c'est bas ça

pourquoi que maintenant ? Ces choses-là sont trop graves pour attendre.

C'est plutôt le contraire, maintenant qu'elle est bien, on ne peut plus l'attaquer en lui disant qu'elle cherche juste la fame ou le pognon.

OK, my bad.

Np

Je dirai plutôt, c'est beauf ça. Il manque plus que la pils.

Et a priori, ces choses sont trop graves pour que tu captes quoique ce soit de la psychologie humaine...

ce sont peut-être des choses difficiles à sortir et difficiles à partager ? peut-être même en partie à cause de petites réflexions « pas si méchantes » en apparence mais qui font penser qu’elle ment ou qu’elle a un intérêt à le faire ?

C'est dur mais c'est la première chose que j'ai pensé.

la vie difficile des groupies !

Elle dit quoi l'anecdote?

bof, qu'il est vraiment perché.

Tu trolles ou pas là? Donc quand c'est ton employeur ou un collègue, c'est de la violence, mais quand c'est un mari ou une femme, ce n'en n'est plus?

pas besoin de monter sur tes grands chouals, je parle d'un point de vue légal.

Au niveau de la loi ça me parait bien plus compliqué de prouver une violence psychologique dans un couple car en dehors du fait qu'il y a un facteur émotionnel (amour, sentiments..) en plus, il n'y a pas de hiérarchie / supériorité.

edit : Je pourrais aussi rajouter que dans un couple il y a une violence psychologique dès le moment où un des partenaires arrête d'aimer et même si elle est involontaire elle est là, donc ouais aux yeux de la loi ça me parait très compliqué.

D'après ce que je lis, tout peut être utilisé, correspondance privée, enregistrement vocal, etc...
Article 222-33-2-1

preuves physiques ou pas il faut définir la frontière entre une embrouille conjugale classique et une violence psychologique, c'est ça que je trouve abstrait, contrairement à la violence physique qui semble évidente.

La récurrence est déjà un bon indice.

C'est fou les negs sur un article de loi...

j'ai aussi des negs alors que je pose juste une question, c'est internet quoi.

D'un point de vue légal, toutes violences (donc physiques/psychologiques/sexuelles/économiques) sont répréhensibles et à condamner, mais là où tu as raison c'est la difficulté de les prouver (comme pour toutes les violences de ce type hors couple d'ailleurs, violences sexuelles, viols, harcèlement, etc.)
Là où c'est pas ok, c'est de "hiérarchiser" ces violences et penser que c'est seulement les violences physiques qui sont graves (mais c'est pas simple on est d'accord).
Sur les violences physiques il y a toujours des violences psycho en plus, et un risque de mort donc ouais c'est chaud.
Mais les violences sexuelles dans le couple c'est chaud aussi (viol conjugal, etc).
Et psycho pareilles. Ne pas frapper son/sa conjoint.e veut pas dire qu'il y a pas de violence. Rabaisser H24 l'autre jusqu'à l'emprise psychologique (faire des reproches jusqu'à maltraiter l'égo de l'autre, menaces, menaces de mort, harcèlement, etc.), couper les vivres/l'autonomie de la personne (quelqu'un qui gère TOUT, le compte en banque, le loyer, les aides s'il y en a, travaille et empêche l'autre de taffer et quasi sortir de la maison, etc.), et tout un tas de violences toutes plus sympa les unes que les autres.
C'est quasiment plus simple d'accompagner une personne sur des violences physiques parce que c'est des fois plus facile à prouver, et sortir du foyer des personnes qui ont plus aucune autonomie dans leur vie ça veut dire tout laisser derrière, les personnes qui ont subies des violences psycho sont souvent détruites et s'imaginent pas ailleurs que là où elles sont tellement l'emprise peut être forte, et le risque que la personne retourne au foyer conjugal (à cause de cette emprise) est d'autant plus forte aussi.
Je sors pas tout ça de mon cul hein, j'ai accompagné des personnes victimes (99% de femmes on va pas se mentir) dans leurs premières démarches concernant l'hébergement et la mise en lien avec des services d'aides, c cho frer

t'as pas besoin de te justifier car j'ai jamais minimisé ou hiérarchisé ces violences, on est d'accord sur tout.

J'ai d'ailleurs aussi pensé au viol conjugal, à la correction (la fessée) ou à l'inceste (le "léger", pas les viols ou ça semble évident) pour développer, d'un point de vue légal dès qu'il y a intimité, vie privée ou sentiments, ça complique fortement les choses.

Carrément, lorsqu'il est dur de fournir des preuves et que c'est la parole d'une personne contre celle d'une autre...
Ce qui rend encore plus difficile de se représenter l'ampleur de ces violences, parce que c'est dur de s'appuyer sur des chiffres style plaintes/condamnation/etc. vu que les personnes galèrent déjà à se sortir de ça, et en plus c'est pas évident d'entamer des démarches.
Pis quand il y a des gamins au milieux ça complique encore...
Bref c'est pas évident

fake il me semble, même si ça n'enlève rien (lol) à l'accusation.