Bonsoir,
Pour commencer je vous dirais que de toute évidence je suis un compte temporaire (le jeu de mot de malade de mon pseudo).
Je me lance dans l'écriture de cette cool-story comme une sorte de confession sur ma vie.
C’est donc l’histoire d’un homme d’une vingtaine d’année tardive, ayant une situation familiale très difficile avec son père et avec sa propre personne.
Dès l’enfance je me sentais différents des autres, des centres d’intérêts « étranges » pour mon âge, une curiosité exacerbée et des facilités scolaires qui faisaient que je m’ennuyais à l’école… Alors qu’un enfant « normale » rêve de devenir pompier, policier ou que sais-je, mon rêve était de devenir chirurgien.
J’ai toujours refusé de faire mes devoirs ou de réviser mes cours et pourtant tous les soirs je lisais des encyclopédies, des livres d’anatomie, de physique ou d’histoire. De même je pouvais passer des journées entières à regarder des documentaires sur la 5 ou Arte (je sais plus comment s’appelait la chaine avant la TNT).
Toutes ces choses me valaient des moqueries de la part de mes camarades de classes (avec des surnoms bien senties comme « l’intello », « Jimmy neutron » et j’en passe) ou même de ma famille.
À ça s’ajoutait la pression indirecte de tous les adultes qui m’entourait, que ce soit ma famille, mes profs, les voisins ou toutes personnes sachant que je voulais devenir chirurgien.
Vers l’âge de 15 ans cette dissonance entre qui j’étais et les autres ados de mon âge additionné à cette pression venant des adultes m’a étouffé. J’ai donc pris la décision d’abandonner ce rêve et de faire travailler mes mains en suivant une voie technique. De très difficiles relations avec mes profs arrivant au lycée ayant surement précipité ce choix.
Bref, je ne me sentais à ma place nulle part mais je m’efforçais de réduire cet écart. Je n’avais jamais vraiment un groupe d’amis fixe. Je n’étais à chaque fois qu’une pièce rapporté. Assez naïf, je me faisais très souvent abusé (pas dans le sens sexuel hein) et moqué.
Ne pouvant avoir confiance en personne car toujours déçu. Ma vision du monde me faisait toujours me demander pourquoi « les autres » sont si bêtes, idiots, illogique… Mauvais.
J’ai eu mon bac avec mention assez bien rien de fou, surtout pour un bac technique vous allez me dire. Puis j’ai fait une année sans vraiment savoir quoi faire, ce n’était pas fait pour moi. L’année suivante je me suis inscrit en PACES histoire de me dire et de montrer a ma famille que voilà j’ai tenté (en cachant que je ne prenais pas les cours etc) et j’ai raté alors c’est derrière moi, je peux passer à autre chose.
Cet exorcisme fait, j’ai poursuivi un cursus jusqu’à bac +5 sans fournir le moindre travail personnel supplémentaire que ce que j’avais l’habitude de faire. Ça ne veut pas pour autant dire que ça à était facile, j’ai dû retaper des semestres en décaler.
Au lieu de ça je me suis de plus en plus enfermé dans ma chambre à jouer a des jeux vidéo non pas par envie mais car je n’avais ni l’envie ni la force de faire autre chose de mes journées. Je ne sortais quasiment pas, ne parlais que très peu de personnes.
C’est durant cette dernière année de Master que deux choses se sont produites :
- Les relations avec mon père se sont très fortement dégradées, mon père (surendetté) abusant de chantage émotionnelle sur ma grande sœur pour lui soutirer beaucoup d’argent.
- J’ai rencontré une femme, superbe, drôle, énergique et encore pleins de qualités que je rêvais de trouver. Je me sentais bien avec elle surtout car pour la première fois de ma vie j’avais avec moi quelqu’un qui me comprenait, savait ce que c’était d’être comme moi en quelque sorte.
Une fois mon master en poche, j’ai connu une sorte de crise existentielle à ne pas savoir ce que je voulais faire, ne pas avoir envie de me lever le matin. Je cherchais du travail mais sans forcément grande envie. Ma copine me poussant à en chercher, refaire mes cv etc. Puis l’arrivée de notre chère épidémie et son confinement réduisant l’espoir de trouver un travail.
J’ai fini par en trouver un, sans aucuns intérêts, temporaire.
Ce qui devait arriver arriva… il y a quelques mois elle m’annonce qu’elle me quitte.
Me voilà seul, dans une ville inconnue, sans amis, seul.
Premières crises de panique, d’angoisse et c’est 1 mois d’arrêt maladie alors que je ne suis qu’intérimaire. Heureusement ils me reprennent une fois l’arrêt terminé. J’y ai gagné un traitement journalier.
Je m’inscris sur un site de rencontre. Quelques rencontres sans intérêts, ces filles sont ennuyantes, connes…
Je rencontre une première femme intéressante, on discute bien, le courant passe bien, elle ne veut rien de plus que discuter et coucher. On fait l’amour maladroitement dans ma voiture. Elle veut que l’on se vois de temps en temps si on a des dispos en commun. On se tient donc au courant.
Deuxième femme intéressante mais aucuns atomes crochus, ça en restera là.
Troisième femme, jeune étudiante, un sourire rayonnant, captivante car on sent la passion quand elle me parle de ses études et de sa vie. Le rendez-vous se passe à merveille, on savait déjà qu’on ne recherchait elle comme moi aucun engagement. Après plusieurs rendez-vous très réussit, on fait l’amour toute la soirée chez elle. On se prévoit de se voir 1 fois par semaine peut-être plus on verra.
Je rentre dans ma ville natale passé quelques jours avec ma famille. Je discuter toujours sur ce site avec une femme à moins de 20Km. Comme vous vous y attendez on se voit on couche ensemble et on se tient au courant quand on a envie de se voir.
Alors même que j’ai 3 sexfriends, ce qui m’apporte le plus de plaisir ce n’est même pas d’avoir des relations sexuelles avec elles mais simplement leurs gestes d’affections, leurs câlins, sentir leurs corps enlacer contre le miens qui me procure la plus grande satisfaction.
Il est temps de retourner voir mon médecin traitant pour faire un point sur ma situation psychologique et adapter le traitement ou non. Le traitement reste le même, je n’ai toujours pas oublié mon ex, elle me manque au point d’en verser encore quelques larmes un peu honteuses. Elle me pose des questions, je lui raconte ce que je suis entrain de vous écrire enfin sauf la partie concernant le site de rencontres et les activités ludiques en découlant.
Elle me répond « effectivement vous êtes différent, vous avez un cerveau qui fonctionne plus vite que la moyenne, car on ne peut pas obtenir un master sans prendre de cours ou réviser ». Elle me conseille de prendre rendez-vous dans un centre psy et de passer des tests de QI. Je lui réponds que je ne crois pas en ces tests.
« L’important n’est pas le résultat mais de savoir qui vous êtes »
Alors me voilà à apprendre que je pourrais peut-être être un HPI (Haut Potentiel Intellectuel).
Envie de sentiments étranges, paradoxaux. D’un côté je me dis que je n’étais peut-être pas fou de me sentir différents, que je ne suis pas juste débile. De l’autre si je suis HPI cela signifierai pour moi que je n’ai dorénavant plus d’excuses pour échouer.
Je suis donc à un point de bascule dans ma vie. J’ai déjà pris la décision de me réorienter, laisser tomber la voie que m’a ouvert mes études en repartir de zéro dans un domaine qui me donnera envie de me lever le matin.
Mais que faire de cette question sur mon potentiel intellectuel, dois-je passer les tests ? voilà la vraie question. La réponse que j’y apporterai sera la conclusion de ce qui est le choix le plus important de ma vie.
TL ;DR : Je m’exorcise par l’écriture à alors lis si tu es curieux sinon tu peux retourner te branler dans le bon /G
Quelle souplesse, tu arrives à t'avaler tout seul. Fais gaffe à pas t'étouffer par contre.
"De l’autre si je suis HPI cela signifierai pour moi que je n’ai dorénavant plus d’excuses pour échouer." C'est loin d'être un sésame garcon, c'est surtout un fardeau dans cette société d'incultes pathologiques et de dégénérés consanguins. HPI ne veut pas dire facile, surtout dans le cas d'une relation profonde et de longue durée... (t'as intérêt de privilégier une femme curieuse, gaie et un poil coquine sans être trop intelligente non plus car sinon tu finiras l'ennuyer, ca marche aussi pour le contraire)
"J’ai toujours refusé de faire mes devoirs ou de réviser mes cours et pourtant tous les soirs je lisais des encyclopédies, des livres d’anatomie, de physique ou d’histoire."
"avec des surnoms bien senties comme « l’intello », « Jimmy neutron » et j’en passe)"
quand t'ecris un fake essaie que ca est l'air vrai 2min, jai pas lu plus loin tellement c'est nul
Le nombre de débile ayant un Master augmentant chaque année, pète un coup.
HPI ou pas fait ce que tu aimes dans la vie dont baiser, beauf.png
La question n'est pas de se l'a péter (si je le suis je le cacherai surement a tout le monde) mais plutôt de me comprendre mieux pour justement trouver ce qui me plais
Ce n'est pas ton médecin traitant qui peut diagnostiquer un HPI. Deuxièmement, ce n'est pas un test de QI...
Être HPI ne veut pas dire forcément être super intelligent et réussir tout ce que tu entreprends, tu ne t'es à priori pas du tout renseigner sur le sujet. C'est avant tout un fonctionnement, rien de plus.
Donc la problématique de l'échec, c'est autre chose.
Va donc te faire suivre par un psychologue axé sur le cognitif ;) ça aide beaucoup
De ce que j'ai compris, t'es associable, mais tu baises quasi une meuf par semaine ?
Tu les payais avant qu'elles partent ? Juste pour situer...
"Elle me répond « effectivement vous êtes différent, vous avez un cerveau qui fonctionne plus vite que la moyenne, car on ne peut pas obtenir un master sans prendre de cours ou réviser »
Elle me conseille de prendre rendez-vous dans un centre psy et de passer des tests de QI. Je lui réponds que je ne crois pas en ces tests.
« L’important n’est pas le résultat mais de savoir qui vous êtes »
La vache ce KiloConnerie, bravo quel style…
On n'a pas déjà eu une histoire de zèbre qui s'était fait enterrée il n'y a pas si longtemps ?
Il me semblait aussi en effet. J'ai l'impression que dès que les lettres QI sont écrites quelque part, beaucoup de monde lose their shit comme disent nos voisins, même quand ils disent qu'ils ont une vie de merde.
C'est un peu pour ça que j'ai écris cette cool-story car de tout manière je n'ai personne d'autre à qui en parler. Le peu de gens que je connais me prennent déjà pour un débile ou un illuminé et ça me ferait mal qu'ils me rient à la figure.
Pourquoi ne pas faire le test juste pour voir? Et un psy ça peut être bien pour t'aider à y voir plus clair. Que faire bah profite du système et deviens riche sans te lever le matin !
T'es sûrement pas con mais alors putain les accords de genre ça non tu maîtrise pas enculé !
Autrement je suis aussi comme ce terme à la mode HPI, le fait est que ça me fait une belle jambe, et ça s'arrête là.
Y'a rien à en faire, rien à en foutre.
Tu ne dois accéder à ce site que si tu as au moins 18 ans ou si tu as l'âge légal pour visionner ce type de matériel dans ta juridiction locale, l’âge le plus élevé étant retenu. En outre, tu déclares et garantis que tu ne permettras aucun mineur à d'accéder à ce site ou à ces services.
En accédant à ce site, tu acceptes nos conditions d'utilisation.