
Smaïn Bendjilali, l’imam Ismaël comme l’appellent ses fidèles, a été placé en garde vue ce mardi matin 3 septembre pour apologie de terrorisme.
Photo Valérie Vrel 
Sous les feux des projecteurs et dans le collimateur du préfet de police des Bouches du Rhône pour sa &quot;pratique radicale de l’islam et sa vision fondamentaliste de la religion&quot; depuis la mi-août, Smaïn Bendjilali, l’imam Ismaël comme l’appellent ses fidèles, a été placé en garde vue ce mardi matin 3 septembre pour apologie de terrorisme.
Un coup de massue pour son avocat Me Rafik Chekkat qui avait été reçu lundi 2 en préfecture afin de présenter une série de &quot;mesures correctrices&quot; visant à montrer la bonne volonté de l’imam Ismaël. Suppression de tous les posts litigieux et de leurs commentaires sur les réseaux sociaux, démarches d’affiliation au Conseil départemental du culte musulman et même inscription de l’imam à la fac en vue de décrocher un diplôme universitaire &quot;Laïcité et valeurs de la République&quot;, n’ont pas entamé la volonté du ministère de l’Intérieur.
&quot;C’est un coup de force, considérait hier soir Me Chekkat. Les autorités ne pouvaient pas aller devant les tribunaux sans la moindre plainte, car dans le droit français, les sanctions administratives ne peuvent pas être plus sévères que les sanctions pénales&quot;.
Toujours entendu par un officier de police judiciaire ce mardi soir, Smaïn Bendjilali aurait accepté d’être auditionné sans être assisté d’un avocat comme la loi le lui autorise pourtant. Dans l’expectative, son conseil n’exclut pas une &quot;mise en examen express pour solidifier le dossier&quot;, pas plus qu’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, hypothèse qu’il qualifie toutefois de &quot;nucléaire&quot;.


Marseille : l’imam de la mosquée des Bleuets placé en garde à vue pour apologie du terrorisme

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Le président du Centre national du cinéma (CNC), Dominique Boutonnat, a été condamné à trois ans de prison, dont un ferme, par le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine), vendredi 28 juin. Il était jugé pour agression sexuelle sur son filleul, alors âgé de 21 ans. L&#039;année de prison ferme sera effectuée sous surveillance électronique. Dominique Boutonnat a également une interdiction de contact avec la victime pendant trois ans. Il écope aussi d&#039;une inéligibilité de cinq ans et d&#039;une inscription au fichier des auteurs d&#039;infractions sexuelles ou violentes. 
Dominique Boutonnat a aussitôt annoncé qu&#039;il quittait la présidence de l&#039;institution. Depuis sa mise en cause, il avait fait l&#039;objet de plusieurs appels à la démission.
Lors de l&#039;audience du 14 juin, le parquet avait requis trois ans d&#039;emprisonnement avec sursis contre cet homme de 54 ans. &quot;On est allé très près de quelque chose qui aurait été criminel&quot;, avait estimé le procureur. Le tribunal est allé au-delà des réquisitions dans sa condamnation. Il &quot;a considéré que la version de Malaury [prénom d&#039;emprunt de la victime] paraissait beaucoup plus crédible&quot; que celle donnée par Dominique Boutonnat, et que les explications du président du CNC &quot;n&#039;avaient pas forcément de rationalité&quot;, a détaillé la présidente, lors de l&#039;audience.
Dominique Boutonnat, érigé par certains en symbole de l&#039;impunité dont ont longtemps profité certains grands noms du Septième art, est accusé par son filleul, 21 ans au moment des faits, de l&#039;avoir embrassé de force et agressé sexuellement lors d&#039;un séjour en Grèce en août 2020. Devant le tribunal, le jeune homme a décrit Dominique Boutonnat, avec qui il n&#039;entretient pas de lien de parenté, comme &quot;plus qu&#039;un parrain&quot;, venant trois à quatre fois par semaine au domicile de ses parents.
Selon lui, lors d&#039;un séjour dans la maison de campagne de son parrain en Grèce, ce dernier aurait tenté de le masturber après qu&#039;ils s&#039;étaient baignés nus dans une piscine. Le jeune homme a déclaré l&#039;avoir ensuite masturbé pour qu&#039;il arrête de le toucher. A la barre, le président du CNC a nié toute agression sexuelle.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Le président du Centre national du cinéma, Dominique Boutonnat, condamné à trois ans de prison, dont un ferme, pour agression sexuelle sur son filleul


Une communauté des gens du voyage s&#039;est de nouveau installée, ce samedi 22 juin, sur les terrains d&#039;un agriculteur de Manosque. Au total, 200 caravanes ont investi 13 hectares de l’exploitant, ce week-end.
Des traces de pneus et une culture littéralement écrasée. À Manosque, il est impossible pour Florent Pelloux de poursuivre sa production de foin. Samedi 22 juin, des caravanes de gens du voyage se sont installées sur son terrain d&#039;une dizaine d&#039;hectares, causant d&#039;importants dégâts.
&quot;Ils ont planté des piquets partout, j&#039;avais arrosé le matin donc c&#039;était trempé. Des ornières se sont formées. Dans une prairie, c&#039;est impossible à effacer. L&#039;eau va les suivre, je ne pourrais plus irriguer normalement&quot;, confie l&#039;exploitant et co-gérant de la Bergerie des Bélugues, à Manosque, au micro de BFM DICI.
Des traces de pneus et une culture littéralement écrasée, à Manosque, le 22 juin. © BFM DICIUne récolte perdue
Un véritable coup de massue pour l’exploitant qui va également devoir faire face à une pollution de ses sols. &quot;Ils ne sont pas très propres. Ils laissent traîner des bouteilles&quot;, dénonce ce dernier.
&quot;Leurs défections dans tous les coins de champs, en bord de rives et de tous les chemins aux alentours n&#039;arrangent rien. Ils nettoient aussi leurs caravanes plusieurs fois par jour&quot;, ajoute-t-il.
Sur ses espaces, le travail d&#039;une année a été réduit à néant, sans compter qu’un nouveau terrain est désormais lui aussi occupé. Au total, près de 20 tonnes de foin ne pourra pas être récolté.
Des indemnisations seraient prévues du côté de la mairie et de la DLVAgglo, mais rien ne sera suffisant selon Florent Pelloux pour &quot;couvrir les dégâts, le stress et le nombre d&#039;heures gâchées. Pour faire revenir la culture, il y en a jusqu&#039;à la fin de l&#039;année. S&#039;il ne faut pas ressemer&quot;. Les gens du voyage devraient, selon les dires, quitter les lieux ce dimanche. La communauté n&#039;a pas répondu aux sollicitations de BFM DICI.
Barbara Tornambé avec Sylvain Allemand


Manosque: 200 caravanes installées sur un terrain agricole, près de 20 tonnes de foin perdues


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
INFO LE FIGARO - Bien connu des services de police et de la justice, le suspect de 27 ans ne connaissait pas la victime, qu’il a abordée dans la rue. Il est actuellement en garde à vue.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Une lycéenne de 15 ans a vécu un véritable calvaire, jeudi 27 juin en début d’après-midi. Cette jeune fille de nationalité ukrainienne sortait de son lycée, à Meaux (Seine-et-Marne), et se dirigeait vers un parc de la commune lorsqu’elle a été abordée par un individu aux alentours de 14h.
 
 
 
Ce dernier est suspecté de lui avoir mis une main sur la bouche avant de l’entraîner de force dans son appartement, situé dans une rue calme en plein centre-ville de Meaux, et de l’avoir violée, a appris ce vendredi Le Figaro de sources concordantes. Alors que son agresseur prenait une douche, la jeune victime a trouvé le courage et la force de prendre la fuite en prenant le passeport de l’individu.
 
Individu sous OQTF connu des services de police
 
 
Bloquée au rez-de-chaussée de l’immeuble, la lycéenne s’est mise à hurler. Alertée par des cris, une passante a sollicité l’aide d’un homme qui est parvenu à briser la porte vitrée qui entravait la fuite de la victime. La lycéenne et la femme qui lui a porté secours se sont ensuite réfugiées dans un restaurant. Apeurée et en pleurs, la jeune fille a prévenu sa mère tandis que des témoins ont contacté la police et les pompiers.
 
 
La lycéenne, qui présentait des hématomes et des traces de griffures, a été conduite en milieu hospitalier. La police municipale de Meaux a interpellé le suspect peu avant 15h30. Selon nos informations, il s’agit d’un Tunisien de 27 ans bien connu des services de police et de la justice. Son TAJ (un fichier de traitement des antécédents judiciaires qui recense les personnes mises en cause et les victimes dans les affaires pénales, NDLR) comporte 15 mentions. Visé par une OQTF (obligation de quitter le territoire français, NDLR), il était déjà connu de la justice pour des faits de nature sexuelle, nous précise une source proche du dossier. «Une enquête et une garde à vue sont en cours. Tant les faits que la personnalité du mis en cause sont en cours de vérification», confirme le parquet de Meaux au Figaro. L’individu sera déféré samedi au tribunal en vue de l’ouverture d’une information judiciaire du chef de viol, a précisé dans un communiqué le parquet. Ce dernier «requerra (le) placement en détention provisoire» du suspect.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Blonditendes

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avec plaisir !! !! !! de la bonne purée de mousline !youtube.com

Le président du Centre national du cinéma, Dominique Boutonnat, condamné à trois ans de prison, dont un ferme francetvinfo.fr

200 caravanes installées sur un terrain agricole, près de 20 tonnes de foin perdues bfmtv.com

un Tunisien sous OQTF suspecté d’avoir enlevé, séquestré et violé une lycéenne ukrainienne de 15 ans lefigaro.fr

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