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Alors que de premières condamnations ont été prononcées vendredi à Tokyo dans le cadre d’une vaste affaire de pots-de-vin autour de contrats de sponsoring des Jeux olympiques de Tokyo-2020, rappel du contexte et des enjeux.
 
 
 
 
Quelles affaires
Les procureurs japonais enquêtent sur deux séries d’affaires différentes liées aux JO-2020 : plusieurs entreprises japonaises auraient versé des pots-de-vin pour obtenir le statut de partenaire officiel des Jeux, d’autres sociétés auraient truqué des appels d’offres concernant de juteux contrats pour des préparatifs de l’événement.
Vendredi, l’ancien président de la chaîne de costumes d’affaires Aoki Holdings et deux de ses anciens collaborateurs ont été condamnés à des peines de prison avec sursis. L’ancien patron, Hironori Aoki, avait reconnu avoir versé des pots-de-vin pour que sa société devienne un sponsor des JO.
Les accusations pleuvent sur un ancien membre du comité d’organisation des Jeux de Tokyo, Haruyuki Takahashi, arrêté l’an dernier et soupçonné d’avoir empoché des pots-de-vin de plusieurs centaines de milliers d’euros de la part de responsables d’entreprises japonaises.
Des dirigeants d’autres sociétés comme le groupe publicitaire ADK et la maison d’édition Kadokawa sont aussi accusés d’avoir soudoyé M. Takahashi pour obtenir des faveurs.
 
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L’autre partie de l’affaire, portant sur des appels d’offres truqués, vise notamment Dentsu, le géant japonais de la publicité et de l’événementiel, ainsi que cinq autres entreprises du même secteur.
D’autres scandales ?
D’autres soupçons de corruption flottent depuis longtemps sur les conditions d’attribution des JO-2020 à Tokyo par le Comité international olympique (CIO) en 2013.
En mars 2019, le président du Comité olympique japonais Tsunekazu Takeda avait démissionné quelques mois après avoir été mis en examen par la justice française qui enquête sur ce dossier.
M. Takeda, qui dément toute malversation, est soupçonné d’avoir rémunéré Black Tidings, une société établie à Singapour, avant et après la désignation de la capitale japonaise par le CIO comme ville-hôte des JO-2020. Selon les enquêteurs français, Black Tidings n’était qu’une « coquille vide » qui menait à Papa Massata Diack, fils de l’ancien patron sénégalais de l’athlétisme mondial et ex-membre influent du CIO Lamine Diack, décédé fin 2021.
Les JO de Tokyo ont aussi été plombés par d’autres scandales, extra-judiciaires cette fois, qui ont conduit à des démissions fracassantes, notamment celle du président du comité d’organisation Yoshiro Mori après des propos sexistes.
La plupart des Japonais souhaitaient par ailleurs l’annulation ou un nouveau report des Jeux à cause de la pandémie de Covid-19, selon les sondages en 2021.
La facture totale de l’événement (plus de 12 milliards d’euros selon une estimation de la Cour des comptes japonaise fin 2022) a aussi fait polémique au Japon. C’était plus de deux fois le budget projeté au départ et la Cour a aussi estimé que les organisateurs avaient omis, à tort, d’inclure certaines dépenses publiques liées aux JO.
Des conséquences plus vastes ?
La ville de Sapporo (Nord du Japon) semblait favorite pour remporter les JO d’hiver de 2030, mais les scandales de corruption autour des JO de Tokyo ont brisé l’élan de sa candidature.
Le président du comité olympique japonais, Yasuhiro Yamashita, a déclaré plus tôt ce mois-ci qu’il serait « difficile d’aller de l’avant » sur la candidature de Sapporo « sans obtenir la compréhension de la population ». Il a dit réfléchir avec les autorités locales à un éventuel report de la candidature de Sapporo aux JO de 2034, car « beaucoup de gens dans la ville ont des préoccupations et des inquiétudes » quant à l’organisation des Jeux.
 
 
 
Sapporo a déjà décidé en décembre dernier de suspendre ses activités promotionnelles autour de sa campagne pour les JO-2030 et le CIO a reporté sa décision sur leur attribution, devant le manque de villes candidates. La Suède envisage désormais de tenter sa chance.
 
 
 
 
 

JO de Tokyo-2020 : ces affaires et scandales qui n’en finissent plus

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Si pour les Occidentaux c’est un bout de paradis au cœur des Caraïbes, pour nombre de ses habitants, Cuba est désormais un véritable enfer. Inflation, pénurie de médicaments et de carburant, coupures d’électricité quotidiennes… Le pays est totalement asphyxié par une crise économique qui s’enlise, et dont les 11 millions de Cubains ne semblent pas voir le bout.
 
L’embargo américain, instauré il y a soixante-deux ans, est en grande partie responsable de cette situation, et la chute du tourisme depuis la pandémie de Covid-19 n’a fait que l’aggraver. Résultat : ces trois dernières années, plus de 4 % des Cubains ont fui leur île en quête d’un avenir meilleur.
 
425 000 Cubains arrivés aux États-Unis
 
La majorité des exilés rêve d’atteindre les États-Unis. Entre 2021 et 2023, ils sont près de 425 000 à avoir rejoint le pays. “Il s’agit d’une crise migratoire aux dimensions historiques”, rapportait ainsi en octobre dernier le Miami Herald.
 
Si Cuba a connu plusieurs exodes ces dernières décennies (notamment en 1980 et en 1994), les modalités de déplacement ont évolué. Les exilés cubains sont moins nombreux à tenter la périlleuse traversée du détroit de Floride, unique route maritime – d’une centaine de kilomètres à peine – reliant La Havane à Miami, et préfèrent aujourd’hui des itinéraires terrestres.
 
Ils quittent désormais leur île par avion et s’envolent vers des pays où ils sont exemptés de visa, comme le Guyana ou plus récemment le Nicaragua. Une première étape, avant de commencer un long périple jusqu’à la frontière américano-mexicaine.
 
Mais ces nouvelles routes n’en restent pas moins dangereuses : selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), en 2022, au moins 686 personnes sont mortes en tentant d’atteindre les États-Unis en passant par le Mexique, ce qui en fait l’itinéraire le plus meurtrier du monde.
 
Le rêve brésilien
 
Conscients des difficultés qu’implique un voyage vers les États-Unis, de nombreux Cubains se tournent désormais vers d’autres pays d’Amérique du Sud, tels que le Brésil et l’Uruguay. En cause : la facilité de déplacement, mais aussi les droits accordés aux demandeurs d’asile dans ces deux pays. Le quotidien brésilien Folha de São Paulo rapporte notamment qu’au Brésil les demandeurs d’asile “bénéficient d’un protocole qui leur permet d’accéder au travail, aux soins de santé et à d’autres droits pendant que leur demande est en cours d’instruction par les institutions compétentes – ce qui peut durer des années”.
 
Le journal explique également que le programme “Mais Medicos” (“Plus de médecins”) mis en place en 2013 par la présidente brésilienne d’alors, Dilma Rousseff, a pu jouer un rôle dans l’arrivée massive de Cubains au Brésil. “Il est fréquent que les exilés cubains aient des membres de leur famille ou des amis restés au Brésil après avoir quitté le programme ‘Mais Medicos’”, analyse le journaliste de Folha de São Paulo, qui explique que les Cubains représentent la deuxième nationalité, derrière les Vénézuéliens, à demander l’asile dans le pays.
 
Pour rappel, ce programme a permis l’arrivée, au cours de cette dernière décennie, de 8 300 médecins cubains, embauchés par le gouvernement brésilien pour combler les déserts médicaux du pays.
 

Cartes sur table. Crise économique à Cuba : où vont les Cubains qui fuient l’île ?


 
 
 
 
 
Si la chasse fait débat dans notre pays, les pratiques d’autres contrées sont également passées au crible par les médias internationaux. Chaque année, un concours de chasse aux chats ouvert aux enfants qui se tient en Nouvelle-Zélande fait débat dans la presse et pourtant, la régulation de l’espèce est primordiale dans l’archipel Néo-Zélandais.
Record battu et 340 chats tués.
Chaque année, un concours est organisé dans la région de Canterbury en Nouvelle-Zélande auquel participent près de 1500 personnes dont des enfants de moins de 14 ans. 
L’objectif du concours est de permettre une grande régulation des espèces considérées comme nuisibles pour l’écosystème local comme les opossums, les lapins, les canards, des suidés ou des cervidés mais aussi les chats. 
Il ne s’agit pas de chats domestiques mais de chats féraux, des chats à la base domestiqués mais retournés à l’état sauvage après avoir été abandonnés par des propriétaires indélicats.
A lire aussi : Un concours qui rémunère des enfants (140€ par animal) pour chasser des chats fait polémique
Cette année, pour donner de l’entrain aux participants, une prime de 500 dollars néozélandais soit 282 euros est offerte à celui ou celle qui fera le plus grand nombre de prélèvements tandis qu’une seconde prime de 1000 dollars (soit 565euros) est octroyée à la personne qui piégera le plus gros chat.
Un concours qui fait vivement réagir chaque année.
Tous les ans, ce concours soulève de nombreuses réactions dans les médias et sur les réseaux sociaux. Si les locaux sont habitués à cette pratique visant à protéger la faune locale en écumant les espèces considérées comme dangereuses pour la biodiversité, les associations de protection des animaux et les amoureux du chat du monde entier voient cette action d’un très mauvais œil.
Ils dénoncent un concours cruel auquel les enfants peuvent prendre part. Cet évènement que les urbains d’Europe ne comprennent pas est pourtant très attendu chaque année par les ruraux locaux. 
Les animalistes continuent de pointer du doigt une méthode de gestion archaïque alors que, selon eux, d’autres solutions existent à travers la capture et la stérilisation des individus.
Si même pour nous, chasseurs de France, il est difficile d’imaginer un concours ou le but est d’abattre le plus de chats possible et auquel peuvent participer des enfants, l’organisation du concours estime que c’est avant tout aux propriétaires de chats de prendre leurs responsabilités comme le rapporte The Guardian :
 « Les chats sont des prédateurs de premier plan, si nous voulons être débarrassés de ces prédateurs, il est temps d’empêcher le flot de personnes qui élèvent des chats et les abandonnent dans les campagnes de continuer ».
Les organisateurs ont tout de même mis en place un service qui s’assure que les chats domestiques ne sont pas pris pour cible par les participants. Ils doivent d’abord être piégés et identifiés comme chats sauvages avant d’être abattus.
Les participations au concours auront permis de lever cette année près de 60 000 dollars qui seront répartis entre une école locale et une piscine ouverte au grand public. 
La venaison récoltée durant le concours a quant à elle été transformée avant d’être offertes aux banques alimentaires. 
[Edit du 03/07] La viande récoltée et distribuée est bien évidemment celle de cerf, canards et autres gibiers chassés à cette occasion.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Nicolas Liégeois 
 
 
 
 La chasse sous toutes ses coutures a toujours été présente dans ma vie personnelle. Passionné du web et du monde de la chasse c&#039;est tout naturellement que j&#039;ai fini par conjuguer ces deux mondes au quotidien dans ma vie professionnelle. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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 21 réflexions sur « Record battu au concours de chasse aux chats ouvert aux enfants avec 340 chats tués » 
 
 
 
 
 
 
Les oiseaux sont des alliés incontournables dans la régulation des insectes ravageurs
Ils sont déjà pour quelques espèces très menaces.
Les chats même domestiques, vivent en pleine liberté dans nos campagnes et même bien nourris ,s en prennent a nos amis ailes
Je ne suis pas chasseur et ne prône pas la mort des chat ,mais il y a bien un problème à régler
Peut être est il dans la prise de conscience des propriétaires de chat ,qui ne les entretiennent parfois que pour leur désirs personnels
 
 
 
 
 
 
Je pense que les chats ne sont pas les seuls nuisibles….. à bon entendeur…
 
 
 
 
 
 
Encourager des enfants à la chasse aux chats ! Dans quel monde vit on ?
Apprenons aux enfants que vouloir un animal demande réflexion car c est un engagement, une responsabilité et un coût donc quiconque prend un animal devra correctement s en occuper ( bientraitance), ne pas l abandonner, le stériliser, etc… voilà où doit aller l argent du contribuable !!!!
 
 
 
 
 
 
Il serait nouveau que les gens comprenne de ne pas abandonner ces animaux, et de quels droits les biens pensant se mêle de ça, occupé vous de votre devant de porte.
 
 
 
 
 
 
Utiliser l’argent pour des campagnes de stérilisation massive ainsi la régulation se fait par elle même… Et obliger les propriétaires à stériliser leurs animaux au plus jeune age( on peut le faire des 3 ou 4 mois). Ainsi pas d’extension du problème… C’est navrant cette chasse… Et contre productif… Par une augmentation des déplacements et une adaptation avec des portées plus importantes car moins d’individus eux mêmes prédateurs… Bref on marche sur la tête là bas aussi…
 
 
 
 
 
 
Chats feraux et opossum versus faune endémique en grand danger. Le choix de la méthode est discutable mais l’efficacité doit malheureusement primer pour sauvegarder une faune sauvage malmenée. Les dégâts que causeraient des chats stérilisés sur les nids de kiwi ou de kea sont ils acceptables dès lors qu’ils mettent en grand danger une faune exceptionnelle ? La meilleure solution serait de regrouper les chats dans des lieux clos et de s’en occuper, mais qui prendrait en charge les coûts engendrés ?
 
 
 
 
 
 
ça insite surtout les gens d’abandonner des chats, d’attendre qu’ils ce reproduisent en nature pour ensuite…les chasser pour le fric. Faire Tuer des chats par des enfants et attendre ça avec impatience, pour gagner de l’argent… là, nous sommes loin du respect de la nature
 
 
 
 
 
 
Je ne suis pas sûr de bien comprendre la dernière partie, les chats prélevés sont donné aux banques alimentaires ? Ils sont donc « mangés « ?
 
 
 
 
 
 
Vous n’avez pas bien lu en effet, il est pourtant précisé le gibier, pas les chats…
 
 
 
 
 
 
Je trouve cela cruel et oui en plus faire participer les enfants après on s étonne qu ils sont violents. Ces chats n ont pas mérité un tel sort dans un premier temps opéré les.
 
 
 
 
 
 
Re-bonjour avez-vous publié mon article que j’ai précédemment envoyé à la lecture des commentaires il n’apparaît pas il y aurait-il la censure?
 
 
 
 
 
 
Honteux et faire des enfants de future monstre de cruauté
 
 
 
 
 
 
La venaison sera « offerte aux banques alimentaires » dites-vous? …
Les Néo-zélandais mangent-ils du chat?
 
 
 
 
 
 
C’est peut être aux irresponsables les premiers qui abandonnent leurs chats, sinon cette pratique n’existerait pas ! Faut éliminer les espèces importées, pareil en France avec des tas de bestioles indésirables ! Y a un moment où il faut ce bouger et non attendre qu’il soit trop tard !
 
 
 
 
 
 
🤬😡🤬😡🤬
 
 
 
 
 
 
L’homme, au départ, chassait pour se nourrir.
Ici, cela ressemble à une chasse cruelle à laquelle on fait participer de jeunes enfants. On pourrait réguler le trop grand nombre de chats sauvages en les stérilisant et en apprenant aux gens de ne pas abandonner leurs propres chats dans la nature.
 
 
 
 
 
 
Malheureusement un chat stérilisé fait autant de dégâts auprès de la faune sauvage qu’un chat qui ne l’est pas !
 
 
 
 
 
 
Incroyable de voir qu’en France, les chasseurs appellent à copier les pratiques cruelles des autres pays !
 
 
 
 
 
 
C ‘est tres bien les chats errants sont nuisible , tres bonne idée, la france est un pays de cons qui n’avance jamais.
 
 
 
 
 
 
Pour une fois vous admettez que vous êtes responsable..
 
 
 
 
 
 
Pourquoi, là-bas, les canards sont-ils classés nuisibles ?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Record battu au concours de chasse aux chats ouvert aux enfants avec 340 chats tués

Salut les gars je suis ici depuis 10 ans à vous suivre... Saian je t'aime &quot;no PD&quot; ghostfag mais intéresser par vous tous, je ne suis peut être pas prêt à partager mais je suis ici et j'men branle de ce que vous pourrez dire je vous aimes et vous faites mon actualité et mon quotidien.

Bdfdp

Les derniers JO ont eu leurs scandales aussi.12 Milliard et tout c'est bien passé.sudouest.fr

The philosophers, l'approche est sympa et ça amène au debat, vous auriez choisis qui et comment et pourquoi ?youtu.be

Pourquoi j'ai plus de boxs de plus de groupes en étant déconnecté que quand je le suis ?

Merci le blocus. On en entend pas assez parler.courrierinternationa

Je ne sais pas où poser ça... La différence entre les anciennes et nouvelles predictions, c'est indecent.jeuxvideo.com

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La shoat en nouvelle zelande chassepassion.net