L'éternel regret, que chaque femme possède
"Je regrette beaucoup de ne pas avoir eu un accident de voiture parce que j'aurais pu témoigner que de la tétraplégie, on s'en sort"
A quel moment elle s'est dit que placer "je regrette beaucoup de ne pas avoir été violée" dans une phrase était une bonne idée cette vieille conne ?
Malheureusement depuis qu'elle sort ce livre : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vie_sexuelle_de_Catherine_M.
"La particularité du récit se fonde sur la vie sexuelle dite « libertine » de Catherine M. Le personnage principal admet avoir eu un nombre incalculable de partenaires dit « anonymes » (qu'elle oppose aux « relations connues ») depuis sa jeunesse en raison de l'absence de considérations morales négatives pour le sexe."
En gros personne s'occupe d'elle alors elle se fait défoncer par tout ce qui traîne. Moralité elle est un peu beaucoup a côté de la plaque ayant des expériences sexuelles débridées.
Mais elle est vraiment pas douer pour dire simplement "je suis une nymphette j'aime me faire fourrer et je saurais pas faire la différence entre un gang bang ou un viol"
Bon.
Si ce genre de connasse ferme pas un peu sa gueule a dire des conneries, faudra pas qu'elles s'etonnent de feed les feminazi.... (et la serieux, je pourrai presque les comprendre parce que y'a des coup de pelle dans la gueule qui se perdent)
C'est vraiment un putain de combat d'infirmes.
Heureusement que les cons s'expriment.
Ça crée des repères réalistes, en fait.
Imaginiez que les cons n'aient pas le droit à la parole, à ce moment là, le moindre écart de langage de la part des gens autorisés, donc à priori un tant soit peu sensés, nous apparaîtrait comme une grosse connerie.
Donc laissons les cons étaler leur propre connerie, ça m'évitera de passer pour un con moi-même :)
C'est vrai, on s'en sort.
Avec des douleurs aux genoux et aux coudes principalement mais on s'en sort.
Oser baisser son pantalon, baisser son caleçon, comme ça, souvent de nuit, dans un passage lugubre malodorant et mal éclairer...c'est pas facile tout les jours. Surtout quand il fait froid ou que par terre c'est détrempé.
Tout ça face à une inconnue, voir une ex ou une voisine à peine croisée. Non, c'est vraiment dur.
Il faut le dire, faut du cran et beaucoup de courage.
Mais en effet on s'en sort et on se dit toujours "vivement la prochaine fois", ce sera mieux.
Qu'elle fasse l'effort de se rendre baisable, déjà, et puis le fantasme du viol est un non-sens en soi.
Je regrette de ne pas avoir été con parce que je pourrais témoigner que de la connerie on s'en sort
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