Salut, pour ceux que ça intéresse, la version mobile de Fortnite est déjà entrain d'être déployée.

https://fr.blastingnews.com/gaming/2018/03/fortnite-comment-vous-procurer-la-version-mobile-du-jeu-002428233.html

Ouais parce que je l'ai vécu.

Un coup puissant qui met le cœur k.o pour le compte de 10, si ko qu'il ne se remettra jamais vraiment de cette défaite depuis son lit d'hôpital.

Parce que non ce coup de foudre-là n'est pas assez puissant pour t'achever et t'entraîner dans ce rêve qui dure, cet amour serein et surtout réciproque.
Non ce coup ç'a été celui qui te fait regretter d'avoir un cœur.

Alors une fois qu'on se relève et qu'on recommence à marcher, qu'un autre amour s'approche avec ses petits sourires et ses grands yeux, les séquelles se manifestent mais la naïveté ne revient pas.
On a peur de ces mimiques qui avant nous faisaient vibrer, on doute de ces paroles que l'on aurait pourtant gobées, on esquive ces sourires sur lesquels on se serait jeté.
Le coup de foudre te tombe dessus sans crier gare et brise tout jusqu'à ta volonté.

Y te fait passer de ton petit monde rêvé avec baisers et palmiers, câlins et cocotiers, complicité et coucher de soleil à un No Man's Land sans foi ni loi.

À partir de là t'as une chance sur deux d'en finir

Ou d'en pourrir. 

L'homme se reflète sur la surface opale du fleuve
Nourri des torrents de glace que ses larmes abreuvent
Transperçant de son onde la cité endormie.

Tel un présent au temps troublé d'une insomnie
L'homme indécis voue son âme au murmure du flot
Épris du coeur dont s'armaient les derniers hérauts
Il avance sa main pour effleurer les cieux.

Par le sang embaumant imprimé en son âme,
Son esprit délirant crée de son corps un monde
Où son être s'étend et où le rêve abonde.

Dragon Ball Super : L'univers 6 peut-il être le prochain sur la liste ?

Le synopsis de l'épisode 118 laisse entendre qu'un univers va disparaître, vous avez une idée du quel ?

Bonjour, après enquête sur Overwatch et Star Wars Battlefront 2, la Belgique souhaite faire bannir les loot boxes d’Europe :

“Nous allons clairement essayer de les faire bannir.“.

https://www.zone-actu.com/news/micro-transactions-pourraient-etre-bannies-deurope/

J'errerai en fantôme de bronze dans l'album de famille. De mon cercueil plastifié je la verrai enfiler les lacets de son fils. Je vivrai de loin l'éclat scintillant qu'elle réservera au pupille de ses yeux verts. Je survivrais une journée de plus pour qu'une dernière fois, je puisse plonger mon regard dans ses yeux verre miroir.

Au loin les chants résonnent encore
Chants de Géants plaqués d'or
Chants des Vents brisant le voile.
Au loin, Automne assèche les étoiles.

Les Géants chantent, entendez vous ?
Leurs cheveux d'ambre, les voyez vous ?
Ils chantent en cœur la triste histoire
Des Géants morts au cœur du soir.

« Il fût un temps dans cette Lande,
La terre n'était faite que de cendres,
Et l'âme des aînés bien que grande
N'empêcha pas l'Être de se fendre.

En deux ce frère fut tranché
En morceaux, son âme s'effaçait.
Ne resta plus qu'une souche austère
Et des astres aux larmes amères. »

Oh toi beauté divine qui depuis toujours échappe à mon étreinte,
Accepte en ce jour l’allégeance que je fais à ton si profond regard.
Que cette abîme soit à jamais mon seul présent et que ton rire résonne en notre monde au travers du temps.
Toi ma muse, toi mon amour au corps si désirable et à l’esprit impénétrable, accepte en ce jour la promesse que je te fais.

De te rester fidèle par le corps comme par l’esprit.
De ne garder de toi que le souvenir sucré de nos regards entremêlés.

Au delà de tes colères je me ferai le protecteur de ta parole pour que subsiste son écho au travers des âges.
Oh toi ma douce, toi ma reine souveraine,
Ne laisse pas le surin intemporel de la Haine briser le lien qui nous lie.

Fais de ma vie une épopée onirique pour que dure, toujours,
L’éclatante histoire d’amour des amants de ce jour.


Je suis l’homme qui sacrifia sa vie le jour où tu ne le vis plus, qui vécut pour toi sans que tu ne t’en aperçoives. L’homme qui ne fut heureux qu’en te voyant sourire, l’homme qui mourait un peu à chacune de tes larmes. 
Je fus le doux ami d’un instant, le compère aimant guettant d’un œil tous tes sentiments, je fus éborgné par chacun de tes amants. Mais candide face à mon amour, je continue de croire en ce jour où tu poseras enfin les yeux sur cet être amoureux recroquevillé à tes pieds.

Une flèche émanera de ce regard, traversera les cieux, saluera les dieux, effleurera de peu l’œil de Neptune, gravitera autour de la Lune avant de plonger à pic vers les landes maléfiques des Enfers où je me terre. 
Elle survolera les champs et les tables des grands avant de transpercer mon cœur, afin que tous sur cette Terre soient témoins de mon allégeance.
Alors ma douce, ma tendresse; alors ma joie; alors ma tristesse: je sourirai. Je sourirai aux étoiles que le jour cache par jalousie de leur beauté, je sourirai en voyant s’évanouir la lumière au contact de la pierre, je sourirai car enfin ma douce, enfin: mon cœur aura guidé ta main.

Au cœur du soir ils ne connurent
Que le long soupir des blessures
D'un souvenir autrefois radieux
Aujourd'hui relent malheureux.

Aux mots les plus tendres s'associe
La douleur acerbe d'un amour mal écrit.
En ce jour, en leur esprit
Le soleil éclaircit un passé mal appris.

Au bout de la rue des pas résonnent
Fuyant un printemps aphone
Qu'entonnent encore monotone 
Les saccades de l'automne.

Ma plume s'anime pour toi 
Comme le fit mon cœur autrefois.
J'ai déposé les armes face au silence 
Pour faire place à l'insouciance. 

Tu m’apparais dans l'inconscience, 
Ta vue m'inspire la quintessence
D'une promenade nocturne 
Sous l’œil titanesque de Saturne.

D'un coup de pinceau éclatant 
Le ciel immortalise notre instant
Que dans une aurore boréale 
La lumière se fasse vestale. 

Celle-ci nous guide pas-à-pas 
Sur ce chemin de gravats 
Nous dépose sur un banc 
À l'ombre d'un arbre blanc.

En contre-bas l'océan s'étend 
Voile noir déchiré par les gréements. 
Je tourne la tête pour observer ton visage.
Fasciné par ta beauté, je dois tourner la page. 

Le rêve s'achève sur ton sourire, le vent emporte tes rires. 

https://www.zone-actu.com/news/pokemon-go-vice-president-de-niantic-confirme-larrivee-pvp-cet-ete

L'aube coiffée d'une légère étoffe d'étoiles
Arrachées à la nuit, est encerclée par les ombres.
En spectatrice impuissante fardée d'un teint pâle 
Elle se pose à demi sur quelques décombres.

De sa lumière grandissante elle illumine
Ce qui fut jadis le pinacle d'un âge d'or.
Les restes d'un champs de bataille millénaire
Qui transforma le monde en amas de chaire.

Les hommes affamés, de leur mère sont repus.
Ne reste qu'une meute face à la sagesse déchue.
Loups affamés quêtant un banquet de pleurs saintes,
Maîtres d'un univers et d'une planète éteinte.

Au cœur du soir je vis l'espoir
De vivre une aurore sans mémoire.
Un corps de plus, un jour de moins
Au fil de verre sans tain.

Au cœur du jour je souhaite toujours
Un crépuscule de velours
Instant couchant, glissant
Fuyant peu importe le temps.

Au cœur du vide porte égide
Un fantôme m'exhibe ses rides.
Il flotte au bord de l'indicible,
Encre des Sables indélébile.


Un verre en attendant que les pavés se soulèvent
À l'ombre de cette colombe que la mort faisait si belle.
Dans le miroir, la rage encercle nos regards
Cernes déposées par l'embruns de nos cauchemars.

Un clair de lune en attendant que la jeunesse se soulève.
À la terrasse du bar les pervers se relèvent
En animaux sauvages alpaguent la soubrette à plumes blanches
Bavant à la vue du balancement de ses hanches.

Un dernier verre en attendant que le compte à rebours s'accélère 
Que le feu se fasse délèterre et feux soldats déblatèrent
Sur ce que fut la révolte et sera la soumission
Des nouvelles générations aux dernières exécutions.

Un dernier verre en attendant que la vie nous soit remise.


Échappez vous du clan des loups,
Le clan des sourds, celui du flou.
Échappez des antres obscurs
Des sables mouvants, des ordures.

Embarquez vous dans ce hasard
Embarquez vous dans ce blizzard,
Oubliez cette salle aux miroirs
Aiguisez vos regards hagards.

Ouvrez cette cage, cachot de vipères, 
Laissez les faire de ce cimetière
Un legs aux astres de cette terre.
Laissez leurs preux désirs en terre.

Échappez vous du clan des loups
Du clan perdu, de l'amour fou
Échappez vous des antres austères.
Marquez vos pas sans leurs lumières.

Laissez leur l'attrait des mirages.
Fuyez la honte de leur rage.
Veillez sur vous, tournez la page.
L'aube n’éblouit pas les sages.

Échappez vous du clan des loups,
Celui des muets, des coupés courts.
Échappez vous des phares sans tours,
Ceux-ci ne guident que les fous. 

Que de pas nous séparent
Et de rires nous hantent.
Que de jours nous égarent
Et de lunes nous enchantent.

Quand de ma voix
Je perds l'éclat.
Tes bras enserrent
Mon corps de pierre.

Mais pas à pas j'approche du râle
Te vois réprimer un sanglot.
Et pas à pas mon cœur estompe
Le brouhaha d'une vie d'opale.

C'est ici au cœur de cette tombe
Que j'achèverai le chant du cygne
Quand jusqu'à ton nom, j'oublierai.

La spirale m'emporte, je me laisse couler
Dans la mélancolie qu'elle cachait.
La spirale m'étouffe dans la noblesse
D'une écriture sanguinaire, votre Altesse. 

La spirale m'entraîne dans les profondeurs
Des abysses occultes emplies de malheurs.
La spirale me soûle votre Sainteté.
Embruns pourpres s'écrasent à mes pieds.

La spirale me noie dans les vagues de sang
Que ma vie laisse aux derniers trafiquants.
La spirale serre dans ce déluge de verre.
Votre Altesse, ce mirage est une misère.

Spiritueux spirituel, spirale spectrale
Délivre les encres du flot magistral.
Votre Sainteté, l'armada m'oublie.
La spirale m'emporte dans la mélancolie. 

Oh toi beauté divine qui depuis toujours échappe à mon étreinte 
Accepte en ce jour l'allégeance que je fais à ton si profond regard. 

Que cette abîme soit à jamais mon seul présent et que ton rire résonne en notre monde au travers du temps.
Toi ma muse, toi mon amour au corps si désirable et à l'esprit impénétrable, accepte en ce jour la promesse que je te fais. 

De te rester fidèle par le corps comme par l'esprit. 
De ne garder de toi que le souvenir sucré de nos regards entremêlés. 

Au delà de tes colères je me ferai le protecteur de ta parole 
Pour que subsise son écho au travers des âges. 

Oh toi ma douce, toi ma reine souveraine 
Ne laisse pas nous séparer ce surin intemporel qu'est la Haine. 

Fais de ma vie une infinité d'étoiles pour que dure toujours 
L'éclatante histoire d'amour des amants de ce jour. 


Glissent au bord de l'eau
Les pas chassés des aristos,
Les jours heureux et illégaux,
Les bourreaux sertis de joyaux.

Flagorneries d'un califat
Aux âges d'or et de diamants.
Glisse sur l'eau la boucle d'orge,
S'abat sur l'onde la hache marbrée.

Au bout du monde sur fond d'automne
La danse nacrée d'une bombe aphone
Éclate sous l’œil d'un ange aigri.

Tourne le manège indécent
Au clair de lune incandescent.
Ravage de fête, cœur décadent.

	Le taxi achève sa course sur l'embarcadère, sous mes yeux l'océan s'étend : voile noir parsemé d'éclat blancs, reflets de lune et de globes de verre. J'amarre mes pensées à la rive où chavirent sur la houle les navires de pêcheurs et les embarcations d'infortunés penseurs. Ton visage immédiatement vient se jouer de la distance, abrité qu'il est par cet écrin dans ma poitrine et je souris béatement à son apparition. 
	Toi qui au même instant ne fais plus attention qu'aux sourires insistants de l'amant que tu aimes, si loin que tu sois ton regard envoûtant se voit porté là où le vent le sème, ballotté par les vagues reproduisant la danse effrénée que tu mènes. 
	Mes larmes se mêlent au mouvement de la foule pour s'écraser sur le seuil de notre porte, derrière celle-ci les meubles portent sur eux leurs habits de poussière endeuillés. Je m'installe à tes côtés pour ce dernier repas partagé, je laisse vaquer à leur nostalgie les cadres ornant les murs de crépis. Passant la main au-dessus de nos verres je redresse en ce vase les bourgeons d'absinthe et de primevère. 
	Le temps passant, étendus l'un auprès de l'autre, ton regard se perd dans le mien alors que ton sourire s'éteint. L'éclat blanc qui se reflétait sur l'onde laisse place à l'obscurité. Sous les lumières artificielles mon amour te veille quand à ta suite je plonge dans notre dernier sommeil.

L'épilogue se répète encore,

Au fond c'était voulu.

Que pouvais-je faire d'autre sinon laisser
S'acheminer le temps?

L'introduction résonne, se suivent les secondes.
Allons laisse les donc fuir nous l'aurons bien cherché.

Je vois au loin que s'éloigne ton ombre
Ne la fais pas attendre : sans elle ton cœur sombre.

À mes côtés l'amour se fige,
Éclair nacré dans le givre. 

	Elle lui tourne le dos. Tout est noir autour d'eux, on ne distingue que des silhouettes. Elle se retourne et s'approche, un sourire illuminant son visage contraste avec l'aspect lugubre du monde qui les entoure.Elle dit d'un ton enjoué: 
«J'ai quelque chose à te dire!» 
«Qu'est-ce qu'il y a?»
	Les voix résonnent et se perdent dans l'abîme. Il a peur, peur de ce qu'il va entendre, peur de ce sourire, peur que tout s'arrête. Cette peur s'insinue jusque dans ses entrailles en une danse viscérale.
	Elle s'approche un peu plus, il plonge ses yeux dans les siens leurs lèvres s'effleurent, leurs souffles se confondent. Elle murmure :
«Je vais t'oublier.»

Une nouvelle fois au fond du trou
Voir l'alcohole lui prendre tout,
Lui dire qu'enfin tout est fini :
Que de son corps ne reste qu'un cri.

Une nouvelle fois laisser en lui
L'alcoholique qui perd l'esprit ;
Miséreux pleurant sous le saule
Alors que le poison joue son rôle.

Désenchanté sous l'arche d'ocre
Il se lamente du désordre,
Désir d'un alcohole brasier
Enflammant l'esprit torturé.

Âme prisonnière de l'alcohole,
Enfermée au fond de ses geôles
Brûle en toi l'encre irréelle,
Désespoir que la mort harcèle.

Une nouvelle fois au fond du trou
Voir l'alcohole lui prendre tout,
Lui accorder une ultime trêve :
Le plonger dans le monde du rêve. 

Sheedo

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Crois-tu au coup de foudre?

Inspiration

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Ses yeux verre

Légende de la Lande

Oraison

La flèche

Qu'ont-ils vu en ce jour?

Toile des aimés

Pokémon Go : Le vice-président de Niantic confirme l’arrivée du pvp cet été

Le pvp est prévu pour cet été

Fin de cycle

Le sablier

Un dernier verre.

Le clan des loups.

Épitaphe

Spiritueuse spirale

Ce serment.

Khalédor

Notre dernier sommeil

Laisse passer le temps.

En écho aux délaissés

Alcohole