Une étude sur le profil psychologique des haters en ligne a explosé cette année sur twitter (relayée par Elon Musk). Les justiciers du web scorent très haut dans ce qu'on appelle la "dark triad" : psychopathie, narcissisme et machiavélisme.
1) Les justiciers du web qui souhaitent "cancel" ou voir tomber quelqu'un ne le font pas par vertu mais en raison 1 par sadisme et Schadenfreude (Le Schadenfreude est le fait de recevoir du plaisir à voir quelqu'un souffrir).
2) Les justiciers du web sont sûrs à 100% d'agir au nom de la vertu. Personne ne se dit au fond de lui qu'il est toxique et haineux, ils rationalisent leur comportement et sont confortés par le fait que d'autres justiciers du web viennent les soutenir (mob effect)
3) Les haters ne se voient pas comme des haters, ils se voient comme des "contradicteurs" et ne voient même pas le problème avec leur comportement
J'ai toujours eu cette intuition que les apôtres du bien et les correcteurs de tort étalaient leurs vertus sous couvert de militantisme exacerbé.
C'est tellement plus facile de se cacher derrière un identité numérique et pleinement assouvir ses penchants psychopathologiques (souvent assumés, consciemment comme inconsciemment). Car dans la vraie vie, cela a de réelles conséquences pour soi (pour les autres par contre, les pathos s'en foutent donc bon).
Le 2) et le 3) concernent absolument tout posteur premier degré
Il y a un site parfait pour vérifier ça en temps réel : https://choualbox.com/all/new
Moi je me dis souvent que je suis toxique et haineux.
C'est paradoxal, et ça me met hors-circuit pour rejoindre le gang des têtes de bites. Pas facile de s'intégrer...
Ou peut être que l'accès prolongé aux outils numérique accentue les dérives pathologiques de type psycho ? On le voit avec des enfants qui grandissent avec des écrans et développent des lacunes de langage et d'empathie. Sans parler du contenu immodéré qui nous abreuve continuellement de plus en plus
Les gens qui parviennent à assumer des actes inconscients, c'est les meilleurs.
Il parait qu'ils arrivent même à monter en bas.
Je sais pas j'ai l'impression que l'insulte et la verbe mal placé est surtout de l'autre côté. c'est assez violent rapidement des fois
J'ai la flemme d'aller en détail dans l'étude que tu as posté, donc j'extrapole sans doute. Mais si on suit le résumé que tu as fais, on peut imaginer qu'on a tendance à ne pas voir les comportements toxiques comme tels, quand ils vont dans le sens de notre moral.
Au contraire on à l'impression que la personne qui harcèle à un comportement juste.
Détrompe toi car l'inconscient peut être refoulé et donc avoir été dans le domaine du conscient par le passé. C'est à la base pour cela que la psychothérapie existe, être conscient de ce que tu refoules fait partie de tes responsabilités en tant qu'adulte si tu veux éviter de transmettre tes tares à ta progéniture et/ou éviter de passer pour un pathos aux yeux des autres (seulement si tu n'as pas un QI négligeable voire négatif cela dit).
On a tous des failles liées à notre parcours de vie, ne pas le reconnaître en est une des plus grosses.
Tu peux me donner une source qui confirme ce que tu dis et que ce n’est pas toi l'attardé ?
Je demande ça, parce que les gens qui parlent de QI négatifs sont généralement complètement cons et refoulent ce fait.
Pourquoi tu me traites d'attardé ?! (c'était de l'humour évidemment car faudrait être complètement con pour croire que le QI peut être négatif).
Tu peux déjà lire ça https://philosciences.com/569-refoulement-deni-denegation
Parapgraphe "Les actes occultés" pour illustrer (en partie seulement) mon propos.
J'ai dit que tu l'étais ? Tu me parles de science et tu fais du sophisme primaire ?
C'est rigolo que tu viennes me donner des leçons de seconds degrés alors que tu prends pour toi, et au pied de la lettre, une question pourtant restée en suspend, et qui donc, par définition, n'affirme rien...
J'aime également le concept de "QI négligeable", tout nouveau, et pas vaniteux duuuu tout.
Tu devrais lire le lien que tu m'as fait passer, rien ne concerne ton premier message...
C'est comme si je te disais que la terre est plate, et que pour confirmer, je te sorte les exégèses du Coran.
Je sais, je sais, merci. D'ailleurs même lorsque j'ai tors, c'est que j'ai mes raisons.
Il y a certainement un biais là dessus en effet. L'accès prolongé à un médium n'autorisant que presque exclusivement les émotions primaires pour autant qu'elles soient facilement reconnaissables (rire, chagrin, colère voire haine... Merci quand même les émojis, venant d'ailleurs du Japon où l'émotion se doit d'être un minimum exprimée... CQFD). Je pense que le simple fait de ne passer que par l'écrit dans l’interaction que l'on a avec autrui n'aide certainement pas les enfants à se construire une empathie suffisante pour leur vie grégaire. En marge, quelques uns vont développer une sur-réaction de la forme sur le fond pour compenser ce manque d'émotions visibles voire sur-interpréter le contenu au profit de leurs images mentales et donc attribuer à leurs interlocuteurs des propos qu'ils n'ont pas tenu (merci à la fameuse expression : "la forme exprime le fond" si cher à nos législateurs. Or on n'est pas dans le domaine du droit quand on discute avec quelqu'un).
Je pense sincèrement que nous aurons de profonds problèmes de compréhension inter générationel qui seront de plus en plus accentué avec le temps. Déjà ça commence avec les jeunes et le monde du travail, mais ça ira sur d'autres champs de la vie.
Il est facile de critiquer ces qui critiquent. Il y a aucune remise en question du posteur. Si tu dis de la merde (woke, gauchiasse, etc.), il est normal que tu te prennes des torrents de merde sur la tronche. C'est juste du bon sens. (ceci est un troll haineux et je vous merde)
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