Je conduisais mon chariot de fer et de métal
Soupirant face à la grisaille de ce début de soirée
Je me laissais abattre par la fin de cette journée
Perdu dans une vie enfermée au cœur d’un dédale.

Morose d’humeur et d’aspect, je tenais mes mains sur le volant
Lançant la bête au travers des chemins tortueux
Du Nord de Lyon, à l’approche des monts des envieux
Quand surgit sur ma route un ange blanc.

Blanc de robe et blonde de cheveux,
Elle marchait d’un pas hâté et voluptueux
Des écouteurs dans les oreilles, afin de ne point entendre les rationnels

Elle est passée devant mon chariot,
Disparaissant sans un mot
Mais laissant derrière elle, comme un parfum de soleil

J'en parlais avec des potes et j'ai appris qu'il y avait plusieurs façon de jouer aux billes. Personnellement je jouais au cercle : un cercle rempli de billes, tu tires une bille pour faire sortir les autres du cercle, tu gagnes les billes sorties.

Et vous ?

Je fouille dans mes souvenirs et retrouve des extraits de mes premiers textes. Un cimetière envahi de ronces, pourtant une âme à sauver. Voilà comment j’étais à mes début, mais aujourd’hui je suis retourné à la poupée.
Ah la poupée… Mon plus étrange texte. Sans doute deviendra-t-il mon Necronomicon personnel : un texte qui n’existe pas, seulement pour moi. Un texte où j’ai aperçu le danger en moi. Un texte dangereux, ou simplement hurlant d’une profonde douleur. Un homme qui se transforme face à une réalité qu’il ne peut supporter, devenant ce qui l’intriguait et le dégoutait tant.
J’écris, ainsi, sans savoir si je le posterais, si je l’assumerai. Ecrire est bien la seule chose que je sais faire, à part me beurrer la gueule, faire croire que tout va bien, suivre des rêves qui me semblent plus étranger de jours en jours. Serrer les dents en entendant les gens autour de moi qui disent des choses plus abrutissantes que jamais.
Je souhaite mourir mais je n’ose passer à l’acte. Je veux vivre mais je suis coincé dans la mélasse de mon ennuie et de mon dégoût. Je ne sais que faire alors j’écris. J’écris pour épuiser l’encre de mon mal-être, de ma déception de ma brisure.
Le monde doit brûler et je veux le contempler. Ce cadavre brisé dont je me ferais une joie de partager la nuit refroidissante, enflammant mes passions. Je me dégoûte de ce goût du morbide, je ne veux plus voir les vivants. Je veux voir le tableau sublime de la fin des temps.


c'est un jeu de plateforme en 2D sur PC sur un CD où il y avait d'autres jeux autour de 2008 mais il peut dater d'avant, le fond et le premier plan ne bougeaient pas au même rythme, le héro est un garçon blanc cheveux court brun t-shirt orange (normalement), premier niveau foret les ennemis dont je me souvient c'est : écureuil qui jette des noix en diagonales ou ligne verticale, un sanglier qui charge, des oiseaux qui plongent à pique. y'a des niveaux dans des pyramides en ennemie là je me souvient des scorpions, niveau manoir aussi, niveau dans l'espace aussi

Voilà... Si vous trouvez GG à vous.
Merci et joyeux noël

Après des années de fiers et glorieux services mon casque de gaming avec micro m'a laissé tombé (RIP à toi).
Voulant profiter de la période de Noël je recherche son remplaçant mais je suis perdu dans les propositions.
Ce que je veux surtout :
- un bon confort
- une qualité de micro optimale
- une bonne qualité son

Le branchement peut se faire en USB ou en jack pour un budget d'environ 100 euros.
Si vous avez des retours et des conseils à me donner je prends.

Nanowar Of Steel - Norwegian Reggaeton (feat. Charly Glamour &amp; Gigatron)

(Si vous avez toutes les références félicitations)


AZIS  - Sen Trope / &ETH;&ETH;&ETH;&ETH;&iexcl; - &ETH;&iexcl;&ETH;&micro;&ETH;&frac12; &ETH;&cent;&Ntilde;&ETH;&frac34;&ETH;&iquest;&ETH;&micro;

T&Atilde;&copy;o Lavabo &acirc;&cent; Chipolata (Clip Officiel)

Bon ben ça y est, aujourd'hui ça fait 5 ans que je suis là pour une activité extrêmement variable. Il s'en est passé des choses en cinq ans : un job, une réorientation, un dépucelage, des projets, de l'écriture, un nouveau rêve.

Beaucoup de mouvements sur le site aussi, mais l'essentiel reste le même. C'est cool.

Le g/plumedechoual survit, LeTenia a écrit un super bouquin, les gens avancent mais passent dire bonjour de temps en temps. C'est cool.

La marche d’un homme solitaire
Est une musique qui ne saurait jamais se taire.
Il avance dans la campagne silencieuse
Loin de la ville dispendieuse.

Cet être solitaire chante pour sa muse
Qui marche à ses côtés, amoureuse
De cet être sublime qui la rend heureuse,
Qui l’a fait rire et l’amuse.

Le poète écoute le silence de la nature
Et apporte avec lui le bruit des rimes
Offrant ainsi à la vie une sublime sculpture

Qui fait oublier à l’humanité ses crimes.
L’homme est un pêcheur
Et le poète son divin sauveur.


J'avance pour la gloire de mon pays
Avec moi mes camarades hurlent leur fureur.
Devant nous fuient nos ennemis
Notre victoire viendra dans l'heure.

Notre Empereur est notre Dieu
Nos ennemis ne sont que de la chair à canon
Nous ne craignons personne, pas même eux
Car la Justice fait partie de son Nom.

J'attends depuis tant d'années son retour
Alors que je m'occupe des restes de notre famille.
Nous payons encore tous les jours
Pour combattre, dans le pays, la famine.

J'ai reçu cette lettre et cette médaille.
Le pays est mort, voici le dernier hommage
Un tyran nouveau récupère ce pays de paille
Alors que moi, il ne me reste que les larmes de mon âge.

 est une divine mission
Qui blesse ceux qui nous attendent.
Alors que pour le pays nous foncions,
Ce dernier tombe, laissant les nôtres rampants.

J'avance dans cette immense bibliothèque, un corbeau sur l'épaule
Le silence n'est brisé que par le son de mes pas et de son croa
J'avance dans ce songe du passé, un visage ancien à mes côtés
Qui doucement chante, de sa voix de mort, &quot;Nevermore&quot;

Je continue mon chemin, bizarrement accompagné
De cet oiseau et de ce mort, au son du &quot;Nevermore&quot;
Chaque livre est couvert de poussière, celle qui couvre cette planète
Et pourtant un écho me fait croire à la vie.

C'est une voix étrange, composée d'un millier d'autres
Qui chantent la joie de la connaissance de choses et d'autres
Pourtant je ne peux pas les atteindre, ils sont partis en fumée
Laissant, le corbeau, la mort et moi chanter &quot;Nevermore&quot;

Alexandrie a brûlé
Atlantide a coulé
La connaissance est perdue
Nous ne l'aurons &quot;Jamais plus&quot;

Je m'étais promis, en voyant la box de LeTenia, de me procurer ce bouquin. D'une part car j'aime bien ce qu'il écrit ici, et d'autre part car il l'a bien vendu. Je viens de le finir, je vais donc dire à chaud ce que j'en ai pensé.

Commençons donc... Mais par où ? C'est un livre de 100 pages, absolument malsaines, immondes et dérangeantes. Et c'est bien cela qui rend ce livre fascinant. C'est trash, c'est cash, le héros-narrateur s'en fout du jugement, très clairement. Se racheter ? Se faire comprendre par ses lecteurs ? Non, le pacte de lecture est tout autre : cela va être sale, cela va choquer et je m'en fous. On le ressent encore plus lors de la retranscription (absolument scandaleuse) d'une cassette audio au contenu immonde. Le narrateur est malsain, a tous les défauts du monde et considère l'humanité seulement comme des &quot;viandes&quot;. C'est immonde, c'est dégeu, c'est familier... Mais c'est magnifiquement bien écrit.

Voilà pour la fond, passons à la forme : C'est un journal, écrit simplement. On n'est pas dans le piège d'un journal trop bien écrit par rapport au personnage et pas non plus dans le piège inverse. C'est un bon équilibre, c'est dynamique, ça se lit vite, voir même, excusez le mauvais jeu de mots, ça se dévore. On est plongé dans des aventures dérangeantes mais raconté d'une manière simple. On n'aime pas ce personnage, très clairement c'est le méchant de l'histoire, mais la curiosité morbide nous pousse a une certaine fascination.

C'est un bon livre.
C'est une bonne écriture comme attendu de toi LeTenia.
C'est glauque et immonde, mais étrangement on en redemande encore.


J'explore le rivage d'une île perdue
Dans l'océan de mon esprit
Je vois les conséquences de ma vie
Une vie agréable, mais méritais-je tout ce que j'ai eu ?

J'explore la maison que j'ai bâti
A la sueur et avec le sang de mes mains
Tout ça pour le bonheur des miens
Mais d'autres me les ont pris

J'explore le jardin de mon savoir
Des connaissances accumulées et cultivées
De nombreux fruits j'y ai fait pousser
Mais ils ont été détournés en un soir

J'explore mon île du dedans
Rien ne m'appartient ici
J'ai piqué mon savoir aux sagesses d'antan
J'ai construit sur un sol fragile

Car en ne mettant rien de nous-même et tout des autres
Rien ne tiendra plus longtemps que l'aube.

Dans la voix de la douce
Le poète y voit un monde d'une éternelle beauté
Qui efface ses croyances, ses désirs et ses péchés
C'est là que l'inspiration pousse

Dans la voix de la douce
Le peintre y voit un monde aux mille et une couleurs
Qui ravive un temps, son esprit joueur
C'est là que l'inspiration pousse

Au cœur de la voix de ma douce
Se niche une belle pousse
Qui un jour offrira l'ombre de l'écoute

Au voyageur qui est en proie au doute
Au cœur de la voix de ma douce, l'inspiration savoure
L'arbre fruitier de notre amour.

Le peintre a peint une clé
La clé de l'humanité
, il a déposé une âme


Le poète a déposé des mots
Des mots forts, qui sonnent comme un écho
, il a créé un corps


Le musicien a écrit une partition
Une musique douce, mais qui ne fait pas de concessions
, il a donné une raison


Le spectateur regard, hagard, ne comprenant pas
Pourquoi tout ceci secoue sa notion de haut et de bas
, il découvre une vie

Sur ma toile
Je regarde le blanc, dans la couleur de mes yeux
Je réfléchis à comment la remplir comme eux
Sur ma toile, j'y vois...

Dans le cœur du cœur noir, j'ai trouvé la lumière
Tout comme chaque lueur garde une part de ténèbres
La beauté de ta noirceur m'a saisi l'âme
Et depuis mon cœur, de nouveau, bat.

Dans le cœur du cœur noir, j'étais un être de colère.
Artisan de la haine, Apôtre de la Destruction.
Je vivais une vie différente, hier,
Mais depuis, j'ai entrepris une évolution.

Dans le cœur du cœur noir, j'ai trouvé une enfant.
Dans le cœur de mon cœur noir, elle a trouvé ma lumière
Dans le cœur du cœur noir, j'ai senti mon esprit balançant.

Dans le cœur de mon cœur noir, elle a trouvé un père
Dans le cœur du cœur noir, j'ai senti un amour enflant.
Dans le cœur de mon cœur noir, elle a trouvé la sécurité d'un repaire.

Aaaah douce beauté, au cœur rempli de doutes
Pourquoi, tant de choses, tu redoutes ?
Tu es une personne formidable

Dans la bouche d'une étoile
Siège une vérité
Et j'entends la mélodie de ta bouche la délivrer.

Hier j'ai rêvé de toi, c'était un rêve doux
Un rêve aussi doux que, ton superbe regard
Ton superbe regard, qui me fait entrevoir
Entrevoir le monde sans ses éclats de boue.

J'ai rêvé d'un réveil, doucement dans tes bras
Dans tes bras m'enserrant, mon corps et mon âme
Mon corps et mon âme, tendrement se pâment
Se pâment dans la joie, chantant ce doux mantra.

Aujourd'hui j'ai rêvé, rêvé de nous dehors
Nous dehors explorant, les rivages couverts d'or
Couverts d'or du bonheur, comme l'éclat de tes yeux

Comme l'éclat de tes yeux, illuminant pour eux
Pour eux les pauvres gens, qui ne connaissent pas
Ne connaissent pas le bonheur d'être avec toi.

J'étais transparent aux yeux du monde. Un invisible comme tant d'autres, soumis à cette forme de violence que nous connaissons tous. Allons, camarade invisible, tu la connais aussi, cette violence aussi transparente que nous : insidieuse et froide, quelque chose de silencieux. Elle nous efface légèrement, nous vide de notre substance, et nous rend transparent.

Nous regardons autant nos pieds que le sol que nous voyons au travers, on subit le monde et cela nous indiffère. On est dans un confort angoissant, dans une liberté qui a cette horrible odeur de renfermée. Et on continue de vivre, sans se soucier de l'avenir, à part nos rêves étroits, que nous savons irréalisables.

Pourtant, un jour, dont j'en garderai toujours le souvenir, plongé dans la foule et avançant sans but, je sentis quelqu'un s'écrouler devant moi, un crayon était apparu au sol. Alors que je me penchais, je cru distinguer les traits d'une transparente, mais ce qui me fit frisonner fut ses mots :

&quot;Je vous vois.&quot;

Plus rien après, seulement la foule, la foule et un oeil, marron comme le plus beau des joyaux. Une teinte de couleur dans un monde privé de beauté. Un éclat fugace, juste une ombre sur ma rétine. Mais depuis ce jour le monde se colorie autant que cette ombre s'étend. Et plus les couleurs avancent, plus je me sens libre, plus je vois les transparents. Et soudain je l'aperçois.

Cet œil merveilleux, qui appartient au sourire de cette châtain, un sourire qui ferait fondre le monde. Elle me jette un stylo depuis sa place et disparaît, alors je sais ce qu'il me reste à faire.

A toi cher ... Je te vois.

Je donnais l'amour aux autres mais je me sentais si vide. J'accomplissais mon travail au nom de ma mère, accédant à ses caprices, déclenchant des guerres, réunissant des amants. J'offrais des rêves et détruisait des vies et cela dans un merci, sans félicitations. Jusqu'à cette mission : Subjuguer l'Âme, la rendre amoureuse de la Laideur, car la Beauté en est jalouse. L'Âme aujourd'hui plaît plus que le Corps, ce dernier n'est plus divinisé autant qu'avant. on loue l'esprit des gens intelligents, on plaint ceux qui restent beaux mais idiots.

J'ai pourtant été séduit par l'Âme humaine. Comment moi, Éros, puis-je devenir l'esclave d'une de mes flèches ? Car ce n'est pas moi qui l'ai tiré, mais ton regard. Ton regard brûlant de cette envie de me connaître. Comme si j'étais, non pas un instrument, mais un mystère, une énigme qui te faisait grandir avec ton désir.

J'ai caché notre union aux yeux du Corps. Je ne voulais pas qu'elle sache, qu'elle sache que tu me donnais la vie, la raison, que tu était la seule pour qui je voulais désormais tirer mes flèches. J'ai suivis tes conseils, et je me suis efforcé de créer du bonheur et tes sourires me faisaient trembler de joie.

Mais le Corps nous a trouvé, le Corps m'a séquestré loin de toi, et alors que tu voulais te donner la mort, tu as réussi à lui prouver qu'elle avait tort. Tu as montré que tu valais autant qu'elle et par notre union tu as montré que le monde se porte mieux sous notre gouverne. Mais tu t'es montrée aussi une gagnante intelligente, tu n'as pas mis le Corps au rebut : tu as travaillé avec elle afin de montrer que nous avons besoin des deux.

Notre douce fille, Plaisir, enchante notre couple, répandant son aura au sein de ce que nous formons. Ma douce Âme, cette blessure sur le torse, si ardente, je ne la regrette pas. Je t'aime tant et respire au souffle de tes lèvres.

Ainsi fini le mythe d'Éros et Psyché, par la naissance du Plaisir. Un doux baiser sur les lèvres, deux visages qui se font face. Les yeux ne sont le miroir de l'âme, seulement quand Amour les regarde. Le corps physique se noie dans la beauté de cette union et ainsi naît la volupté d'aimer.

Je fixe d'un regard tendre ton visage endormi, jouant du bout du doigt avec le ruisseau de ta chevelure. Dans ton tendre sommeil, seul le souffle s'échappant de tes lèvres agite un détail de ton corps, un cheveu pris dans la tempête de ta vie. Ta tête si merveilleuse scelle mon bras gauche par un simple appui, et ton bras si doux enserre mon torse comme si tu voulais me garder prisonnier. J'ai bougé doucement pour refaire circuler le sang dans mon bras, et tu m'as étouffé en grognant, comme si tu avais peur que je te quitte, comme si tu pensais que j'allais partir sans te dire au revoir, comme les autres qui ont partagé ta couche : des personnes tendres mais cruelles, qui t'ont fait sourire mais qui t'ont quitté au pays des rêves. Combien de fois t'es-tu réveillée seule et pourtant endormie accompagnée ? Femme forte, mais si apeurée.

Pourtant je ne suis pas comme les autres. Je me sens heureux que tu m'ais attrapé, je n'ai pas envie de fuir ce bonheur, que trop de personnes appelaient prison. J'aime tout chez toi, ta maladresse, ta délicatesse, tes colères et tes rires, tes larmes et tes rêves. Tes piques et tes grimaces, ton côté têtu autant que ta tendresse à mon égard.

Je te vois ouvrir les yeux, comme ce matin-là, il y a tant d'années. Le temps a creusé ton visage et blanchit tes cheveux, mais rien ne saurait éteindre le feu de la lumière de tes yeux : toujours cet émerveillement sans fin, comme si tu ne t'attendais pas à me voir prisonnier de tes bras, et toujours cette même phrase :

&quot;Tu es là.&quot;, me dis-tu le sourire aux lèvres.

&quot;Où veux-tu que j'ailles quand ma place est à tes côtés ?&quot;, répondis-je en t'embrassant, comme lorsque nous avions 20 ans.

Elle était rouge, couleur du sang
Une fleur magnifique qui sortait du rang
Dans le sublime jardin du Roi
Elle attirait tous les regards et toutes les fois

On priait Bouddha, Dieu et Allah
Cette rose aux épines tranchantes
Ne se laissait pas cueillir et offrait une vue plongeante
Sur des collines de délices, dignes de Gaïa

Aaah, douce fleur parfumée
De ton joli sourire tu m'as fondu
Dans une joie infinie

Qui me réconcilie
Avec les joies simples de la vue
De ce monde, merveilleux à tes côtés.

dans mon esprit autant qu'il pleut dehors
Mes soucis glissent sur mon corps en suivant l'eau
J'explore un monde délivré, de paix tranquille, si beau
Que rien ne s'observe, tout se ressent, dans ce monde d'or

Un temps séparé du nôtre, comme une douce torpeur
Un silence merveilleux qui nous fait connaître le paradis
Dans un monde de sensations infinies
Qui ne se soucis ni du temps, ni des heures

Sur cette colline, allongé
Le corps de l'Immortel repose
Sur ses lèvres un tendre sourire dressé

Comme si, à la tristesse de notre deuil, il oppose
Le bonheur futur, sur sa tête reposée.
Loin de son corps, que nous avons, comme des idiots haïs

Un fantôme nous observe, nous qui l'avons trahi
Et de son regard d'enfant nous excuse cette folie

Car ainsi il souhaitait être détruit
Par un tendre jour de pluie.


Passionné, rêveur, curieux, fatiguant, naïf

Tajic

Ils donnent de bons exemples les nouveaux protocoles sanitaires dans les collèges et lycées.

J'ai vu passer un ange

Les billes.

Bonsoir, je suis à la recherche d'un jeu pour une connaissance. Impossible de retrouver le titre du jeu donc si vous avez une idée voici ce que j'ai comme indices actuellement :

Bonjour,

Bon mon karma doit être négatif donc on va essayer de le remonter un peu avec un groupe génial qui adore faire n'importe quoi.youtube.com

Tiens une autre musique que je déteste et qu'un pote mettait en soirée pour troller...youtube.com

Donc aujourd'hui on met la musique qu'on déteste ? Sans hésitation, que tous les exemplaires de cette horreur disparaissent.youtube.com

La première dent

La balade

La guerre

La connaissance et le corbeau

J'ai lu "Les Viandes : Journal d'un tueur cannibale" de Victor Angst

L'île du dedans

Dans la voix de la la douce

Sur la toile

Dans le cœur des cœurs noirs

Que cette balade fut de miel Le miel de notre rencontre Dans le décor d'une fac sans pareil Alors que tout allait à notre encontre. Comment nous sommes nous rencontré exactement ? J'ai oublié depuis le temps. Car chaque moment passé en ta présence Est une nouvelle découverte de toi mon ange

J'ai fait un rêve (2)

Transparent

Le Baiser

Tendresse

Rouge

Il pleut