@IanMalcolm: Toutes les personnes qui sont dans la série sont des intermittents, la boite qui fait les vidéos emploient des intermittents toutes les semaines. C'est justement tout le contraire qu'on essaie de faire avec ses vidéos, pas de rendre ridicule les intermittents, mais de donner l'opportunité à certains d'entre eux de se marrer tout en expliquant simplement ce qu'est leur métier.
Peut-être qu'on le fait pas assez bien pour que ça se voit !
@Raze: Ouais c'est quand même un taf où physiquement c'est difficile et où il faut beaucoup d'entrainement !
@maxoudela: Pour les chaines TV, tu as tout à fait raison. Mais en l'occurence, ce sont les chaines et leurs dirigeants qui sont à blamer pas les intermittents.
Pour une boite de prod classique (je travaille dans une), le système des intermittents est très utile. Tout simplement parce que : tu n'as pas des projets vidéos à faire tous les jours et donc tu ne peux pas embaucher chaque technicien à l'année. mais aussi pour les choix artistiques : chaque intermittent, techniciens ou acteurs, a un style à lui, qui va se ressentir à l'image ou au jeu par exemple. Du coup, l'intermittence permet d'avoir du choix et donc de pouvoir choisir les personnes qui correspondent le mieux au projet que l'on a.
@maxoudela: Salut max. Je t'invite à fair une recherche sur le site du Monde qui a notamment fait un article pour déconstruire cette fausse rumeur de l'intemittent tuant l'assurance chomage : "Le hasard fait bien (ou mal) les choses. Car le déficit de 1 milliard d'euros attribué aux intermittents n'a à peu près rien à voir avec le déficit général de l'Unedic (prévu à 4 milliards en 2014). Comme l'a récemment rappelé la Cour des comptes, les intermittents, dont le déficit du régime est très stable, ne sont pour rien dans l'apparition de ce déficit qui s'explique uniquement par l'aggravation du chômage des salariés en CDI et en CDD. Attribuer un quart du déficit de l'Unedic aux intermittents est absurde : ce procédé purement rhétorique vise uniquement à désigner un bouc émissaire. Pour être juste, il faudrait ajouter qu'un quart du déficit ce n'est pas beaucoup : le budget d'une assurance est fait d'une multitude de déficits d'un côté et d'excédents de l'autre. Par exemple, en 2011, les salariés en CDD représentaient plus de 350 % de déficit de l'Unedic."
Je ne suis pas intermittent pour information :)
@phallusflasque: ça dépend les gars ! "J'optimisme" c'est pas très correct en français :p