Cher journal...

Cher journal…
Tu es un bon ami.
Tu es attentif à mes pensées.
À mes ébats émotionnels.
Je cherche l’amour charnel.
Mais j’ai peur.
Du tranchant de l’amour.
On peut mourir d’une blessure au cœur.
La traduction de “passion” signifie “souffrir“.
Je dois continuer à m’ouvrir.
Je veux rayonner et brûler.
Mais que l’amour me fait peur…
M’empêche de m’ouvrir.
M’empêche de lier lien d’amitié…
M’empêche d’approcher les filles que je veux désirer.
J’ai peur sur ce long chemin.
Ce soir je sais que je ne sais rien.
Un esprit développé sait que la vérité de son point de vue n’est qu’un chemin vers une autre vérité.
Tu tournes en cercle tu le sais.
Continue dont de cycler. Épuisement à mi-chemin.
La clé se trouve dans le cœur.
Une vérité c’est d’aimer.
Oublie le lendemain tu ne sais ce qui va t’arriver.
Et puis le passé que j’arrive pas à oublier.
Allonger à mi-chemin je continue de progresser. Laisse dont couler la peur qui me tient par la main. Resserré à m’étriper… Je ne sais qui tu es… laisse-moi dont te porter tu verras bien. La mort qui sait ? Ce qui peut bien t’arriver… Au jour du lendemain, tu ne sais continuer… tu ne sais qui tu es.
Laisse dont faire ce chemin coincé à mi-chemin… Le vent qui te portait… une plume apaisée. J’ai mal mais personne le sait… je ne sais qui tu es… mais que le vent veule bien te porter… une plume reposée mais terrifiée… je ne sais qui tu es…
La peur qui s’ouvre dans l’ombre. Lumière à mi-chemin, mais bloqué larme du savoir qui n’a plus être à être. L’être qui veut être mais ne peut être peut-être qu’être n’est qu’une graine dans ma tête.
Je veux relâcher.
Or au savoir qu’oublie le contrôle du moi… Je te laisse me porter. Même si je ne sais qui tu es je m’en remets. Fais de ton bon vouloir au pouvoir d’un être patafé.
Un peu de plaisir avant de replonger ; je laisse faire… qui que tu es.
Ouvres-toi et illumines que ce grand savoir que je ne peux pas.
Va donc trouver une pièce d’or marquée par une amoureuse enfermée. Je ne sais qui tu es… mais je m’en remets à toi… je te laisse me porter.
Qu’une peur assombrie par un esprit déjanté au milieu d’une ombre serpentée. Va donc y trouver un plaisir à la mort envoutée. Qu’y faire un tonneau a l’amourette jaqueté… je n’ai que faire du savoir abstrait !
Va donc être ! Montre qui tu es !
Splendeur voie lactée ! Faire un saut périlleux survolté dynamisé par un savoir que j’ai mais que je n’ai pas !
Survolté dynamite sans pareil.
Un Amour qui dure mais dur
Tu verras qui tu es.
Laisse-moi te porter.
Une douceur voie lactée.
Faire un sans pareil qui vient après que tu sais relâcher.
Mais relâcher n’est pas sans pareil que la voie lactée tourbillonne en étincelle à côté d’un Amour pareil ! Je me jetterai au feu, et la fleur reposée en sipareil.
Que l’Amour vienne…