Y'en a marre des jeux de mots avec Jack, j'vous en mets une tripotée, comme ça on parle plus du nouvel iPhone, okay ?

Avant dernier perso annoncé. Sortie le 16 février.
Vos impressions, sur lui et les autres ?

Bien le bonjour à tous les chouals.
Me voilà enfin rentré de l'autre bout du monde (la suite de l'histoire arrive, j'ai eu peu de temps ces dernières semaines), et ayant fait un crochet par la vieille maison de campagne familiale, me voilà la sacoche pleine de jeux playstation de mon enfance (Crash bandicoot, Spyro, Tail Concerto...). Voyant que ceux-ci sont lus par mon ordinateur et tournent sous émulateur, j'ai décidé de faire d'une pierre plusieurs coups.
En effet, je suis heureux de vous présenter aujourd'hui ma nouvelles chaîne Patapon Gaming (le nom est juste immonde, si des gens on des idées à ce sujet...). Ce qui me permettra de tester YTG, de me lancer dans le streaming ainsi que de présenter des jeux que je connais plus ou moins. Je suis ouvert à toute découverte également et suis plutôt enclin à l'échange, donc j'essayerai toujours d'avoir un oeil sur le chat. 

Merci de votre lecture, à bientôt, je pars en live de ce pas !

https://www.youtube.com/channel/UCjqb39HmCYQo4qJqrZKoQeQ/live

On est partis, c'est l'heure d'ouvrir les paquets cadeaux.

Salut les joueurs, plus le temps passe, plus JVC en prend plein la tête, les temps comme les oeufs sont durs, et le site va mal. Serait-ce le moment pour nous de nous réunir et d'échanger quelques mots à ce propos ? Il s'agit d'un grand site français, pionnier sur le jeu vidéo. Coups de coeurs et coups de gueule, je crée cette box pour que tout un chacun puisse s'exprimer sur son expérience JVC, les chroniques qui vous ont marqué en bien ou en mal, les tests, les astuces, les forums. Bref, je doute que le site finisse par mourir, mais je serais curieux d'entendre le bilan des chouals !

Cordialement, 

Tapon

Partie précédente : http://choualbox.com/l2y6h
Me voilà donc levé à 7h du matin, je travaille avec Papipec tandis que Fifi part avec les anglaises et H. 1h de caisse pour se rendre sur un hippodrome, la journée est longue, je reçois des messages d'amis bourrés sur messenger, car j'arrive à choper un wi-fi de la caravane. Je suis chargé des friteuses, je comprends pas exactement tout ce que je fais, mais je sais à quoi ressemble une frite mangeable. Entre autres, on fait aussi des potato cakes (c'est commes des galettes de pomme de terre), des escalopes de poulet panées (qu'on met dans les burgers), des nuggets, et des Dimsims. Les Dimsims, c'est un peu comme des nems, mais pas comme des nems, c'est un aliment asiatique qui n'est apparemment populaire qu'ici. On est rejoint par des australiennes qui viennent aider, deux jeunes une vieille. Les jeunes s'étonnent de voir un mec quitter Paris, la merveilleuse, plus belle ville du monde (j'en fais trop), pour venir dans leur bled paumé à l'autre bout de la carte. Je rentre deux heures après tout le monde, pour 8h, et on a des restes plus ou moins à volonté. L'an passé, des allemands étaient à la ferme et récupéraient tous les restes, les mettaient dans le congélo et s'en nourrissaient toute la semaine. Nous avons très vite adopté cette méthode que l'on a donc appelé en leur hommage le « German Style », un peu lassés par les croque-monsieurs et autres œufs au bacon journaliers.

On commence a apprécier l'ambiance, même si globalement c'est fatigant et on sent que le travail nous demande beaucoup. Les journées très chaudes commencent, et les journées commencent deux heures plus tôt (et finissent après un déjeuner un peu tardif) afin d'éviter les gros coups de chaleur de l'aprem. L'atmosphère est parfois irrespirable, la semaine qui suit nous sommes invités à joindre tout le monde pour une virée à la plage avec tout le monde, une journée très reposante au final. 

Les événements qui vont suivre seront un peu pêle-mêle, bien que je vais essayer de les donner dans l'ordre chronologique.

Assez vite, notre hôte a décidé de distiller son propre alcool, et de brasser sa propre bière. Il a, au préalable, acheté un petit frigo avec robinets à bière incorporés, comme un gros gamin. Le premier soir à bière fut pour nous très dur, 8 verres de table et nous voilà bien attaqués, la bière était pas bonne mais bien chargé, j'ai un physique lourd et une accoutumance à la bière due à mes excès pré-départ qui ne m'ont pas empêché de finir pas frais ce soir là. 

Les jobs en foodvans se succèdent, et dès le second je suis engagé pour me charger de la plaque chauffante. En effet, petite journée très peu occupée, j'apprends à cuisiner des egg and bacon (c'est bon ce truc, je vais l'importer chez nous), des burgers, chicken burgers, et works burger (qui sont des burgers typiques, comme des normaux mais avec bacon, œuf et betterave dedans). J'aime bien cuire des trucs, ça me plait, et j'aime les burgers. 

Avec le temps on se rend compte que les burgers surgelés sont pas à la hauteur, on a notre petite période hot dogs, qui couplés à la sauce barbecue et la moutarde à l'anglaise de notre frigo font des ravages. Ladite moutarde est très forte, on a donc pris l'habitude de piéger l'un des nombreux hotdogs que l'on cuisinait afin de pimenter le déjeuner. J'ai malheureusement toujours perdu à ce jeu ou presque !

La bière n'étant finalement pas à mon goût, je me suis rabattu sur le rhum de la maison (l'alcool australien est cher, mais pas quand il est fait maison). Chaque soir avait son lot d'alcool et j'appréciait beaucoup ça. On a commencé à faire des jeux de cartes avec les anglaises ou avec H le soir, bien que ça n'arrive pas souvent, ça mettait une bonne ambiance. 

Un superbe jour de travail en semaine, alors que je ponçais le toit d'un van à milkshakes que l'on rénovait, mon pote vient me voir. Apparemment, de nouvelles filles arrivent. Selon Chris, elle seraient françaises, et y'en aurait une de jolie.

Partie précédente : http://choualbox.com/CznWY
Tout d'abord, merci pour ceux qui m'ont envoyé des messages pour que je continue, je dois dire que c'est plutôt agréable. Quant à ceux qui ne comprennent pas qu'on puisse en redemander, j'imagine que c'est comme toutes les csb, il y en a qui vous touchent plus que d'autres ! A ce propos, si vous avez des passages que vous trouvez plus intéressants que d'autres, je peux mettre plus l'accent sur ce genre de récits à l'avenir, donc hésitez pas à filer des tuyaux aussi.

Avant de reprendre le récit, je vais vous présenter notre nouvelle famille d'accueil, à Fifi et à moi. Tout d'abord, notre hôte, monsieur H, que j'ai déjà évoqué, on se rend compte assez vite que le bonhomme est resté gamin, et il fait néanmoins pas mal de choses pour faire plaisir à sa femme, madame S, de quatre ou cinq ans son ainée. Elle a eu une fille avant de le rencontrer, celle-ci a quitté le domicile pour aller vivre avec son père après la mort de son cousin, dépression tout ça. Eux deux, ils ont deux gamins. Mais les gamins … Le grand frère, 6 ans, atteint de ptosis (c'est quand on a une paupière qui ouvre pas correctement, genre Forest Whitaker) et probablement aussi d'autisme, pas très fut-fut, hyperactif au possible. La petite sœur, 5 ans, beaucoup plus perverse, elle fait des conneries avec son frère, mais avec une bien meilleur notion que son frère de ce qu'elle fait. Nous avons donc aussi le père, papipec, qui est là assez souvent, il bosse à la ferme également. Il y a Joe le pécore, que l'on nommera en réalité Chris, qui bosse ici tous les jours de la semaine, petit mince, bronzé comme un néo-zélandais et buriné par le temps malgré son début de quarantaine, il a été ingénieur en aéronautique. Les deux anglaises qui vivent dans le bungalow d'à côté ne sont pas particulièrement sociables, elles se rentrent après dîner regarder la télé, nous les appellerons Sara et Orla. La première est visiblement sportive, sûre d'elle, toujours motivée et travailleuse. La seconde, fait plus naïve, moins sportive comparativement mais n'est pas en reste néanmoins. Ah, elle est plutôt mignonne aussi. Bref, deux charmantes demoiselles qu'on ne voit pas assez à notre goût. L'allemande, elle, vit avec son nouveau mec Australien, elle bosse juste pour une deuxième année de visa, et comme elle ne vit pas à la ferme, ses relations avec la famille sont très limitées, elle se tape en général boulot seule, et est bien contente de nous voir débarquer. C'est à peu près tout. A peu près. Il y a aussi un chien, JOSSIE, je crois que tous les clébards ont le même nom dans ce putain de pays ! Elle court partout, et lèche tout ce qui passe à sa portée. En parlant de portée, l'une des chattes de la maison vient tout juste d'avoir une portée de cinq adorables chatons. On a aussi une chatte au bungalow, elle est balafrée de partout, plutôt fat, et elle vient réclamer de la bouffe chaque fois que quelqu'un s'approche du frigo, une putain de warrior.

Le décor est planté, c'est important, car nous ne le savions pas encore, mais nous allions rester ici plus longtemps que nous ne l'aurions cru. La première semaine fut éprouvante, car après 5 jours de taff sans rien dire ni avoir plus d'information, nous pensions avoir un jour de congé comme notre amie allemande, que nenni, voilà madame S qui vient nous chercher à 11h pour nous dire qu'elle a du taff pour nous. En gros, on bosse pas assez pour un jour de congé. On serre les dents. Plus tard, au gré d'une sortie qui a consisté à aller chercher un jacuzzi pour l'anniversaire de madame S, H nous apprend qu'ils ont un deal avec les WWOOFers. En gros, on bosse 5x8h, ou 6x7h par semaine, et parfois, quand la saison commence, ils nous emmènent au moins une fois par semaine vendre des burgers et des frites dans divers événements. L'allemande nous en avait parlé, elle ne le fait plus, mais nous avait appris que ça rapportait 100$ la journée. Notre avenir se profile, le deal semble déséquilibré, mais au final tant qu'on n'a pas mieux, c'est toujours ça de pris. Noël arrive, et nous sommes invités à participer avec la famille étendue (y'a des parents, des amis et des cousins de partout) à notre tout premier barbecue de Noël. C'est dépaysant, mais on a juste pas l'impression d'être à Noël (pic related), un temps superbe, ensoleillé, de la barbaque, que demande le peuple ? Puis vient le nouvel an, après avoir essayé de voir de très loin un petit feu d'artifice depuis le fond du jardin, nous rentrons. Demain, point de congés, c'est là notre première journée en foodvans qui commence.

Partie précédente : choualbox.com/cNA6j
Voilà la suite de mon histoire, on se situe encore dans mon premier mois en Australie. Sachez que je suis touché par tous ceux qui réclament la suite. Je n'avais pas l'intention de poster avant demain, mais j'ai fini par me motiver. J'essaye de ne rien omettre de mon expérience.

Première nuit dans la caisse, que nous avons baptisée Captain, non loin de notre destination. On croise nos premiers panneaux « Attention kangourous » mais pas un seul en vue. Choix Cornélien, chaleur ou moustique. Comme tout bon voyageur, on commence par prendre la chaleur avant de céder, parce que dormir dans une caisse à deux, on a vite fait de mourir de chaud. Sale nuit donc, nous arrivons dans notre la maison de nos hôtes à 8h du matin, pour le café. Nous accueille un couple de petits vieux, autour de 70 ans, très sympathiques, avec l'accent british. Ils ont un chien Jossie, et deux chats. Elle était institutrice, lui ingénieur en métallurgie, tous deux à la retraite maintenant. Le chien, lui s'amuse à piquer des trucs pour qu'on lui courre après, elle a débusqué et machouillé les trois brosses à dents de mon pote, dont l'hygiène n'était déjà pas le point fort. Notre travail ? Ramasser des feuilles de gumtree (nous apprendrons bien plus tard que c'est de l'eucalyptus), car en cas de feu, ça prend feu et tout crame au final. Pareil avec les branches. Croyez-moi, leur jardin est comme une forêt, deux ou trois hectares de feuilles et de branches qui traînent. Ils ont même une piscine en cas d'incendie. On se lève vers 8h, prend un café, on bosse sérieusement le matin, l'après-midi est plus soft, mais on en a assez vite marre de ramasser des bâtons, vers 15h on nous convie à arrêter pour se détendre. Nous avons du Wi-Fi, l'endroit est très confortable et Alan et Maggie sont un peu comme des grand-parents, adorables. On a de quoi se confectionner des sandwiches à midi. Le soir ? Ca fait très anglais, légumes et bœuf, avec de la sauce gravy, et en dessert, tous les soirs, des fruits frais coupés avec de la glace à la vanille devant un film. Malheureusement, Noël arrive, et ils ne peuvent héberger de voyageurs car des invités débarquent. Les petites vacances chez papi et mamie se terminent, nous y serons resté une dizaine de jours au final.

Nous décidons de prendre la voiture, en direction de Melbourne, pour rencontrer possiblement le meilleur ami de ma belle-soeur qui y vit depuis 4 ans. 800Km, avec un conducteur très en difficulté avec la conduite à gauche. Nous appelons encore une tripotée d'hôtes, et nous finissons par tomber sur une femme qui ne se gêne pas de dire à Fifi que son anglais pue la merde, mais pas le choix, on est à la rue. Une autre nuit dans la voiture. Le temps est plus clément, la nuit est plus agréable, le lendemain matin nous arrivons dans notre nouvelle ferme.

Le propriétaire nous reçoit, un homme, fin de trentaine, plutôt sympathique. Il nous fait une courte visite... Une maison, et deux bengalows côte à côte, avec cuisine, une douche pour les deux, une cuisine, un billard. Deux anglaises vivent à côté, évidemment on arrive pas à entendre leurs noms. Une allemande, Louisa, travaille aussi pour obtenir une seconde année de visa. Le job du jour ? Planter des agapenthes sur les bords de son chemin. Vous pouvez Googler agapenthes, c'est tout pourri comme plantes. Nous faisons la connaissance du père du propriétaire, que nous avions décidé d'appeler papipec (pour papi pecno, bien qu'il ne paraisse pas dépasser 65 piges), plutôt amical, il a une jambe raide dû à une opération, il aime beaucoup raconter des histoires. Dans la ferme, il y a aussi un employé, par souci d'équité et comme nous fourmillons d'idées, nous l'avons surnommé bien méchamment Joe le péon. En même temps, il passe sa journée dans le tracteur à faire des pré-trous pendant que nous, on doit faire le reste à la pelle. Le sol est dur, le travail nous semble autrement plus difficile que chez nos précédents hôtes, j'en tombe de sommeil à 19h.

Après quelques jours, voilà le deal, on commence à 8h et on finit à 16h, on a l'impression de se faire enfiler. Nous sommes certes logés et nourris, mais à bosser 7h par jour, autant choper un boulot et avoir de l'argent de poche en plus d'un lit et de nourriture. En plus, nos nouvelles tâches nous font regretter le ramassage de bâtons. Ici, ramassage de cailloux (true story, on a ramassé des centaines de kg de cailloux), taillage de tous les arbustes qui dépassent dans les enclos, et là, c'était plus en mode 10 hectares de terres. Bref, on a bien les boules, mais les quelques bières offertes par notre hôte ont raison de nos envies de rébellion. Oui, c'est de l'esclavage légal, mais on ne peut pas partir tant qu'on a pas d'autre plan.

Bongour à tous, 
Comme je vois que pas mal de gens sont interessés par les voyages, je vais vous conter un bout de mon histoire. Je vous préviens, ça va être long, et je le ferai probablement en plusieurs parties pour que ça reste visible, et je continue que si ça intéresse quelques personnes.
J'ai 23, étudiant parisien sortant d'un grand lycée de cette même ville, je n'ai jamais trop su ce que je voulais faire. Ayant une hypersensibilité que je ne me suis pronostiquée que tard, j'ai très mal vécu une rupture lorsque j'avais 17 ans, me voilà donc à la fac sans trop envie d'étudier, me reposant sur mes acquis et mes capacités. Un an de droit, quatre d'informatique. Une autre rupture, et là, c'est la goutte d'eau. Novembre dernier un ami m'annonce qu'il part pour l'Australie 4 jours plus tard. Deux jours plus tard mes billets sont pris, adieu Paris.

Partir sans plan, j'ai toujours aimé faire ça. Non pas que je n'aime pas le confort, j'ai juste peur de ne pas aimer ce que j'organise, ou que tout ne se passe pas comme prévu. Me voilà donc à Sydney, avec mon ami que l'on appellera Fifi, il possède un anglais à couper au couteau. Moi j'ai jamais voyagé dans un pays anglophone, mais mon anglais est correct, sans vrai accent.

Arrivés à Sydney après une escale à Delhi puis Melbourne, le décalage horaire nous a fait arriver deux jours après notre départ. Nous n'avions alors AUCUNE idée de ce que le pays allait nous offrir. L'endroit le plus basique où loger à Sydney, et en Australie en général, sont des hotels pour backpackers, littéralement des mecs avec des sacs à dos, terme utilisé pour désigner les voyageurs étrangers. De 4 à 32 personnes par chambre, lits superposés, cuisines communes. Ici on rencontre des gens venus de partout, asiatiques, européens, américains. Après 4 jours à souffrir du décalage horaire, à tomber de sommeil à 17h pour se réveiller à 4h, nous décidons de bouger. Le site d'annonces ici s'appelle Gumtree, on y sélectionne quelques voitures bon marché, et on en achète une. 2000$, 1400€, c'est correct pour une Ford Falcon Forté de 2001, en plutôt bon état. Etant celui avec les économies, j'ai mis l'argent pour la voiture, bien que n'ayant pas le permis. Mon pote, lui, a un permis français. Pour conduire ici, il faut un permis international, mais croisons les doigts. Nous décidons de contacter des hôtes de WWOOFing (Willing Workers On Organic Farms). C'est un genre d'organisation qui te file un bouquin rempli de gens prêts à vous héberger et vous nourrir en échange d'un coup de main pour leur ferme ou leur maison. Après quelques coups de fils très laborieux (ma compréhension est à ce moment très limitée, mais je suis celui qui s'exprime correctement, les appels furent épiques), nous avons trouvé notre première étape : direction la banlieue nord de Sydney, nos hôtes s'appellent Alan et Maggie.

Après 5 ans de pause, le site web montre la mascotte du groupe qui se réveille, avant de basculer sur un compte à rebours. Mardi n'est-il pas le jour des sorties CD aux US ?

Je sais pas comment ce groupe est apprécié par les metalleux en général. Je ne me considère pas comme tel, mais Disturbed est un des mes groupes préférés, probablement celui qui m'a fait écouter puis découvrir de la musique quand j'avais 10 ans.

http://www.disturbed1.com/theguy?ref=http://www.disturbed1.com/

Ou jouer de la basse en donnant l'impression de jouer de la harpe.

Le site a du mal à suivre !
https://www.kickstarter.com/projects/ysnet/shenmue-3?ref=nav_search
PS : Donnez tout votre argent, merci.

Classement dur très dur ... On peut l'expliquer par plein de facteurs, mais ça reste assez immonde.
http://www.jeuxvideo.com/news/2014/00075832-le-top-des-50-franchises-preferees-des-joueurs.htm#infos

Je vous présente Nightmare Revisited, la bande son du film d'animation que nous connaissons tous, repris par différents artistes. Enjoy, et joyeux halloween.

J'avais envie de participer à la création du groupe avec une conférence TED, c'est passionnant du début à la fin.
Lien pour ceux qui veulent des sous-titres en français directement sur le site.
http://www.ted.com/talks/david_blaine_how_i_held_my_breath_for_17_min

J'en suis au first step, je partage, parce que ça décrit parfaitement ce que je ressens, et que ça me fait me sentir moins seul. (Toutes mes excuses aux anglophobes)

Patapon

NSFWVous avez pas bientôt fini avec Jack ?

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