combattre.
La morale de cette histoire est qu'il faut consommer avec modération mais parfois sans modération.

Je suis là, dans mon train,
Devant moi, ses gros seins,
Je la matte, l'air de rien,
Dans mon froc, sa douce main.

En fait non, j'imagine,
Ce doux rêve, sur ma pine,
Moi son loup, elle lapine, 
Moi si laid, elle divine. 

Son visage, sans botox, 
Moi en cure, de détox, 
Son gosse joue, sur Roblox, 
Et moi pense, à Choualbox. 

Elle se lève, dit &quot;Bonsoir&quot;, 
Je lui zieute, son boulard, 
Sur le quai, son rencard, 
Salue, mon désespoir.

Tantôt la soirée, tantôt le matin,
Mais toujours à la croisée des chemins,
Arrive le moment de s'y engager,
Le droit ou le gauche, il faudra trancher.

Le texte officiel ou bien le Rousseau,
Aidera à choisir celui qu'il faut.
Un peu de glucides grâce au Palmito,
BAM ! C'est plié, j'actionne le cligno.

Bien sûr, cela était trop facile,
J'aurais dû calculer ce débile,
Mattez-moi cet idiot, ce fragile,
Il sort sans contrôle : carton et ça pile.

Je lui tends le doigt au bout de ma main,
Sors direct et distribue des bons pains.
Ça calme même si ça sert à rien,
Surtout pitié : parlez plus de rond point.

La vie nous vois si bas, a vu nos tête las
Vas-tu mettre, cherie, le bras de ce gars là ?
On s'est rempli de soi, s'est mis dans de beaux draps.
Tu ne sais pas, alors, que tu es toute à moi ?

Ta voix me dit tout haut de n'être qu'un ami.
Mais quel est donc ce sort qui nous tiens corps à corps ?
Qui nous prend de plaisir à se faire la cour
A court d'idée de mire, à court de vis à vis.

Fait de moi le Saint-Cyr, digne de ton amour,
Sans quoi je reste un homme à qui tu fais du tort.

Éloignés de la mort, éloignée de mes paumes
J'espère avoir dès lors, noyé dans ce poème
Ne serait-ce que ton corps, écoute moi, je t'aime

Je ne marche pas droit sur les trottoirs de Bordeaux car les trottoirs sont trop étroits pour moi.
J'ai besoin de place. Pour laisser vivre mon corps et ma race.
95 kg à déplacer sur 60 cm de large et 1m85 de haut.
Une armoire rustique de mauvais goût pour certains et un enfer pour les enfants citadins en toc de bric et de broc, connards en stock,
Je suis le dur, le stuc, le formica, la brique brute, le suc brut punk et la mort Ikea.
En moi, les charnières qui grincent et l'odeur de papier, albums photos de famille et bouteilles héréditaires et de verres poussiéreux.
Cette Armoire est secrète et pourtant ouverte à l'invité sûrement indiscret. 
Peu importe. Je serai toujours derrière toi. À te décortiquer le crâne qui craque soudain comme une cartouche de chasse qui claque au bon matin.
À l'heure de l'aurore et du pain.

J’entre dans la salle de bain, sans même prendre la peine de fermer entièrement la porte. Sur le bord de l’évier immaculé, plus étincellant de propreté que le cul d’un chérubin, il y a un porte-brosse à dents, avec deux brosses qui sont utilisées régulièrement, vu la courbure soyeuses des poils. Une rose, et une verte. A côté de l’évier se tient un trône, tout aussi éclatant de propreté, blanc comme l’émail des dents de Thierry Ardisson. La cuvette et le couvercle sont rabattus. Une petite bougie parfumée et un pot pourri donnent une odeur fleurie à ce lieu aseptisé, sorti de je ne sais quelle publicité. Ça me fout une angoisse monstre.

Pas un poil de bite, je me dis en mon for intérieur. Pas un grain de poussière. Pas une trace d’eau séchée sur le rebord de l’évier. Même le miroir était parfaitement propre. Il me renvoyait l’image titubante d’un homme amer aux joues poilues éclatées de minuscules veines rouges.
Je crache un molard à la face du salopard à binocles dans le reflet et cet enculé de vicelard ne trouve rien de mieux à faire que de me répondre par un sourire carnassier et goguenard pendant que dégouline l’épais crachat sur la glace qui nous sépare. Sale con, bien planqué derrière sa vitre, comme ces petits puceaux révolutionnaires derrière leurs smartphones.

Je déboutonne mon jean, je sors ma queue et je pisse dans l’évier, non sans prendre grand soin à tanguer le plus possible sur mes appuies, ce qui me permet de maculer l’ensemble de goutelettes ou de jets plus abondants selon ce qu’en décide le vent, le destin ou mon ébriété. A ce moment précis, je suis un véritable artiste. Ouais, un vrai, comme ce connard d’Andy Warhol. La fièvre créatrice s’empare de moi ! J’égoutte la vipère sur le tapis, je range mon pinceau, et je regarde dans le miroir dégoutant.
- Tu vas voir, tu vas aimer la suite, je lui dis.
- J’en doute pas une seconde, qu’il répond avec son sale sourire de sale petit fouteur de merde.
J’attrape une serviette de toilette bien posée sur son foutu sèche-serviette, lui aussi vierge du moindre grain de poussière, et j’essuie le molard sur le miroir, puis je remets soigneusement la serviette en place.
Puis je baisse carrément mon froc et le calebard itou. Tout sur mes talons, les pieds légèrement écartés, le cul présenté à l’infortuné visiteur qui aurait le malheur d’ouvrir la porte pendant ma création. Ce gros pédé dans le miroir semble apprécier la vue. Pédé.

Je m’empoigne et je m’astique vigoureusement. Dès que ma queue est raide comme la Mort, j’enfile un gant de toilette propre pris dans l’armoire sur l’outil de l’artiste, et je recommence avec une passion mécanique mon oeuvre. Même ce putain de gant de toilette sent les fleurs. Il a du être baigné dans la soupline, il est doux comme de la soie.
- T’es beau gosse, me dit l’autre.
Quelle tante, celui-là. Je l’ignore, et je continue, jusqu’à enfin lâcher tout. Je serre comme si j’étais l’étrangleur de Boston, je n’en laisse pas une goutte, et puis je remets le gant de toilette à sa place.

Je continue encore de me pogner un peu nonchalament.
- Qu’est-ce que tu fous, t’as pas fini ton spectacle vieux dégueulasse ?
- Attend, faut que ça devienne bien crêmeux autour du gland.

J’attrape la brosse à dent rose, et je récolte sous le gland et le prépuce la précieuse crême fabriquée avec patience. Je la dépose sur ses poils adoucis par des semaines de brossage quotidien, trois fois par jour, après chaque repas, et sans jamais oublier le fil dentaire.
- Toujours finir par une petite douceur, mon con.
Je remets la brosse à dent à sa place, remonte mon froc, boutonne et je retourne dans le salon. Ma nana a l’air morose et abattue, mais elle ira bien mieux dans quelques minutes. La belle-mère me propose un café, le beau-père ajoute qu’on y mettera bien la goutte avec, entre bonhommes. J’ai déjà eu ma petite douceur, alors je refuse poliment. Il ne faut pas être trop gourmand, il faut savoir s’arrêter, je dis. Je les remercie en essayant d’articuler du mieux que je peux, sans bafouiller, et je les félicite encore pour le repas. On sort sur la terrasse, eux avec leur café, moi avec un Meharis nature, et leur fille avec une tronche de trois kilomètres. Je propose un cigarillo au beau-père, il accepte. Je lui tend avec mes mains impregnées de fluide, et je lui allume dans le bec. On échange quelques banalités, et je prends congé avec leur fille qui n’a eu pour déjeuner que des reproches, des brimades, et des humiliations diverses. On fait la bise, on sert la main. Elle monte à droite dans la voiture et je la rejoins à gauche pour prendre le volant. J’ai un peu le tournis, mais ça va aller. Elle fait son sourire forcé pour saluer ses vieux parents, qui nous salue en retour de la main sur le porche de leur maison de merde sortie de je ne sais quel publicité. Karsher, ou Gedimat, ou pour une marque de peinture d’extérieure de couleur pour les volets, ou pour les robots tondeuses.

Au moins, le repas ne nous a pas coûté un euro. Et puis c’est pas tous les jours qu’on peut bouffer des coquilles Saint-Jacques quand on est un type comme moi. Enfin, la prochaine fois, on reviendra probablement pas. C’était quand même assez cher payé, pour des noix de Saint-Jacques, j’ai du donner de ma personne.

J’aime pas trop qu’on emmerde la femme de ma vie.

Bon. 
Rapport de l'interzone: Ville de Bordeaux. Grève des  transports bus et Tram. Soit la TBM. Des branleurs, (taper ça sur un site porno ça s'invente pas) recrutés sans aucune utilité sinon appuyer sur un levier déjà automatisé afin de pourvoir à leur incapacités physiques et cognitives.
Depuis jeudi dernier des syndicalistes font le tapin auprès de ces fières guerriers et se tirent la bourre pour un &quot;Bras De Fer&quot; avec la société Keolis. 
Brusque introspection dans la réalité. Un Tram toute les 20, 10, 7 minutes. J'aurais préféré un arrêt total du service. Faire grève à 80% c'est terriblement lâche et aussi insipide que le nouveau maire de ce cloaque Bordelais.
Bref, le constat est sans appel. Stations bondées de minables viandes. Tôt tu as les ouvriers pantalon crasse, sac à dos Basic Fit, les femmes de ménage des immeubles de la TBM, la ville de Bordeaux et les gens comme moi. Passé  07h15, arrive les étudiants en boutons et doudoune flanquée The north Face. À chaque arrivée de wagon de FDP de conducteur collabo qui doit enfin se sentir utile en faisant tinter sa cloche de ramasseur de cadavres pendant la peste noire, la viande se tasse. Pousse, se comprime, écrase. Plus de problèmes de froteurs et de respect car femelles et mâles de toutes races mélangent leurs mains vermoulues par le froid sur des barres en métal, odeurs d'haleines de cafeinomanes, de sueur ou eau de toilette, reste d'une nuit d'errance de roumains frigorifiés. Quelques reptiliens dejouent les règles de l'anatomie pour arriver à extraire leur appendice GSM. On serait à poil ça ressemblerait à Society, le film. D'ailleurs la rame se transforme en tentacule humaine. Au grès des virages tremblotents des rails conducteurs. Chaque balancement et arrêt de la bête immonde reçois sa perte de morceaux descendants et nouvelles greffes. 
Oh, mais au fait, je ne voulais pas pondre ça. J'en veux uniquement aux cancers qui insistent pour tricoter nos corps de leur bras degoutants pour valider leur carte d'abonnés TBM à la borne.
Quelle race de mort.

Je ne comprends pas, Monsieur. 
Je ne sais pas, Monsieur. 
Quel drôle de bracelet, Monsieur. 
Elle m'a pris, à Paris, ma Mercedes, Monsieur. 

Je ne savais pas qu'en France, Monsieur. 
Je ne savais pas, Monsieur. 
Je l'ai juste insulté, Monsieur. 

...Quel drôle de bracelet, Monsieur. 
Je suis enfermé, chez moi, Monsieur. 
Je suis de la viande crue en barquette, Monsieur. 

Il faut m'aider Monsieur. 
Et ça même si je n'assume pas d'avoir cogné ma femme, Monsieur. 
S'il vous plaît...Monsieur...

A l'ode de nos aïeux, garants de la mémoire 
La crainte du détail amène l'homme à croire
Que son être est destiné à subir l'éclipse
Pour naître au levant, de sacrifices et supplices.
Prêt à servir la cause à portée d'un malin;
Dans la quête d'un sens, répété à dessein.
L'harmonie d'un refrain qui s'entête à boucler,
S'enfoncant comme un clou dans le crâne esseulé
Entraîne avec ardeur au néant l'orphelin.
Quelques sons inconnus charment le cherubin
Sans savoir qu'il perd pied de son socle trempé,
Il jure ses aînés sans guerre de respect.

Vu les réactions de hier sur mon texte anti femmes et les putes qui m'insultent en Mp plutôt qu'en public. Voici la suite.

Il est important de rappeler que depuis la nuit des temps, l'homme doit garder un secret afin de faire perdurer l'humanité.
Leur instinct les pousse à voter à  gauche  être  humaniste et bienveillante.
Faire du social, hôpital, enfance, école aider les petits chats et les noirs avec des mouches dans les yeux.
Un secret que chaque vrai homme est obligé de prendre en compte. Depuis l'éducation de sa propre mère jusqu'à la meuf qu'il baisera par réflexe .
Ce secret ? Les femmes sont stupides et ne servent à rien.
Chaque prise de position ou d'évolution, création ne peut naître avec une fille, elles ne fonctionnent pas avec les même parties du corps humain. Cœur et cerveau.
Une discussion avec une femelle est totalement improductive. 
Derrière Chaque femme il y a un homme qui a eut le bon sens de lui avoir appris les bases de la culture et du monde. 
Tout cela pour se vider les couilles dans un con vivant et pas la main. 
La plupart des réactions de feministes est d'infentiliser les mecs afin d'avoir un semblant de pouvoir alors que le droit de vote est déjà une aberration. Faire le ménage, parler fort et organiser des soirées à thème est votre seule activité culturelle. 
Le problème, est également le fait que les pd de mecs ont été éduqués par une femme et donc fragiles. La nouvelle société a voulue que  le mec se barre très vite.
La péridurale à été créé par un homme au fait.
Au pire elle va finir formatrice en communication pour des séminaires de fonctionnaires, divorcée, réside dans la baraque à la campagne que son ex à construit de ses mains.

À toi, femme, qui n'aura finalement rien fait de ta carcasse à part devenir mère et trouver un intérêt dans ta vie de merde. 
Chier un gosse pour faire plaisir à tes ancêtres   sans noblesse. Tu vas pourrir les allocs, faire chier dans le tram avec ta poussette et ton gros cul de jeune maman.
Quel que soit le job que tu occupe, ton statut, tu te sacrifie comme une vieille pute à ton destin de pondeuse. Trou à foutre.
Tu es destinée aujourd'hui à attendre de la sous marque d'hommes de compagnie, la pilule puis l'infertilité.
Les seins qui pendent, une chatte en descente d'organes escalopes. Des discussions et un patrimoine culturel hérité de tes ex masculins usés jusqu'à la corde. Tu n'aura jamais le courage de te suicider. Comme un homme.

PlumeDeChoual - À vos plumes ! | Choualbox

Vous aimez écrire mais personne ne lit vos statuts facebook ? Ou vous êtes juste curieux de la créativité littéraire des chouals ? On poste ici tout ce qu'on sait faire: poésies, nouvelles, romans, contes, chansons etc. Vous pouvez mettre entre crochets le style d'écrit que vous postez dans le titre. (ex: [poésie] [chanson] etc.)

La limite de caractères est à 9999 on peut pas plus, si c'est pas assez il existe des sites d'upload de texte tel que: ***http://textuploader.com/*** par exemple. Pensez à écrire sur un autre support que CB directement pour éviter de tout perdre ou sauvegardez vos écrits régulièrement.

Essayez de mettre des images c'est plus agréable à voir !

**Attention ! Pas de copié/collé !** Tout ce que vous postez doit être de vous ! (comme pour le cgw mais on vous demandera pas de timestamp)

PS: Les grammar nazis sont les bienvenus, certaines fautes échappent à la relecture si vous en voyez signalez-le vite pour qu'on puisse corriger !

g/plumedechoual

Synopsis d'une histoire de science-fiction

Poésie

Poésie de nuit.

Poème de nuit.

Poème du soir.

Le Choual Anonyme

Poésie inversée.

Wet White Trash

Poésie de nuit.

Poésie du soir

Le choual mort

Moi, martyr.

Fable à anti-morale

Sûrement un choual.

On tourne en rond.

[Poésie] Dénuement d'un dératé

Message de l'interzone.

[NSFW]Une brosse à dent rose et une brosse à dent verte.

Je vous chie à la gueule avec un discours écrit en 7 minutes entre ma pêche du matin et ma cuisson de raviolis. Vous pouvez m'embaucher si vous avez une allocution publique à donner, je prends 2 centimes du mot. #EcrivainPublic

Rapport de l'interzone : TBM Race de mort

Travail social

Petit alexandrin rédigé à l'aéroport

Femmes je vous aime 2

Femmes je vous aime...