(Je le voyais bien en slam sur le morceau Nouvelle journée de Skread, sur le nouvel album des Casseurs Flowters, qui n'est qu'une instru. Sinon, j'aimerai bien des retours niveau écriture etc, merci d'avance !)

« Ce soir je saisis mon crayon gris,
Je salis ma feuille, j'écris.
Pourquoi ? Feur !
J'ai pas de réponses parfaites...
En fait j'en ai juste pas
Par envie ? Vraisemblablement.
Ce texte sera-t-il médiocre ? Indéniablement.
Me faites pas confiance, fuyez cet amas de mots minable
Mes potes me disaient &quot;Clém' pourquoi t'écris que lorsque t'es triste ?&quot;
Maintenant j'écris et je le crie !
Mais p'tit c'est sans le Spleen
Je l'avais prédit &quot;Je quitte à jamais mes pleurs&quot;
Avec eux je suis quitte même s'ils ont essayé de me rendre visite
Mais t'inquiète, je les évite.
En ce moment je crois que ça va,
J'aperçois la joie mon gars !
Et j'aimerais qu'ça continu comme ça 
Mais seul l'avenir me le dira...
Alors à défaut de savoir les rouler
Je noircis mes feuilles sans briquet.
Pourtant ça vaut pas mieux que leur fumée,
Mais reprendre une bouffée m'étouffera jamais.
Et même si mon inspi' vaut mieux que leurs spliffs
Mes textes ne feront jamais 20€ par paquet de feuille, 
Avenir flippant, je me réfugierai pas dans leur beuh !
De belles paroles mais les amis &quot;Jamais Fragile&quot; est mon hymne,
C'est pour ça que vous parcourez ces lignes sans rythme ni rime.
Mais cherchez pas de fil rouge, ce texte est comme mon esprit...
Leitmotiv de ma folie, pénitence de ma logique,
Plein de confiance, il part dans tous les sens.
Sûrement le pire,
J'espère qu'il vous aura au moins fait sourire. »


Ce soir je ressens l’envie d’écrire. Criant besoin, je crains de ne savoir l’assouvir. J’avoue souffrir de mes maux,  plus difficile de les exprimer par des mots. Alors ce ne sera sûrement qu’un récit comme un autre.

Libre à vous de saisir le sens de ces lignes.
Libre à moi d’y soumettre un signe.
Simple remède dont j’improvise la recette au fil de ces phrases, je saisis la complexité de soigner l’inconnu.

Tel les relents d’une odeur rance, une rage intérieure. Sentiment d’impuissance, intermittence de nos existences. 
Même lorsque tout est parfait ; que rien n’est à corriger. Empli de vice, il décide de tout altérer. Alors le doute s’immisce. De la fin, il est les prémices. 

Sentiment incompris. Passion contrariée ou prévention de l’âme, le silence est sa parole, la solitude sa compagnie. Voyageur de l’improviste, démon de nos nuits, ange de folie. Chacun le connaît, tous l’ont rencontré. Pauvre ou riche, homme ou femme, jeune ou vieux. Qui vous souhaitez, aucune pitié, personne n’est épargné.

Ainsi va	-t-il, toujours dans nos vies. Il suffit de l’apprivoiser, de savoir y pallier. Profiter du plaisir autant qu’il est possible.
On emprunte tous différents chemins. Et si toutes les routes mènent à Rome, elles ne mènent pas toutes au bonheur. Alors prenons les bonnes.
Vagabonds, amis ou promeneurs. Soyez bien accompagnés, car n’oubliez jamais : 
[i]« La mélancolie, c’est le bonheur d’être triste. »[/i]


[i]La surprise de l'inattendu, le ravissement de l'inconnu.[/i]

Saisir une plume,
S'échouer dans l'écume.
Sentir son désir,
S'abandonner au plaisir.

[i]La profondeur de certains proverbes ne prend de sens que dans certaines périodes particulières.[/i]

Souffrir ;
Guérir.
Tristesse ;
Allégresse.

[i]Souvent on ne s'y attend pas. Surprenant, saisissant, lui succède la passion parfois mêlée d'une douce incompréhension.[/i]

Redécouvrir de vieilles histoires,
Inventer de nouvelles fables
Pleines de bon-vouloir,
Voguant vers des légendes ineffables. 

[i]Ainsi vient la vie, il suffit de sourire et d'espérer qu'elle aussi. Signe d'une destinée, simple prière pour l'avenir.[/i]

Au revoir, misère de cœur
Je quitte à jamais mes pleurs.
En partance vers de prétendues étendues méconnues,
Je m'envole avec mon Ingénu.

[i]Souhaitez-moi du bonheur ; je ne peux que vous souhaiter de la chance et du courage.[/i]

&quot;Lentement s'avance le silence
Serpentant doucement de ses sens 
Lorsque soudain stimulé il s'élance
Son souffle strident symbole de violence
Il signe la suffisance de l'existence,
De l'insalubrité sourde de cette évidence.
La simplicité de ces souffrances, 
Le salut de notre essence.
De la décadence saccadée de la confiance 
À la rance salie de la méfiance.
La déviance de cette complaisance 
Conséquence de cette sempiternelle arrogance.
Quand notre existence subit nos souffrances,
Doucement nos souvenirs s'envolent en Silence...&quot;

[i] J'avais prévu d'écrire un texte joyeux, puis les événements en ont voulu autrement.
C'est assez court, mais j'avais pas la foi d'écrire un truc long, cependant je souhaitais le partager. [/i]

&quot;La rage d’une vie, exprimée en un instant de mépris,
Lynchée, lapidée, déliée de sa lucidité, la source se tarit.
La déchéance d’une fontaine de jouvence aux odeurs rances
Accompagne la défaillance d’une vie pleine d’élégance
Lorsque  disparaissent les apparences. 
Plus d’arrogance, plus de violence, seule la démence de l’existence.
Les regrets d’avoir cherché sans trouver,
À jamais résigné d’abandonner l’Eden rêvé
Le songe d’une utopie, la métaphore d’une vie
Pour un simple bandit, ou un majestueux érudit.
L’idylle de l’un. 
La perte de chacun.&quot;



&quot;Un jour tu gagnes, un jour tu perds,
Que ce soit dans la vie ou au fil de ces vers
Dualité de la question c’est quitte ou double,
Travaillant la trivialité de tes troubles.
La simple souffrance subie 
Qui singulièrement assaille ta vie,
Présence de Peine ou de Joie
On n’en fait jamais le choix.
Le sens d’une existence de pénitence
Noyé d’une intense insouciance
Jusqu’au lever du rideau,
Fin d’une mascarade, décadence d’un credo.
Un jour tu pleures.
Un jour tu meurs.&quot;


[i] J'ai décidé de vous parler de l'addiction et de la fin du rouleau de PQ, enjoy ;) [/i]

Que ce soit pour assouvir les plaisirs les plus simples ou résoudre les problèmes les plus noirs d’une vie, les hommes ont toujours su surmonter ces épreuves. Via divers moyens, des solutions plus ou moins extravagantes, de bonnes idées ou de grandes conneries. Parmi ces conneries, l’addiction. Elle n’est pas l’idée première mais l’une de ses conséquences fondamentales et souvent directe. 
Effectivement, lorsque les hommes s’ennuient ou qu’ils font face à des difficultés, ils aiment se laisser aller à l’abus de divers produits pour s’euthanasier l’esprit, savourer l’instant présent ou fuir les problèmes. L’addiction vient alors telle une maîtresse insidieuse et cruelle.
Cependant, l’addiction est parfois beaucoup plus sournoise dissimulée derrière un masque de joie. Sans possibilité de l’apercevoir s’approcher. L’Amour, qui fit sombrer tant d’hommes… Le départ de l’être aimé qui ne laisse qu’un manque à combler, ce sentiment de vide, ce besoin. Cette addiction.
Ainsi l’addiction se trouve être l’une des plus grandes hantises de l’homme. Incontrôlable, elle soumet l’être humain alors qu’il pense pouvoir la maîtriser.
Mais dans l’instant présent, je vous parle d’addiction car je me ressens dépendant de cet infime bout de papier matelassé rose, signant la fin du règne de ses prédécesseurs. Alors qu’il reste tant à essuyer…

Une fois de plus le génie humain sera mis à rude épreuve pour surmonter cette addiction et palier à cette péripétie autrement. Souhaitez-moi du courage !


[i] Je sais pas trop ce que ça vaut niveau style et punchline donc quelques retours seraient les bienvenus :) [/i]

T'as toujours eu une super vie
T'as jamais eu de problèmes
Tu t'es toujours amusé, t'as toujours souri
Toujours posé, toujours tranquille, t'as jamais connu la vie de bohème,
Jeune connard, grande gueule et orgueilleux
Tu t'es toujours cru parfait, grandiose et majestueux,
Une vie sans morale, une vie ineffable
Une vie de Roi, tu te croyais intouchable
Tu te pensais maître de ton destin
Pensais avoir le pied sur la pédale de frein
Pouvoir régner, contrôler tes sujets
Mais t'as rien vu venir, pas même le mur sur lequel tu t'es écrasé
T'as voulu mener une vie de Prince comme un chien,
Mais souviens-toi qu'un clébard ne vaudra jamais un souverain.

Jamais tu n'y aurais pensé, vraiment
Tu l'as appris à tes dépends, tel un enfant grandissant
Personne n'est à tes ordres, tout ne t'es pas dû
T'as rien vu venir, t'as l'impression qu'y a plus de tur-fu,
Tu l'as cru tout à toi
Mais elle a détruit ta foi
Tu te prenais pour un grand prêcheur
Mais tes discours ne valent pas ceux d'un petit seigneur
Alors ouais, c'est plus simple de boire
Pour oublier ou ne plus chercher à savoir
C'est simple d'esquiver les difficultés,
Et sûrement moins difficile de choisir la simplicité
Ça te donne peut-être l'impression d'être plus fort
Mais saches que du début à la fin t'as eu tort !

Ouais mon gars, tu l'as perdue !
Mais tu savais que tu faisais de la merde, tu l'as bien vu
C'est pas grave il te reste tes amis
Ils t'ont toujours dis qu'ils seraient là pour toi aussi
Mais ce que tu donnes, souviens-toi que ce n'est pas toujours rendu
Alors tu te sens parfois seul, souvent perdu
Même lorsque certains ont pu te décevoir
T'aurais pu les défoncer, leur péter la mâchoire
Mais mieux vaut savoir pardonner, tu sais
Car le pardon est la meilleure solution, ah s'ils savaient !
Alors tu continues comme tu peux,
Tu te démerdes, t'essaies de faire de ton mieux
Même si c'est jamais assez, t'arrête pas,
Continue comme ça mon gars !

T’as pas fait beaucoup de choses dans ta vie,
Mais y’a bien un truc que t’as appris
C’est pas parce que la vie est une belle salope
Que les salopes ont une belle vie,
Alors fais pas le con, commence pas la clope
N’oublie pas de réfléchir, arrête les conneries !
Sois pas pessimiste, ça ira mieux après
Le temps est en perpétuel chang’ment, jamais il ne s’est arrêté 
Alors putain, continue d’avancer 
Souviens-toi que toutes les situations évoluent, et ne peuvent que s’améliorer
Donc change, cesse d’être un parfait connard,
Tu te trompes quand tu dis que la vie n’est qu’un traquenard,
Alors vis ta vie comme tu l’entends !
Sans ne jamais devenir un sourd ou un malentendant.




[i] J'ai écrit ça à l'arrache sur une des tables de mon lycée avec un marqueur, la philow m'inspirait vraiment x)
Je ferais peut-être une suite un jour si l'inspi me vient [/i]

&quot;Le bruit du silence
Qui lentement avance
Il te surprend
Jamais tu ne t'y attends
Lorsque d'un coup
Jusqu’à ce que tu en deviennes fou 
Il décide de ton sort
La vie ou la mort,
L'enfer ou le paradis,
Si tu continues ou si c'est fini.
Lorsque j'appose ces mots
De la pointe de mon stylo
J'influe sur ton destin,
Je décide de ta fin.&quot;



(J'étais pas trop sûr pour le groupe + NSFW pour les fragiles)

[i]Cela faisait un moment que je n'avais pas écrit, et je pense que dernièrement j'en avais besoin. En espérant que vous aimerez me lire :[/i]

Chevelure d’or, aube couchante. Spectacle de lumière jouant de ses reflets. Elle semble si proche, et pourtant inatteignable. Effet de lumière, mon œil se tromperait-il ? Mon regard devenu infidèle ? Ou peut-être est-ce seulement mon esprit, troublé par son inimaginable beauté ? Comment savoir. Le fait est là, présent. Comme un indice laissé à la portée de tous. Elle est obsédante de sa beauté angélique. De son esprit enjoué, elle me fait chavirer. Mystérieuse, intrigante. Et pourtant. 

Beauté angélique, elle ne peut que me regarder de haut. Sa chevelure d’or, ondulante, chatoyante, hypnotisante, pourrait-être l’œuvre de Dieu. Elle est sa signature. Beauté déifiée, elle ne peut que rire de moi. Comment pourrait-il en être autrement ? Perdrait-elle son temps avec moi, simple mortel ? Sacrifierait-elle de son temps pour le personnage de second rang que je suis ? De sa vertu, sa beauté, sa droiture, pourrait-elle élever mon âme ? Le souhaiterait-elle seulement ? 

Tant de questions, si peu de réponses. Le temps pourrait-il jouer en ma faveur ? Comment l’atteindre ? Comment lui parler ? Comment me rapprocher ? Suis-je condamné à la contempler d’en bas, tandis qu’elle m’ignore d’en haut ? La fin de cette histoire est-elle déjà  écrite ? Tant de réflexions, et si peu d’actions. Devrais-je foncer ? M’envoler jusqu’à elle ? La surprendre de mon amour ? Pourrais-je seulement y arriver ? M’élancer dans le vide, avec pour seul motivation l’espoir de l’atteindre, et comme seule certitude qu’il y ait une chance que je vole ? Tant d’imagination. Si peu de certitudes. Ai-je seulement une chance ? 

Le vide m’appelle… devrais-je tenter le destin ? Sauter, pour la rejoindre ? Risquer de tomber, de m’écraser ? Ou peut-être m’élever, et la rejoindre ?

Je fonce. Je saute. Je tombe. Ou peut-être que je vole ? Je ne connais pas cette sensation. Est-ce que je lévite, ou la chute est juste longue ? Comment savoir… 

Le sol est froid. Et mon corps douloureux. Visiblement, je ne me suis pas envolé longtemps. Je suis sur le dos. Mes muscles sont endoloris, et le froid s’empare de moi. Ou peut-être est-ce une illusion de mon esprit ? Je ne sais plus si je peux me fier à lui. Tout est noir autour de moi, excepté cette lueur dans le ciel. Ce rayonnement, qui semble lointain. Inatteignable. Distant. À peine percevable. 

Mon regard m’abuserait-il ? La lueur se rapproche. D’un point blanc, elle devient une tâche. D’une tâche, elle se mue en un soleil à mesure qu’elle semble se rapprocher. C’est maintenant une certitude. Cela vient pour moi. L’éclatante lumière m’aveugle maintenant. Est-ce ça, la mort ? 
Toute proche, elle réchauffe mon corps transi de froid. Je me sens décoller de terre, lévitant devant ce gouffre éclatant d’un blanc pur. La lumière reste toujours aussi éclatante, mais s’adoucit, devenant agréable à mon regard. De cette brèche, s’élance mon ange. Aurait-elle décidé de me rejoindre ? Je la vois s’approcher, fendant ainsi les airs de sa magnificence. Son être venant rejoindre le mien, son visage s’approcher du mien, ses lèvres rencontrer les miennes. Son essence percuter la mienne.

Explosion des sens, mélange des sensations, mes émotions se perdent dans ce nirvana. Je ne peux plus penser, réfléchir. Je ne peux qu’être témoin du moment présent, de cet instant de bonheur intense. De mon fort intérieur perdu au sein de ces émotions, affolées par son être communiant avec le mien. Les sensations me submergent, son regard rivé dans le mien. Mon regard rivé dans le sien. Elle sonde mon âme, j’apprends de la sienne. Et c’est avec son image, que mon regard se ternit. Tout cela est nouveau pour moi. Trop intense, trop puissant. Mon corps ne peut tenir plus longtemps.  
Je sombre dans l’inconscience…

J’ouvre à nouveau mes yeux. Mon cerveau semble avoir du mal à analyser ce que je vois. Où puis-je bien me trouver ? Mon esprit est embrumé. Ces murs je les connais. Je suis en sueur, j’ai très chaud. Peut-être est-ce à cause de ma couverture ? Ou ai-je simplement oublié de baisser le chauffage avant de me coucher ? C’est bien mon genre. Il commence à faire jour dans ma chambre, il ne doit pas être loin de sept heure je suppose. Où est passé mon ange ? Ah… Oui, j’ai dû rêver. Mon réveil devrait bientôt sonner, peut-être ai-je encore le temps de dormir quelques minutes. 

Afin de retrouver mon Ange…


Ayant récemment reçu ma tablette graphique, j'ai commencé à m'en servir et à la tester un peu.
Pour le moment la chose la plus concluante est celle-ci. 
Qu'est-ce que vous en pensez ? Des choses à améliorer ? Des conseils ? 

Azir in da place
(Je vous conseille de mettre en 720p voir 1080p pour la résolution)

&quot;J'écris sur Internet car je suis un Artiste. D'ailleurs, j'écris en rouge et votre écran est en fait une chaise. Car je suis un Artiste.&quot;

Ludescal

Le devoir.

[NSFW]Joli cosplay Master Chief !

Spleen

Une Destinée...

Le Silence

Rêver ses songes.

Tout n'est que tromperie !

La vérité du jeu

Un futur Choual !

Nouveau produit Apple : la iTable

Ça c'est ma société !

Plume Quotidienne #3 - Lud'

Rap - L'apprentissage

Silence

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Facebook, un monde d'amour

Une enfance difficile.

This is Panth-... Nope !youtube.com

Who Fed Kayle ?!