NSFWOn a testé pour vous (#7)... BDSM et sodomie masculine!

[Merci au choual anonyme pour ce témoignage!]

Salut à vous tous,

Suite à la box de Meleagan, j’ai décidé de vous partager mon expérience sur le BDSM.

J’ai toujours été plus ou moins brutal et dominateur au plumard, toujours partant sur le fait de pratiquer une bonne sodomie. Mais j’ai toujours voulu également me retrouver en position de soumis. Et mes tendances bi mon toujours pousser à tenter de me faire prendre par une nana. Là vous vous dites “ah oui quand même il est pas net”. Bon même si vous le pensez pas, c’est pas grave. J’ai commencé a lire des blog du style de sexactu avant même ma première fois (16 ans), et du coup l’envie m’a pris par la suite d’en tester certaines qui sont devenues des fantasmes pur et dur.

J’ai eu plusieurs nanas, mais toujours une merde pas possible, entre une romantique (et catholique) qui voulait attendre un peu et autres joies du genre j’ai galéré. J’ai même eu une nana très coincé avec laquelle je n’ai pu que jouer de la langue entre les cuisses.

“Eh mais c’est quand qu’il nous parle BDSM !?”

Ta gueule j’y viens.

Du coup avec toutes mes péripéties avec les nanas, je me suis demandé comment assouvir mes désir de BDSM, comment en parler à une nana ? Sans la faire fuir ?

Jusqu’au jour pas si lointain où j’ai rencontré une nana, on a prévu une petite partie de jambes en l’air chez elle. Une nuit de pure éclate, une nana vraiment vivante au plumard, qui aimait se faire mordre les seins et recevoir la fessé. Je lui ai proposé la sodomie (je l’avais déjà pratiqué), elle a été partante sans hésitation ce qui est rare pour une nana n’ayant jamais pratiqué.

Une fois la soirée passé on s’envoyait quelques message et on parlait fantasme, et là elle m’a confié qu’elle aimerait un jour se faire dominer et mettre également en scène le fantasme du viol. Je lui ai donc également parlé des miens et on a remit ça de façon plus violente.

La mise en scène du viol était vraiment excitante (oui c’est malsain, mais je me demande si c’est pas l'intérêt du truc). Je l’ai plus tard attaché et bailloné et baisé violemment, la sensation de pouvoir est immense dans un moment pareil, votre “victime” ne peut rien faire contre vous, ne peut pas crier, rien. Quand j’en ai eu fini j’ai hésité à la laisser attaché pendant que je fumais ma clope, mais je ne l’ai pas fait, j’aurais dû je crois.

Puis se fut son tour de prendre le rôle de dominant. Et là pareil, être complètement soumis à une nana c’est un pur régal, se prendre une gifle quand vous tentez de bouger. Avoir une nana assise sur votre tête vous forçant à la lécher pendant qu’elle vous griffe est une sensation très particulière.

“Eh tu nous avais pas parlé de te faire prendre par une nana”

J’y viens, j’y viens

Nous avons encore remis ça plusieurs fois, et elle avait acheté un gode, pas très grand, 13 cm de longueur, 5 de diamètre, ceux qu’on appelle oeuf vibrant vous voyez ? Ça rentre complètement et une télécommande permet de le faire vibrer. Se faire prendre par une nana est vraiment bizarre, mais ceux qui ont déjà pris un doigt comprendront le besoin de connaître ça. Et le mieux là dedans, c’est qu’elle y prenait un plaisir monstrueux à me faire ça.

Nous avons également fait une nuit majoritairement sodomie pour elle. Elle n’avait pas encore le gode et avait ses règles, on en avait marre d’avoir du sang partout, elle en souffrait mais ne voulait pas que j’arrête.

Aujourd’hui je ne vois plus cette fille, nous sommes en froid pour diverse raison, mais ce n’est pas à cause du sexe, le BDSM nous a beaucoup apporté à tout les deux, ce sont des pratiques qui semblent barbares dans un premier temps, mais c’est un bon moyen de connaître ses limites et de les repousser. Nous nous sommes mutuellement permis d’accomplir une grande partie de nos fantasmes (même celui de baiser avec une personne qui dormais dans la pièce), c’est aussi un défouloir monstrueux que de faire souffrir ou de souffrir soit même.

Cependant j’en discutais avec une amie un jour qui me disait qu’elle ne tenterai jamais ça avec la personne en couple avec elle. En effet c’est un sujet difficile à aborder pour le moment pour beaucoup de personne.


Note : cet été là fut l’un des rares où je portais des t-shirts, afin de planquer les marques. Méfiez vous des marques ;)