A dumenica sera, bella sera.
Le dimanche soir, belle soirée.
La journée fût belle, invité chez mon ami d'enfance pour le repas afin qu'il me présente la petite merveille.
Le trésor n'était pas un magot mais la petite Margot, ça petite dernière, moi je suis le parrain de son premier.
Balthazar, comme le roi mage.
La famille et les amis.
Le pastis et les côtes de nuit.
Que demander de plus pour un bon repas.
Maman en plus avait fait un dessert.
Des flans maisons. Café et vanille.
Je rentre la panse pleine.
Plein de bulle dans la tête et l'estomac.
En bas de la maison je vois la tache noir et rouge sur la route.
Renato jean-claude ô'connor n'est plus.
Ma minette, petite j'ai cru que c'était un mâle.
Plus tard elle devint donc Renata.
Le nom est un hommage au chat d'Edika.
Pour le reste c'était la mienne.
12 ans de câlin.
Dans les bons et mauvais moments.
L'amour est l'infini mis à la portée des caniches même si toi tu étais une chatte.
Ti caro bella.
Tu me manqueras ma belle.
J'ai creusé une tombe dans le jardin, posé Renata dans une couverture, mais avec l'épaisseur, ça dépassait du trou.
J'ai applani le tout avec le pied !
je ne vais pas raconter mes petite victoires.
Mon perfect ce matin aux chiottes ou que le train il arrive a l'heure et cela même si je n'ai pas de train chez moi.
Ça ferait chier les gens et ce ne sera pas des perfects justement.
Mais du bon gras qui tache la cuvette jusqu'au rabattant.
Apres comme disait le grand philosophe Émile Louis : "Moi du moment que je peux toucher les gens."