c'est sûr qu'une fois passé l'arme à gauche, tu relativises sur l'efficacité de ta crème de jour.
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Qql chose que l'on ne fait pas suffisamment, c'est d'appeler le précédent n+1, voire un collaborateur proche pour se renseigner sur le profil de la personne. Si tu ne trouves pas les contacts, t'appelles les RH de la boite et ils t'aiguilleront.
Impôt sur les sociétés : pourquoi Bercy s'est trompé | Les Echos
5 - 6 minutes
Comment la Direction du Trésor a-t-elle pu à ce point surestimer les recettes fiscales ? Sur l'année 2024, le manque à gagner par rapport aux prévisions initiales dépasse 40 milliards d'euros. La question est au coeur des auditions parlementaires de plusieurs responsables de l'ex-gouvernement (Bruno Le Maire, Thomas Cazenave, Gabriel Attal et Elisabeth Borne), sommés de s'expliquer sur la dégradation spectaculaire des comptes publics.
Un article, publié vendredi sur le site de l'IPP (Institut des politiques publiques), permet d'y voir plus clair sur un point essentiel : le très mauvais chiffrage des recettes d'impôt sur les sociétés (IS).
Des erreurs massives et fréquentes
L'économiste Laurent Bach s'est penché sur cet impôt particulier, acquitté par toutes les entreprises qui réalisent un bénéfice sur le territoire français, car il est le noeud du problème. Un tiers de l'erreur de prévision en 2024 est lié au seul IS, alors qu'il ne représente qu'environ 5 % des recettes. En analysant les prévisions de Bercy sur les vingt dernières années, le chercheur arrive à une double conclusion : les erreurs sur l'IS sont très fréquentes et bien plus importantes que pour n'importe quel autre impôt.
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En moyenne, depuis 2005, le ministère revoit ses prévisions d'IS à la baisse de 9 % chaque automne. Est-ce à dire que le gouvernement est volontairement trop optimiste lors de l'élaboration du budget ? « Non, écrit Laurent Bach, car sur cette même période, les recettes d'IS ont été supérieures aux prévisions plus d'une année sur trois » - et souvent avec des écarts tout aussi importants. Bref, Bercy se trompe systématiquement. Et « c'est plutôt la qualité que la malice des prévisions d'IS qu'il faut essayer de comprendre », estime l'économiste.
Des jeux de trésorerie
La première explication est que l'IS est ponctionné sur le bénéfice fiscal des entreprises, qui surréagit aux mouvements de l'économie. Quand la croissance ralentit, les comptes des entreprises sont davantage affectés que l'activité économique dans son ensemble. Les recettes d'IS sont ainsi mécaniquement diminuées plus brutalement que la simple évolution du PIB.
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Mais ce n'est pas tout. Laurent Bach relève que l'IS est versé selon un système d'acomptes, sur lequel les entreprises peuvent jouer pour amortir leurs difficultés financières. « Lorsque ça va mal, l'entreprise va, de sa propre initiative, limiter ses acomptes, soit en anticipant une baisse de déficit fiscal, soit en espérant qu'elle ira mieux lorsqu'il s'agira de solder l'impôt dû ».
Ces jeux de trésorerie ne sont pas anecdotiques. En 2024, les moindres bénéfices des entreprises auraient dû se traduire par une chute des recettes d'IS de 8,8 milliards d'euros. Or, le trou dans la caisse atteint en réalité 14,5 milliards. « Cette grosse erreur résiduelle s'explique très probablement par une évolution du comportement de paiement de l'IS », explique Laurent Bach.
Les pistes d'amélioration
Bercy est-il condamné à faire des prédictions au doigt mouillé, contredites par le comportement des entreprises redevables au risque de faire déraper les comptes publics ? Heureusement non. D'une part, l'Etat pourrait restreindre ce « partage du risque financier » que constituent les latitudes de paiement d'IS. C'est d'ailleurs déjà le cas : depuis 2005, il exige, par exemple, des plus grandes entreprises un « cinquième acompte », en fonction de l'augmentation prévisionnelle du résultat de l'année en cours. Laurent Bach estime que l'Etat pourrait utilement cibler les entreprises qui n'ont pas de difficultés de trésorerie afin d'exiger un paiement plus instantané de l'IS.
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Et concernant le strict exercice de prévision, de nombreuses sources d'information (les relevés mensuels de TVA, ou ceux de la future facturation électronique) actuellement inutilisées par Bercy pour estimer les résultats à venir des entreprises pourraient être mobilisées. De même, de nombreuses entreprises cotées en Bourse fournissent déjà des informations précises sur leurs résultats et flux de trésorerie.
Pourraient-elles le faire avec Bercy, sur le seul périmètre français, et avant la toute fin d'année ? « Cela ne semble pas insurmontable », euphémise Laurent Bach - qui note par exemple que TotalEnergies avait communiqué en septembre 2022 sur son seul bénéfice fiscal français attendu pour l'année… « Des améliorations du système de prévision actuel sont donc envisageables, conclut l'économiste. C'est peut-être l'occasion de s'en saisir ».
Les denrées arriveront de l'extérieur du pays pour compenser.
On est sur une deconsommation globale de la population, dû fait de l'inflation.
Dans le cas de Mme Vache, les marchés vinicoles sont tankés. Trop de volumes pour une offre en berne. Résultats notamment d'une période covid confinés avec la fermeture des chr ou des rassemblements et donc une baisse drastique de la conso. Donc des stocks qui s'empilent car en sortie de covid, nous n'allions pas nous mettre à consommer 2 fois plus pour éponger les volumes produits pdt les années de confinement. Et s'ajoutent à cela une inflation galopante et le fait qu'on parle de produits périssables ou plutôt qui perdent leur qualité rapidement dans le vin (on est sur des produits à conso rapide globalement dans la région à part aoc prestigieuses ). Et enfin, le vin est un produit de divertissement et non de première nécessité.
C'est un fait, bcp d'exploitations vont fermer, c'est déjà le cas pour certaines. On est parti pour 2ans d'agonie à regarder tous types d'exploitations crever sans pouvoir faire grand chose.
Cependant, il faut remettre l'église au milieu du village. Comme pour les producteurs de lait, ça fait des années que l'on octroie des aides à la plantation et que l'on demande à ces viticulteurs d'investir et de s'endetter pour faire pisser la vigne, afin de tenter de rivaliser avec l'importation de produits à bas coûts. S'ajoute à cela un manque d'expertise et de volonté dans la recherche de marchés directs consommateurs ou du moins en limitant les intermédiaires gourmands, exemple GD.
Ça va couiner sévère pdt 2ans et il ne restera plus que les gros et les débrouillards à la fin.
bon y a plein de choses à débattre , je vais faire simple :
- les coûts d'investissements, il a tout claqué pour augmenter sa prod, donc au démarrage il était solvable pour investir dans de la transfo/se diversifier avant de tout claquer uniquement dans la prod ou du moins pour faire un moite/moite.
- tout le truc sur les écoles, je te fais confiance, notre surcouche de process/normes fait que c'est indémerdable mais cela reste un segment parmi tant d'autres. Il y a d'autres circuits de vente. J'avais omis de parler CHR dans le premier post d'ailleurs.
- l'avenir du môme, le mec le dit dans l'article, c'est la 3ème génération, sur 3 générations souhaitant faire pérenniser le business familial, cela laisse la place pour envisager de se perfectionner sur la prod en tant que transformateur (diplôme en poche ou pas). Un môme qui souhaite faire autre chose, soit, on ne va pas lui infliger ça. A contrario 3 générations, il y a du monde et du temps à la réflexion.
Soit dit en passant, j'accompagne des JA dans le milieu vinicole qui souhaite développer leur marque et il y en a qui ont faim. J'en accompagne d'autres plus âgés qui sortent du modèle coopératif d'apporteur pour se mettre à la transfo eux-mêmes et ils s'en sortent bien (pour certains très bien).
Trop souvent, je suis confronté à de l'abandon/fatalité. Le dernier en date m'a fait rire : "on comprend pas les gens ils aiment le produit, on a fait la foire aux vins de Paris, les gens étaient ravis, on leur a dit, venez nous voir, on est pas loin on est qu'à 700bornes". Nan mais qui va faire 700 bornes pour un carton de 6!? ahahah. C'est tout cela que je déplore, les modes de consommations changent mais personne prend le train en marche, on attend que ça vienne.
transposes ça dans un autre domaine. Je suis ingénieur informaticien, ce que j'aime, c'est coder. J'ai une idée, je code, je sors une solution. Si tu ne mets pas une casquette de commercial à démarcher, lever des fonds et marketer ton produit, t'auras rien à bouffer l'année n+1.
Ces mecs là, que tu le veuilles ou non, ce sont des chefs d'entreprise, la prod c'est cool mais se réfugier derrière l'argument : "commercial c'est pas mon métier, ça m'emmerde, j'ai pas le temps, ce qui m'amuse c'est la prod", c'est bidon. Si t'aimes ce que tu fais, tu vas au bout du process pour pérenniser ton entreprise jusqu'à être en capacité d'embaucher un commercial.
Dans les textes de loi, les cantines des entreprises et écoles dans les alentours doivent sourcer au moins 20% de produits locaux.(j'ai pas relu les textes depuis longtemps mais c'était le cas!). Donc tu te bouges, t'envoies ton môme faire ingé agro, t'apprends à faire des yaourt, du fromage, du beurre et t'avances !
ouais touchant mais tellement prévisible depuis 15ans et plus. Les mecs s'endettent pour rivaliser avec des produits à bas couts étrangers. Mais bordel arrêtez de produire trop, faites une partie de vrac mais surtout faites de la transformation et valorisez le produit.
Les écoles, les entreprises, les fromageries, supermarchés, marchés du coin, le direct client.
Les mecs se diversifient pas, font pas de multisourcing, appliquent bêtement la méthode à grandpapa sans se poser de question, ça me tue. Et maintenant rebelote ça va déverser des litrons de lait dvt les préfectures.
c'est courageux et émouvant. La leçon de vie en guise de conclusion est touchante mais outre avoir l'envie de réaliser ses rêves, il y a bien souvent une question de chance et de budget qui font que certains rêves demeurent indéfiniment inatteignables.
Ok, merci, effectivement c'est limpide. Donc c'est bien cela. Les gens qui mettent un clignot gauche avec l'intention de prendre la sortie en face sont en tort.
Donc sur une 2 voies, lorsque tu es voie de gauche. C'est très compliqué d'anticiper le mouv de la personne voie de droite avec ce clignot gauche enclenché à tort : "elle continue de tourner et s'est plantée de voie ou va t'elle sortir, car je dois me rabattre !?"
Hum 3 questions :
On m'avait expliqué, il y a fort longtemps lorsque j'ai passé mon code, que le cligno gauche est imperatif lorsqu'on s'insère dans un rond point avec l'intention de sortir au delà de la sortie située en face de soi. Je vois de plus en plus de voitures mettre un cligno gauche, dès lors lorsqu'ils ne sortent pas à la première sortie. Ce qui est très compliqué en terme d'anticipation pour se rabattre sur les ronds points double voie ou tout bêtement s'insérer. Qui a tort, qui a raison ?
2ème. D'où sort cette mode dans le cas d'un bouchon d'utiliser la bande d'arrêt d'urgence comme voie de décélération afin de quitter le périphérique ou l'autoroute ? C'est autorisé ? Sur le papier, il y a probablement une volonté de désengorger la voie de droite mais au détriment d'une certaine sécurité en cas de problème. Comment les véhicules d'urgence ou les accidents sont censés s'évacuer ?
3ème. D'où vient cette mode de faire des signes avec les feux de détresse pour dire merci ?
Ne pas prêter attention au titre putaclic, extrait : "la flambée des prix continue d’impacter les Français les plus modestes. 41% des sondés vont rester à domicile cet été, davantage que l’an passé. Plus de la moitié d’entre eux déclare ne pas en avoir les moyens (61%) et quelques-uns (24%) seraient encouragés à partir s'ils pouvaient bénéficier de facilités de paiement."
En gros, je prends des vacances mais je reste chez moi.
https://www.lefigaro.fr/conso/vacances-d-ete-le-budget-moyen-des-francais-au-plus-haut-depuis-12-ans-20240515
Les produits de consommation courante vont augmenter car outre la partie électricité, tout le monde a désormais du stock à revendre. Que ce soit le petit producteur de vin qui ne trouve plus de marchés pour vendre son vin, jusqu'au gros industriel qui se doit de fermer des lignes de prod ou les mettre en arrêt à chaud ou tout court. En effet vous, moi ou le voisin d'en face ne consomment plus assez du fait de prix élevés pour maintenir le flux !
Plans sociaux, dépôts de bilan et une perte de pouvoir d'achat qui renforcera d'autant plus la déconsommation.
Le stock coutant cher, il est probable toutefois que des bons plans de "tout doit disparaitre" vont survenir aussi bien pour les pros que pour les particuliers.
C'est assez moche à dire mais selon moi, les grands groupes ne travaillant pas pour leurs clients directs mais pour leurs actionnaires, ils ont des obligations de rentabilité absolue. De ce fait, lorsque l'électricité a commencé à vite baisser après le pic de août 2022 (voir dutch ttf sur site de bourse quelconque) et les records de dividendes versés aux actionnaires. Plutôt que de répercuter cette baisse auprès des consommateurs pour encourager la conso, il a fallu maintenir des objectifs de rentabilité aussi élevé pour conserver la bonne note de l'entreprise sur les marchés bourciers. Hé oui, c'est dur de dire à tes actionnaires, surtout les nouveaux entrants : "l'année prochaine vous allez toucher moins car les prix baissent et il faut que nous la répercutions auprès de nos clients" afin de maintenir les volumes et les courants d'affaire. Du coup, en variables d'ajustement restantes, lorsque tu ne baisses pas tes prix ou très peu, il te reste à freiner les charges = la prod et mécaniquement te débarrasser d'une partie de ta masse salariale devenue inutile (et il faut également supporter le stock/maintenance!).
Comment on sort de ce merdier? Hé béh... avec pertes et fracas je dirais. Les salariés vont gueuler pour voir leurs salaires revalorisés afin de pouvoir continuer à vivre mais les entreprises ne seront pas en capacité de les accepter car la diminution des ventes (liée conso), ne permettent pas de soutenir le poids de leur propre masse salariale. Le petit patron de PME va devoir se séparer de bons éléments car il ne sera pas en capacité financière de les garder.
Tous les secteurs ne sont évidemment pas concernés mais honnêtement, je n'ai pas de réponse sur que faire dans ce cas là, à part dire, ça va passer. Il faut un peu de temps pour que l'équilibre entre prod et conso revienne suite à nos années covid.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/7929491
https://fr.investing.com/commodities/dutch-ttf-gas-c1-futures
je suis un bidouilleur du dimanche, j'aime réparer mes appareils électroniques et faire des rénovations/travaux chez moi (le dimanche du coup) mais je ne fais pas ça à temps plein.
Concernant ton problème mieux vaut déjà l'isoler. Je tiens à préciser que je ne possède pas ce portable, je te donne des pistes sur la façon dont j'aurais procédé mais je ne peux pas garantir que tout est safe !
T'as changé la batterie, Définir l'expression "rien ne se passe". J'appuie sur ON pdt 10sec il y a du rétroéclairage, un logo ou rien nada écran noir ?
1) Rien nada = nappe entre motherboard (mb) endommagée/mal connectée ou bouton ON HS, à revérifier. Brancher le tel sur usb (charger et usb fonctionnel à vérifier avec un autre appareil avant + le port usb du tel est propre !), laisser charger 10-20min et appuyer pdt 10sec sur ON. Essayer également la combinaison bouton ON + volume haut simultanément 10sec.
2) rétroéclairage = le jus passe mais visiblement on est plus un pb de soft.
3) bouton ON + vol haut a fait qql chose ! = est-ce qu'un menu apparait ? qu'est-ce qu'il raconte ? Peut-être que le sleep mode est activé, il faut le couper en naviguant dans les settings qui s'affichent à l'écran.
4) bouton ON + vol bas 10sec à tester = est-ce que le tel démarre avec un logo ? Dans ce cas relâcher le bouton ON mais garder vol bas enfoncé. Est-ce qu'un message "le tél est corrompu apparait ? A ce stade, visiblement la ROM ne peut pas booter normalement, fichiers corompus suite à une MAJ récente peut-être ? Il va falloir faire un factory reset, navré pour tes données. Il faut naviguer dans les menu jusqu'à atteindre "wipe data and cache" et valider.
5) J'ai la certitude que le jus passe mais écran noir arpès avoir tout testé au-dessus : https://xdaforums.com/t/tool-6t-msmdownloadtool-v4-0-59-oos-v9-0-13.3867448/
6) changer la mb et RIP tes datas
nappe du port usb : https://is.gd/mEAsjv
bouton on off 6T : https://is.gd/rVtMmL
carte mère 6T : https://is.gd/f28mcI
vidéo démontage : https://youtu.be/W_6FKKKyXwU
Bon courage.
