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 Société Jeux olympiques de Paris 2024 
 Le suspect, placé en garde à vue à la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire, est soupçonné d’avoir proféré des menaces sur une chaîne Telegram baptisée « Division aryenne française » dont il était administrateur. 
 
Un jeune homme appartenant à la mouvance néonazie, soupçonné de projeter des actions violentes à l’occasion des Jeux olympiques (JO), a été interpellé dans la matinée du mercredi 17 juillet dans le Bas-Rhin par la police antiterroriste, selon une source proche de l’enquête au Monde. Il s’agit d’un ex-antifasciste de 20 ans, selon la même source.
 
Une source proche de l’enquête, confirmant une information du Parisien, avait dans un premier temps avancé que ce jeune homme était soupçonné de projeter des actions violentes pendant les JO. « Les propos signalés, à l’origine des investigations, ne visent pas l’organisation des Jeux olympiques », a cependant précisé le parquet de Paris dans l’après-midi.
 
« C’est quelqu’un qui était connu (…) du ministère de l’intérieur pour des idées que l’on pourrait qualifier de néonazies », a précisé le ministre de l’intérieur, Gérarld Darmanin. « Il avait l’envie de toucher des cibles politiques ou des gens issus de l’immigration (…) et l’envie d’intervenir pendant une étape du relais de la flamme », a-t-il ajouté devant la presse en marge d’un déplacement dans Paris lié aux JO 2024.
 
A la suite d’un signalement, le suspect a été interpellé mercredi matin à son domicile, dans la petite commune de Rhinau, au sud de Strasbourg, a précisé une autre source proche de l’enquête. Il a été placé en garde à vue à la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire. Le jeune homme est soupçonné d’avoir proféré des menaces sur une chaîne Telegram baptisée « Division aryenne française », dont il était administrateur, a précisé cette source.
 
L’enquête, conduite par le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH), rattaché au parquet de Paris, a notamment été ouverte pour « menace de mort » et « provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, la race, l’ethnie, la nation, ou la religion », selon les informations du parquet de Paris au Monde. Le Parquet national antiterroriste a précisé à l’Agence France-Presse être en observation sur cette affaire.
 
Emanation du groupe d’extrême droite FRDeter
 
Selon Le Parisien, il avait notamment menacé sur Telegram de s’en prendre, lors du relais de la flamme olympique, à la drag-queen Minima Gesté, dont la désignation comme porteuse de flambeau à Paris avait suscité des propos homophobes.
 
Toujours selon le quotidien, cette chaîne Telegram est une émanation du groupe d’extrême droite FRDeter, dont les membres échangeaient, également sur cette messagerie sécurisée, des propos racistes et des appels à la violence.
 
Le ministre de l’intérieur avait demandé la fermeture de ces boucles Telegram en avril 2023 et une enquête avait été ouverte par le parquet de Paris pour « apologie du terrorisme, menaces de mort ou autres crimes, incitation à la haine ou à la violence notamment ».
 
A la suite de l’arrestation du suspect, l’un des administrateurs de la chaîne Telegram a publié un message, annonçant stopper « momentanément l’envoi de messages sur ce groupe », avant de préciser : « Il rouvrira une fois la situation éclaircie par les services compétents. »
 
 Le Monde avec AFP 
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Un jeune néonazi en garde à vue pour avoir projeté de commettre des actes violents à l’occasion des JO

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La vie retournait à un semblant de normalité ce mercredi après-midi à Tbilissi après la « folle journée » de mardi qui a vu l e Parlement adopter la loi controversée sur les influences étrangères, par 84 voix contre 30. Une foule d&#039;environ 80.000 personnes a défilé dans le calme dans la nuit pour protester contre cette « loi russe » et des représentants de pays européens se succéder à la tribune pour afficher leur soutien.
Avant un nouveau cortège, programmé en soirée par les leaders de la contestation, issus d&#039;une centaine d&#039;organisations de la société civile, les Occidentaux ont continué d&#039;exprimer leur soutien, ou d&#039;appeler le régime géorgien à suspendre cette loi qui enregistrerait sous l&#039;appellation infamante « d&#039;agent au service d&#039;une puissance étrangère », autant dire « traître » tout média ou ONG recevant plus d&#039;un cinquième de son financement de l&#039;étranger. Sachant qu&#039;il est quasiment impossible pour des médias ou ONG critique du régime de fonctionner sur de seules ressources locales en raison des pressions politiques sur d&#039;éventuels financiers.
Les Occidentaux appellent le régime à reculer
Mercredi, ce sont les ministres des affaires étrangères des Etats baltes et d&#039;Islande qui ont pris le relais des présidents des commissions des affaires étrangères des Parlement d&#039;Allemagne, Lituanie, Pologne, Finlande et République tchèque, arrivés lundi. Ces derniers, qualifiés de « politiciens frivoles » par le président du Parlement géorgien, avaient pris la parole devant le bâtiment où une foule de dizaines de milliers de manifestants s&#039;était massée et chantait tantôt l&#039;hymne national tantôt celui de l&#039;Union européenne, l&#039;ode à la joie de la neuvième symphonie de Beethoven.
James O&#039;Brien, représentant du Département d&#039;Etat américain, a aussi menacé de sanctions, suspension de visas et gels d&#039;avoirs les députés ayant voté la loi, ainsi que leurs familles. Nul consensus sur des sanctions ne semblait se dessiner en revanche, à Bruxelles en raison de l&#039;opposition de la Hongrie et de la Slovaquie. Aucun dirigeant de haut niveau français, britannique, ou italien n&#039;a été dépêché à Tbilissi ces derniers jours. Mais Paris a déploré, mercredi, le vote de cette loi.
Mercredi, le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell et la Commission européenne ont appelé la Géorgie à retirer cette loi, que l&#039;OTAN qualifiait de « pas dans la mauvaise direction », qui « éloigne la Géorgie de l&#039;intégration européenne et euro-atlantique ». L&#039;aspiration à rejoindre l&#039;UE et l&#039;Otan est inscrite dans la Constitution géorgienne. Tbilissi dispose depuis décembre dernier du statut de candidat à l&#039;adhésion à l&#039;Union depuis décembre dernier mais ne dispose pas de celui d&#039;entrée à l&#039;Alliance atlantique. L&#039;adhésion à cette dernière est pourtant jugée prioritaire par les manifestants rencontrés par « Les Echos », car elle serait censée apporter la sécurité par rapport à la Russie. Le Haut-Commissaire de l&#039;ONU aux droits de l&#039;homme, Volker Türk, a dit pour sa part « regretter profondément » l&#039;adoption de cette loi malgré les « avertissements des défenseurs des droits humains ».
Deux semaines de tension au moins en perspective
Le vote de la loi en troisième et dernière lecture de la loi, mardi, constitue certes un revers pour les manifestants et les partisans d&#039;une intégration à l&#039;Ouest, nombreux aussi, paradoxalement, au sein du parti au pouvoir, Rêve Géorgien. Mais la crise est loin d&#039;être finie. La quasi-totalité des universités ne fonctionne déjà plus. Les porte-parole des contestataires ont appelé mardi soir à la désobéissance civile ainsi qu&#039;à une grève générale, dont les effets n&#039;étaient pas perceptibles , mercredi dans Tbilissi, où tous les magasins étaient ouverts et les bus en circulation. Mais la perspective d&#039;un impact économique a fait dévisser de 15 % le cours des deux principales banques géorgiennes, cotées à la Bourse de Londres, mercredi matin, et l&#039;indice de la Bourse de Tbilissi reculait de 11 % à 14 h.
Les partis d&#039;opposition, très dispersés aux dernières élections et dont aucun ne dépasse 12 % d&#039;intentions de vote dans les sondages, mais « qui semblent commencer à prendre conscience qu&#039;ils jouent leur survie avec le passage de cette loi » , souligne Levan Tsutskiridze, directeur du centre d&#039;Europe de l&#039;est pour la démocratie multipartis (EECMD), ont été appelés à s&#039;unir par les porte-parole de la société civile, ainsi que par la présidente pro-Européenne, Salomé Zourabichvili.
Cette dernière dispose de peu de pouvoirs hormis un droit de veto, qu&#039;elle s&#039;est dit déterminer à exercer sur cette loi. Ce veto peut être surmonté à la majorité des deux tiers lors d&#039;un scrutin qui interviendrait d&#039;ici deux ou trois semaines ; Il faudrait donc que dix des 84 députés de la coalition au pouvoir ayant voté la loi mardi changent d&#039;avis pour que le veto tienne.


La Géorgie retient son souffle


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Des rémunérations « stratosphériques » et des écarts « indécents » : les patrons du CAC 40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que le salaire moyen dans leurs entreprises en 2022, un fossé qui se creuse depuis 2019, révèle une étude d’Oxfam publiée mardi 30 avril.
 
 
 
 
 
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 05:09
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 En 2022, les dirigeants du CAC 40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que leurs salariés, soit une augmentation d’environ 17 % depuis 2019. | AFP
 
 
 
 
 
 
 
 
En 2022, les dirigeants du CAC 40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que leurs salariés, soit une augmentation d’environ 17 % depuis 2019. | AFP 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Des rémunérations « stratosphériques » et des écarts « indécents » : les patrons du CAC 40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que le salaire moyen dans leurs entreprises en 2022, un fossé qui se creuse depuis 2019, révèle une étude d’Oxfam publiée mardi. « Les richesses produites continuent de croître » dans les entreprises du CAC 40, « pourtant cette redistribution des richesses est inéquitable », se désole Oxfam dans son rapport intitulé « Cash 40 : trop de millions pour quelques hommes ».
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
En 2022, les dirigeants du CAC 40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que leurs salariés, soit une augmentation d’environ 17 % depuis 2019, indique l’association. En 1979, ces patrons « ne gagnaient en moyenne + que + 40 fois plus que le Smic », précise-t-elle. Ces écarts s’expliquent selon l’ONG par « des rémunérations de dirigeants démesurées et déconnectées » : en 2022, ces patrons ont gagné en moyenne 6,66 millions d’euros, soit 27 % de plus que trois ans auparavant. Les salariés ont de leur côté vu leurs salaires n’augmenter que de 9 %.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Certaines entreprises « creusent davantage les inégalités » que d’autres. Teleperformance affiche « de loin » le plus grand écart de rémunération, affirme ainsi Oxfam, son PDG Daniel Julien ayant gagné 1 453 fois plus que le salaire moyen de son entreprise en 2022, avec ses 19,7 millions d’euros. Juste après arrive Carrefour, dont le PDG a gagné 426 fois plus, un écart qui s’explique « par un très faible salaire moyen », précise Oxfam.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Un salaire annuel en neuf heures
 
 
 
« Alexandre Bompard gagne en seulement 9 heures l’équivalent du salaire moyen annuel des salariés de Carrefour, alors même qu’on est en pleine crise agricole et qu’on subit encore les conséquences de l’inflation », résume Léa Guérin, chargée de plaidoyer sur les questions de régulation des multinationales.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le patron de Stellantis Carlos Tavares ne figurait en 2022 « que » sur la troisième marche du podium des mauvais élèves, ses 22 millions d’euros représentant 341 fois plus que le salaire moyen chez le constructeur automobile. Un montant déjà jugé « choquant et excessif » par le président français Emmanuel Macron.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
En 2023, la hausse spectaculaire de sa rémunération – qui pourrait cette fois-ci atteindre 36,5 millions d’euros – a encore créé la controverse, bien qu’elle a été validée par les actionnaires à 70 %. Pour Oxfam, c’est justement la relation « toxique » entre actionnaires et dirigeants qui permet le versement de ces rémunérations « stratosphériques ».
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Selon l’ONG, la part fixe des rémunérations de dirigeants représentait en moyenne 27 % en 2022. Les parts variables ou en actions – basées surtout sur des critères financiers et de court terme définis par les actionnaires – représentait elles 69 %. « Le gouvernement et les grandes entreprises ne sont pas à la hauteur d’un partage de la valeur juste et équitable avec leurs salariés, mais aussi la planète », affirme Oxfam, selon qui ces sommes exorbitantes manquent à l’investissement dans la transition énergétique.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Salaire maximum
 
 
 
L’association milite pour que la rémunération des dirigeants soit conditionnée à une stratégie climat articulée, à un salaire « décent » dans l’ensemble de l’entreprise et qu’elle soit moins liée aux critères financiers. Elle réclame surtout l’instauration d’un salaire maximum, qui représenterait 20 fois le salaire médian de l’entreprise. C’est à peu près l’ordre de grandeur qu’on trouvait en 2022 avec le salaire moyen chez Crédit Agricole (23) ou Orange (29).
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Une idée qui fait son chemin chez les députés de gauche, des socialistes aux insoumis, qui réfléchissent à des propositions de loi. Du côté des entreprises visées, Teleperformance affirme que l’écart souligné par Oxfam entre dirigeant et salariés est « purement théorique et non réel ». L’entreprise, contactée directement par l’ONG, souligne que la rémunération de son PDG incluait des « actions de performance », ce qui signifie que la « valeur retenue » n’est « pas celle que les bénéficiaires vont recevoir », en fonction des objectifs réalisés et de l’éventuelle « baisse du cours de bourse ».
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Carrefour affirme aussi que les calculs d’Oxfam ne correspondent « pas à une quelconque réalité », puisqu’ils rapportent la rémunération de M. Bompard à celle des 334 000 salariés à travers le monde – dont une majorité au Brésil -, malgré des « écarts de pouvoir d’achat » entre pays. Le salaire moyen dans la grande distribution est par ailleurs « significativement inférieur à d’autres secteurs », a indiqué le groupe, car la main-d’œuvre est « souvent peu qualifiée ». Contacté par l’AFP, Stellantis n’a pas souhaité réagir.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Les dirigeants du CAC 40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que leurs salariés en 2022


 
 
Une conférence de presse pour faire le point sur « une enquête qui n&#039;est pas terminée ». Le procureur de la République de Mont-de-Marsan, Olivier Janson, a évoqué les dernières évolutions de l&#039;enquête sur la blessure par balle de Kendji Girac. Après être revenu sur la chronologie des faits survenus au petit matin du lundi 22 avril, le procureur a évoqué « une omerta qui va marquer le début de l&#039;enquête ».
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À leur arrivée sur le camp, les pompiers vont entendre « des versions différentes » de la part des personnes présentes sur le camp, situé à Biscarosse, dans les Landes, et qui compte environ 80 caravanes. L&#039;accueil des pompiers a été « rugueux », car « leur intervention n&#039;a pas été facilitée ». Kendji Girac a été trouvé assis sur une chaise, en caleçon. Selon le médecin légiste, « aucun organe vital n&#039;a été touché ».
« Une addiction naissante » à l&#039;alcool
Le procureur de la République de Mont-de-Marsan a apporté plusieurs éléments nouveaux à l&#039;enquête. Kendji Girac et sa compagne, Soraya Miranda, ont été entendus et ont livré leur version respective des faits.
Tout d&#039;abord, le chanteur avait « beaucoup bu » tout le long de la journée et a été contrôlé à un taux d&#039;alcool de 2,5 g/litre de sang le lundi 22 avril à 5 heures du matin. Des traces de cocaïne ont aussi été repérées. Durant son audition, la compagne de Kendji Girac, Soraya Miranda, a évoqué « une addiction naissante » à l&#039;alcool de la part du chanteur, ce qui cause des « tensions » dans le couple selon cette dernière.
Une dispute a eu lieu dans la soirée du tir, selon sa compagne, qu&#039;il a rencontrée en 2014. Vers 3 heures, le chanteur était en caleçon, en état d&#039;ébriété, et a réveillé sa fille qui dormait. Cela a provoqué la colère de sa femme. Cette dernière lui aurait alors demandé de partir, ce qu&#039;a fait le chanteur. Quelques instants plus tard, elle a entendu « un coup de feu » puis a découvert Kendji Girac blessé.
« Il n&#039;y avait personne d&#039;autre dans la caravane, ça ne peut être que lui qui s&#039;est tiré dessus, volontairement ou non », a expliqué la compagne de Kendji Girac aux enquêteurs. Dans la caravane où Kendji Girac s&#039;est blessé, « la présence d&#039;un tiers est jugée impossible ». Un scénario confirmé par le procureur, pour qui « le tir a été provoqué volontairement par Kendji Girac ». La balle a d&#039;ailleurs été retrouvée et fait l&#039;objet d&#039;expertises balistiques.
La version de Kendji Girac
Le chanteur a livré sa version des faits et a « voulu faire peur » à sa femme. Pour cela, il a « voulu simuler un suicide ». Olivier Janson, le procureur de la République de Mont-de-Marsan, a évoqué les idées suicidaires du chanteur, lauréat de trois NRJ Music Awards depuis 2014. Il aurait déjà dit à sa femme « qu&#039;il allait se mettre une balle ». « Je voulais faire entendre le bruit de la détente à Soraya, pour qu&#039;elle ne parte pas », a raconté l&#039;artiste, regrettant d&#039;avoir trop bu. « C&#039;était les vacances, j&#039;ai tout lâché, je n&#039;aurais pas dû boire autant lors d&#039;un premier repas », a-t-il déploré lors de son audition aux enquêteurs.
Dernier point, le natif de Périgueux est aussi revenu sur l&#039;acquisition de ce pistolet, qu&#039;il n&#039;a pas acheté dans une brocante comme il l&#039;avait expliqué lors de ses premières explications. Selon ses dires, Kendji Girac a acheté ce pistolet à un homme inconnu pour la somme de 500 euros, s&#039;excusant au passage des « mensonges » que contenait sa première version des faits.


Kendji Girac blessé par balle : le chanteur a voulu « simuler un suicide »


Le Sénat a adopté ce mardi 9 avril une proposition de loi pour limiter les grèves dans les transports pendant certaines périodes.
Vacances scolaires, jours fériés… Contre l’avis du gouvernement, le Sénat a adopté ce mardi 9 avril une proposition de loi pour limiter les grèves dans les transports pendant certaines périodes, suscitant un débat très abrasif à quelques mois des Jeux olympiques. Mesures nécessaires pour «assurer la continuité du service», ou «attaques délibérées contre le droit de grève» ? Les clivages ont été ravivés entre la gauche, farouchement opposée au texte, et la majorité sénatoriale de la droite et du centre, parvenue sans surprise à le faire adopter à 211 voix contre 112.
«Trop, c’est trop. Nos concitoyens n’en peuvent plus», a lancé le chef des sénateurs centristes Hervé Marseille, auteur de cette proposition de loi déposée en février, alors qu’au moins 150 000 voyageurs avaient vu leur départ en vacances perturbé par une mobilisation des contrôleurs de la SNCF. «Face aux excès», il faut «rétablir un équilibre entre droit de grève et continuité du service», a-t-il ajouté.
Le texte du patron de l’UDI octroie au gouvernement un quota de 30 jours par an durant lesquels les «personnels des services publics de transports» - excepté le secteur aérien - seraient privés de leur droit de grève, avec une limite de 7 jours d’affilée par période d’interdiction. Ces jours sanctuarisés ne concerneraient que certaines périodes : vacances scolaires, jours fériés, élections et référendums ainsi que des événements «d’importance majeure», comme les JO. Et l’interdiction de faire la grève serait limitée aux seules heures de pointe et aux personnels indispensables au fonctionnement du service.
«Non au blocage absolu»
«Nous disons oui au droit de grève mais non au blocage absolu de tout un pays», a affirmé le rapporteur Philippe Tabarot (LR). «Ce n’est pas possible, pendant les Jeux olympiques, de prendre en otage des milliers de Français qui se sont sacrifiés pour acheter des billets pour assister aux compétitions», s’est justifié son collègue Michel Savin, alors que plusieurs syndicats menacent de se mobiliser pendant cette période. Le texte prévoit aussi d’allonger le délai de déclaration des grévistes de 48 à 72 heures, de rehausser le «niveau minimal de service» aux heures de pointe avec un processus de réquisitions sous conditions strictes, ainsi qu’un dispositif de caducité de certains préavis non suivis d’effet, pour lutter contre les «préavis dormants» qui courent parfois pendant plusieurs mois. Autre mesure votée : celle qui impose aux salariés souhaitant faire la grève de rejoindre le mouvement dès le début de leur service et non en cours de journée. Une manière de lutter contre les «grèves de 59 minutes», moins coûteuses pour le salarié mais sources selon la droite d’une grande désorganisation.
Ce débat avait été rouvert lors des vacances scolaires de février, notamment par la déclaration très commentée du Premier ministre Gabriel Attal qui avait déploré une «forme d’habitude» à la grève pendant certaines périodes et affirmé que si «la grève est un droit», «travailler est un devoir». Mais le ministre des Transports Patrice Vergriete s’est finalement opposé au texte, questionnant sa conformité avec la Constitution et refusant de «monter les Français les uns contre les autres, ceux qui ont les moyens de partir en vacances contre ceux qui se lèvent tous les matins pour aller au travail». Cette position risque de compliquer les chances d’une inscription du texte à l’Assemblée nationale à court terme.
«Une provocation qui risque de mettre le feu aux poudres»
Certains membres de la majorité présidentielle ont néanmoins voté pour, comme les sénateurs Horizons qui siègent pour la plupart au groupe des Indépendants, ou leurs collègues du MoDem, affiliés au groupe centriste. Le groupe macroniste (RDPI) s’est abstenu. L’ensemble de la gauche s’est opposé en bloc à ce texte, sans succès. «A trois mois des JO, c’est une provocation qui risque de mettre le feu aux poudres dans un contexte de grave crise sociale», s’est inquiétée la communiste Marie-Claude Varaillas. «La majorité sénatoriale tente de se réapproprier le droit aux vacances au nom de l’intérêt général», a renchéri le socialiste Olivier Jacquin, son collègue écologiste Guillaume Gontard dénonçant pour sa part «un texte qui s’assoit clairement sur notre Constitution et notre histoire».
Ces derniers jours, la CGT transports avait aussi fustigé «l’élan de populisme» de la majorité sénatoriale, l’accusant de vouloir «mieux servir les intérêts du capital».


Droit de grève dans les transports : le Sénat adopte l’interdiction sur certaines périodes


Something went wrong, but don’t fret — let’s give it another shot.



Des perquisitions étaient en cours mercredi à la mairie du Havre et au siège de la communauté urbaine, dans le cadre d’une enquête du parquet national financier ouverte en décembre 2023. Celle-ci vise notamment l’ex-Premier ministre Edouard Philippe, a-t-on appris de sources judiciaire et proche du dossier. Cette enquête a été ouverte après le dépôt d’une plainte et porte sur des soupçons de « prise illégale d’intérêts, favoritisme, détournement de fonds publics et harcèlement moral », a précisé la source judiciaire, confirmant une information du Monde.
La plainte, déposée en septembre 2023, vise le maire Horizons du Havre et possible candidat à la présidentielle 2027, l’adjointe au maire chargée de l’innovation et du numérique Stéphanie de Bazelaire et la directrice générale des services de la communauté urbaine Claire-Sophie Tasias. « Le maire, les élus et les équipes de la ville du Havre et de la communauté urbaine […] se tiennent entièrement et sereinement à la disposition du parquet pour donner l’ensemble des éléments nécessaires à l’enquête », ont-ils réagi dans un communiqué transmis à l’AFP.
Une adjointe aux multiples casquettes
L’enquête, confiée à l’office anti-corruption (Oclciff) et à la police judiciaire de Rouen, s’intéresse à une mission confiée à une association chargée de l’animation de la Cité numérique de la ville. En juillet 2020, Edouard Philippe, président de la communauté urbaine, a signé avec Stéphanie de Bazelaire, en tant cette fois que présidente bénévole de l’association LH French Tech, une convention d’objectifs pluriannuelle pour l’exploitation et l’animation de la Cité numérique.
Des juristes de la communauté urbaine ont émis des recommandations et alertes sur la situation de conflit d’intérêts dans laquelle se trouvait Stéphanie de Bazelaire, selon Le Monde. LH French Tech, créée en juillet 2020, a été désignée pour cette mission après un appel à manifestation d’intérêt lancé par la communauté urbaine en mars 2020 et dans le cadre d’un service d’intérêt économique général (SIEG). L’association, seule candidate, devait toucher de la communauté urbaine 2,154 millions d’euros de compensation de service public pour mener à bien les projets, rappelle Le Monde.


Une enquête ouverte par le PNF visant notamment Edouard Philippe


 l&#039;essentiel
 Gabriel Attal a annoncé mardi 2 avril à l’Assemblée nationale qu’une mission parlementaire fera &quot;d’ici à juin&quot; des propositions &quot;sur la taxation des rentes&quot;.
 
 
 
 
Une mission de la majorité fera &quot;d’ici à juin&quot; des propositions &quot;sur la taxation des rentes&quot;, a annoncé Gabriel Attal mardi devant le groupe Renaissance à l’Assemblée nationale, selon Matignon, alors que l’opportunité d’augmenter les impôts pour résorber le déficit divise le camp présidentiel. Quel est l’objet de cette mission ? Qui est concerné ? La Dépêche fait le point.
Quelle est cette mission et quel est son objectif ?
&quot;J’ai souhaité confier une mission à notre majorité, une mission conduite par Jean-René Cazeneuve, notre rapporteur du budget, avec un représentant de chaque groupe&quot; de la majorité, a expliqué Gabriel Attal. &quot;L’objectif de cette mission : faire des propositions sur la taxation des rentes&quot;, a déclaré le Premier ministre, selon ses propos rapportés à l’AFP par Matignon.
 
 
 
Gabriel Attal a aussi affirmé que &quot;nous devons assumer&quot; une réforme de l’assurance chômage &quot;pour construire un pays plus fort&quot; quand plusieurs ténors de &quot;l’aile gauche&quot; de la majorité ont exprimé leur opposition à une réduction de la durée de l’indemnisation des demandeurs d’emploi. &quot;C’est grâce à l’emploi que nous pourrons désendetter le pays et réarmer nos services publics&quot;, a-t-il estimé, avançant que cette réforme a pour but de faciliter le retour des chômeurs à une activité.
Pour la mission sur &quot;la taxation des rentes&quot;, Nadia Hai représentera Renaissance, Jean-Paul Mattei le Modem, et un autre député qui n’a pas encore été désigné le groupe Horizons, a-t-il précisé.
&quot;On va trancher ce débat ensemble, car on ne doit pas subir, mais on doit être à l’offensive. Maîtriser les débats qui montent dans l’opinion. Faire des propositions et décider. Mais on doit surtout avancer de manière coordonnée, cohérente. C’est l’objet de cette mission&quot;, a expliqué le chef du gouvernement.
Qui est concerné ?
Gabriel Attal n’a pas précisé quelles rentes pourraient être soumises à l’impôt. S’agira-t-il de s’en prendre aux &quot;gros&quot; épargnants (multi-propriétaires fonciers, grands investisseurs), ou, à l’inverse, aux détenteurs d’assurance-vie ou de livrets A, livret d’épargne le plus prisé du pays ? Question à laquelle Matignon, n’a, pour l’heure, pas donné de réponse.
Quand rendra-t-elle son verdict ?
Les travaux de cette mission parlementaire seront rendus &quot;d’ici à juin&quot;, a poursuivi le Premier ministre, qui a souhaité que &quot;toute la majorité soit associée&quot; à ce travail. Il a également rappelé que la semaine prochaine, le gouvernement donnerait &quot;la trajectoire qui permettra d’atteindre les 3 % en 2027&quot; et que &quot;fin juin, comme tous les ans, on dira comment on y arrive, avec les recettes, et donc les conclusions de cette mission, mais aussi avec les dépenses, et notamment les économies structurantes et intelligentes&quot;.
 

&quot;Taxation des rentes&quot; : 3 questions sur la mission choc voulue par Gabriel Attal


L’espace Schengen compte, depuis ce dimanche, deux nouveaux membres. Après 13 ans d’attente, la Roumanie et la Bulgarie ont officiellement fait leur entrée à minuit dans cette vaste zone de libre circulation, à l’exception notable des frontières terrestres.
Sur les routes, les contrôles seront pour l’heure maintenus, au grand dam des chauffeurs routiers. La faute au veto de l’Autriche, seul pays réfractaire dans l’UE par peur d’un afflux de demandeurs d’asile.
Ursula von der Leyen juge ce moment « historique »
Malgré cette adhésion partielle, limitée donc aux aéroports et aux ports maritimes, l’étape a une forte valeur symbolique. « Il s’agit d’un grand succès pour les deux pays », a déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. « Le moment est historique pour l’espace Schengen, le plus grand espace de libre circulation au monde. Ensemble, nous construisons une Europe plus forte et plus unie pour tous nos citoyens », a-t-elle affirmé.
La ministre roumaine de la Justice Alina Gorghiu est pour sa part persuadée que cette normalisation va attirer les investisseurs et profiter à la prospérité du pays. « L’attractivité de la Roumanie s’en trouve renforcée et à terme, cela va favoriser la hausse du tourisme », a-t-elle affirmé samedi.
Le gouvernement roumain compte aussi renforcer les effectifs douaniers, notamment à l’égard des mineurs « afin d’éviter qu’ils ne soient la proie de réseaux de traite d’êtres humains ». Dans les aéroports, les agents déployés seront aussi là pour « guider les passagers et identifier ceux qui en profiteraient pour quitter illégalement la Roumanie ».
Une zone de désormais 29 membres
Bucarest et Sofia doivent en effet montrer patte blanche pour espérer lever les réticences de Vienne. L’objectif est à terme de devenir des membres à part entière de l’espace Schengen, au sein duquel plus de 400 millions de personnes peuvent voyager librement, sans contrôles permanents aux frontières intérieures. La Croatie, pourtant entrée dans l’UE après la Roumanie (19 millions d’habitants) et la Bulgarie (6,5 millions), membres depuis 2007, leur avait damé le pion en janvier 2023.
Avec cette double entrée, cette zone créée en 1985 comprend désormais 29 membres : 25 des 27 Etats de l’Union européenne ainsi que leurs voisins associés que sont la Suisse, le Liechtenstein la Norvège et l’Islande.


La Bulgarie et la Roumanie entrent partiellement dans l’espace Schengen


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 cristallise les attentions. Auditionné mardi 5 mars par le Sénat, Gérald Darmanin a été enjoint par la commission des lois à détailler la sécurisation de l’événement. Le ministre de l’Intérieur a notamment expliqué que les 222 000 billets gratuits ne seront plus ouverts au grand public mais désormais à la discrétion de l’État, des collectivités ou du comité d’organisation. La promesse populaire s’évapore au passage.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 La cérémonie d’ouverture des JO 2024 aura lieu sur la Seine. Contrairement au million de spectateurs annoncés au départ, il n’y en aura plus que 326 000 autorisés lors de l’événement, le 26 juillet prochain à Paris. | PHOTO : FLORIAN HULLEU / AFP
 
 
 
 
 
 
 
 
La cérémonie d’ouverture des JO 2024 aura lieu sur la Seine. Contrairement au million de spectateurs annoncés au départ, il n’y en aura plus que 326 000 autorisés lors de l’événement, le 26 juillet prochain à Paris. | PHOTO : FLORIAN HULLEU / AFP 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mardi 5 mars, lors de son audition devant le Sénat, Gérald Darmanin a dû rendre des comptes sur la cérémonie d’ouverture et détailler la sécurisation de l’événement. Un grand oral attendu de tous, qui aura finalement été la lecture de toutes les promesses non tenues par Paris 2024. Si l’on s’était fait à l’idée que la jauge de spectateurs fondait comme neige au soleil, passée de l’utopique million aux 326 000, le désengagement de la politique grand public témoigne du demi-tour opéré par les instances et les autorités.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 222 000 spectateurs sur les quais hauts
 
 
 
Certes il y aura toujours plus de monde sur les quais de Seine que dans les tribunes d’un stade, mais Gérald Darmanin, face à la commission des lois du Sénat, a fermé la boutique au nez de nombreux Français qui espéraient encore acquérir un sésame pour assister au défilé des délégations sur le fleuve parisien. Du moins en annonçant une billetterie gratuite plus restrictive pour les quais hauts, qui devraient accueillir 222 000 spectateurs contre 500 000 au départ pour respecter la règle du « trois personnes au mètre carré » en vigueur sur les six kilomètres concernés le long du fleuve.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Finie l’idée de la plateforme de préinscription, qui aurait permis à chacun et chacune de candidater. ﻿« Nous allons passer par des tiers de confiance, a assuré le ministre de l’Intérieur. C’est notre plan B. C’était ça ou il n’y avait pas de cérémonie. » Les places concernées, qui bordent la Seine du pont d’Austerlitz à la passerelle Debilly, sont ainsi devenues ni plus ni moins, en un claquement de doigts, des invitations. Un tri sur le volet qui peut décevoir quand on l’oppose à la promesse formulée fin 2021 d’une cérémonie d’ouverture « populaire et ouvert au plus grand nombre ». ﻿« On aurait juste eu les noms et les prénoms, justifie Gérald Darmanin. Là, on limitera en grande partie les risques en passant par ces tiers de confiance. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
﻿« Je considère qu’il est indispensable de procéder ainsi, abonde l’ancienne ministre des sports Roselyne Bachelot. Ce seront toujours des places gratuites mais qui seront nominatives et donc vérifiées pour des raisons de sécurité. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Les services de renseignements sur le coup
 
 
 
L’État, la région, les départements, les villes d’Île-de-France accueillant des épreuves mais aussi le comité d’organisation ont en effet récupéré la main. Ils pourront décider selon leurs propres critères à qui reviendront les places, donc le QR Code pour accéder aux quais hauts, et devront en informer le ministère de l’Intérieur avant la fin du mois de mai.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
LIRE AUSSI. Cérémonie d’ouverture des JO 2024 : « La jauge peut encore descendre », prévient le préfet de police
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
L’hôtel de Beauvau se réserve le droit d’interdire l’accès à quiconque présenterait un risque et s’appuie sur les vérifications des services de renseignements, qui en ont déjà effectué 89 000, lesquelles ont conduit à écarter 280 profils qui souhaitaient devenir volontaires ou porteurs de la flamme olympique. « On assume de favoriser des publics prioritaires   », a même glissé en toute transparence un proche de l’Élysée à nos confrères du Parisien. Voilà qui est clair.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


JO 2024. Une cérémonie d’ouverture finalement sur invitation, la promesse populaire s’évapore

J'ai une seat Ateca acquise l'an dernier. Je dois faire la révision de 90 000km. Je me retrouve avec un devis de 650€ de seat et un autre de 230e de chez feu vert. Autant je peux comprendre qu'il y ait une différence autant là je suis un peu perdu. J'arrive pas à determiner si c'est seat qui se craque et m'a pris pour un américain ou si c'est feu vert qui va me faire une révision bâclée en mode wish.

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 &quot;C&#039;est une nuit historique pour l&#039;Argentine&quot;, a réagi le fan de Donald Trump, qui a été félicité par l&#039;ancien président américain.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Publié le 20/11/2023 06:33
 
 
 
 Mis à jour le 20/11/2023 07:19
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Temps de lecture : 
 1 min
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Javier Milei s&#039;adresse à ses supporters après avoir remporté la présidentielle argentine, à Buenos Aires, (Argentine), le 19 novembre 2023. (LUIS ROBAYO / AFP) 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
L&#039;économiste ultralibéral Javier Milei a été élu président de l&#039;Argentine dimanche 19 novembre après sa large victoire avec plus de 55% des voix. &quot;C&#039;est une nuit historique pour l&#039;Argentine&quot;, s&#039;est réjoui l&#039;économiste, fan de Donald Trump. &quot;C&#039;en est fini du modèle appauvrissant de la caste, aujourd&#039;hui nous adoptons le modèle de la liberté, pour redevenir une puissance mondiale&quot;, a ajouté cette personnalité &quot;antisystème&quot;.
&gt;&gt; Argentine : fan de Donald Trump, climatosceptique, ultralibéral... Qui est Javier Milei ?
&quot;Je suis très fier de toi. Tu vas transformer ton pays et faire de l&#039;Argentine à nouveau un grand pays&quot;, a écrit Donald Trump sur son réseau social Truth Social, avant la publication des résultats officiels. Milei, qui se définit comme anarcho-capitaliste, a affirmé à plusieurs reprises ne pas faire &quot;de pactes avec les communistes&quot;. &quot;Félicitations au peuple argentin pour la victoire de Javier Milei. L&#039;espoir brille à nouveau en Amérique du Sud&quot;, a commenté l&#039;ancien président brésilien Jair Bolsonaro (2019-2022).
Les Etats-Unis &quot;félicitent le président-élu de l&#039;Argentine Javier Milei pour sa victoire&quot;, a déclaré le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, saluant &quot;la forte participation et le déroulement pacifique du scrutin&quot;.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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