Suite de : https://choualbox.com/z0Aw4
Je me réveille ce matin le sourire aux lèvres car ce soir, Ibrahima est de service. Nous n’avons pas communiqué depuis le dernier soir, alors j’ai hâte de le retrouver. Et je tiens à lui faire le plus bel effet. Je demande donc de l’aide pour prendre une douche afin d’être propre pour être le plus sali possible.
Pour l’aide à la douche, je n’ai pas de préférence particulière sur l’accompagnant si ce n’est celle-ci : je suis vraiment mal à l’aise avec les femmes très jeunes. Mais il y en a peu dans ma résidence, j’estime qu’il n’y a pas besoin de faire cette demande précise.
À l’heure prévue, quelqu’un vient. Je reconnais sa voix tout de suite, c’est Cyrielle, probablement la plus jeune de toute l’équipe. Je ne suis même pas sûr qu’elle ait dépassé la vingtaine… et comble de la gêne qui s’annonce, je m’entends très bien avec elle, comme une pote, et je n’ai pas dans mes habitudes que mes potes m’aident à me laver.
Étrangement, elle est très souriante. Plus que d’habitude j’entends. Elle me regarde en se mordant la lèvre, un doigt triturant une longue mèche de ses cheveux noirs.
« J’ai croisé Ibrahima l’autre soir… » me dit-elle les yeux brillants. « Il m’a un peu raconté. »
Diable ! Qu’est-ce que cela signifie ? Et pourquoi j’ai l’impression que Cyrielle frétille devant moi ?
Lentement, sans détourner son regard du mien, elle s’approche de moi, et pose fermement une de ses mains sur mon entrejambe : « Alors comme ça on a un gros paquet ? ».
Je rougis, je bégaie. Je disjoncte, je ne sais plus quoi penser. Qu’est-ce qu’il a dit, qu’est-ce qu’elle me veut ? Le mieux à faire, c’est d’éluder et de faire comme si de rien n’était. Je lui explique poliment mon malaise à l’idée que ce soit elle qui m’aide à me doucher, à quoi elle répond par un gloussement. Le gloussement d’une adolescente, et la suite me déstabilise toujours plus : « et moi qui me faisais une joie à l’idée de voir ça de mes yeux… ». Sur ces mots, elle serre légèrement la main qu’elle a toujours entre mes cuisses. Elle pouffe en ouvrant de grands yeux : « mais dis donc, on dirait que je te fais de l’effet ! ».
Écarlate, je recule. Je balbutie un charabia que je ne comprends pas moi-même et part dans la salle de bains. Je reprends mes esprits, et lui demande expressément de m’envoyer quelqu’un d’autre. Elle ne répond pas, et le silence s’installe. Puis, après de longues secondes me parviennent des bruissements étranges. Puis le tintement d’un objet métallique sur le sol.
La porte coulissante de ma salle de bain s’ouvre, et je la vois, Cyrielle, les cheveux retombant sur sa poitrine, les joues pourpres, et surtout, sans aucun vêtement. La couleur de miel de sa peau de méditerranéenne, ses petits seins aux tétons bruns, sa fine toison pubienne à peine masquée d’une main faussement timide, et ce sourire, ce sourire que l’on pourrait croire fou, tout cela provoque en moi un hébétement total et, en même temps, une excitation monstrueuse. J’ai honte, terriblement honte, car elle est bien trop jeune pour moi.
- Pourquoi portes-tu encore ce caleçon ? Attends, je vais t’aider, chuchote-t-elle d’une voix suave.
- Arrête, ce n’est pas bien.
- Parce que je suis jeune ? J’ai 19 ans, je suis majeure.
- Mais j’ai le double de ton âge ! Et Ibrahima…
- Ibrahima n’est pas là, et crois-moi tu ne vas bientôt plus penser à lui. Quant à mon âge, si tu veux je peux t’appeler papa.
D’une foulée de chat, elle se retrouve devant moi, et je ne sais pas si je dois assumer de la trouver absolument magnifique ou au contraire rejeter cette appétence non seulement au nom de la morale mais au nom de mon nouvel amour. D’un geste agile, elle enlève mon T-shirt, et abaisse mon caleçon juste assez pour que mon pénis dur comme la pierre en sorte. En le voyant, elle glousse. Elle ne peut s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres.
Dans sa deuxième main que je n’avais pas vue depuis tout à l’heure figure un pot de Nutella. Elle l’ouvre, y plonge ses doigts, et se badigeonne le ventre et les seins. « Oh, je suis toute sale, j’ai besoin d’une douche moi aussi… » assène-t-elle d’une voix déterminée. Elle s’assoit à califourchon sur moi, je sens sa vulve et ses cuisses mouillées, et mon sexe raide comme jamais frotte contre ses poils pubiens. Ils sont un peu drus, et cette sensation fait rompre totalement le barrage de ma raison.
À grands coups de langue, je la nettoie. Elle rit, elle soupire, elle souffle. Elle soulève son bassin légèrement, m’invitant. Dans son sexe cyclopéen, j’enfonce mon pieu tel l’Ulysse d’Homère. Elle passe ses bras derrière ma tête, et remonte ses seins jusqu’à ma bouche, comme une injonction silencieuse à poursuivre mon lapement.
Elle ne rit plus. Elle paraît transcendée, peut-être même possédée, et c’est avec une bestialité stupéfiante qu’elle me mord la gorge. Assez pour me faire mal, assez pour que ce mal soit synonyme de plaisir. Un plaisir intense, irréel, qui ne tarde pas à me faire jouir en elle. Au même moment, elle se cambre, bascule sa tête en arrière, la ramène ensuite vers moi, elle m’embrasse si furieusement qu’elle pourrait me déchausser la mâchoire.
Cyrielle s’écroule sur moi. Elle luit de sueur, moi aussi. Elle plonge en regardant le mien, et, d’une voix tremblotante, me déclare : « au-delà de tout ce que j’avais imaginé ».
Après de longues minutes ainsi, elle se retire. Elle me dit d’une voix coquine : « nous avons tous les deux besoin d’une douche maintenant. Je te l’avais dit. ». Je glousse. Je crois que j’ai une amoureuse maintenant.
Putain, je connais une cyrielle aide soignante! Mais elle a 26 ans!
Sinon... on fait comment pour devenir handicapé?
Seoseo n'aura jamais autant baisé qu'en centre.
Vivement la partouze avec les résidents
La chaise manuelle est devenue has been, le sexe ça rapporte beaucoup plus d'audience
J'ai su que c'était fake à partir de là.
On sait tous que tu peux pas te déplacer.
Franchement une dingueries ses nouvelles lunettes d'Apple, faut vraiment que je pense à acheter les miennes !
moi j'imagine un œil à la place de l'entrée, bim un coup dans l’œil du milieu ! Sinon j'ai vu que c'est des paroles du bon vieux Serge : Lola rastaquouère
On lit ta box avec cette tête là, et si c'est vrai alors c'est la tête que fera Ibrahima quand il l'apprendra.
Les Frensset veulent savoir si c'est du lard ou du cochon car si y'a bien un truc que je n'aime pas, c'est bander dans le vent !