[Poésie] Dénuement d'un dératé
La vie nous vois si bas, a vu nos tête las
Vas-tu mettre, cherie, le bras de ce gars là ?
On s'est rempli de soi, s'est mis dans de beaux draps.
Tu ne sais pas, alors, que tu es toute à moi ?
Ta voix me dit tout haut de n'être qu'un ami.
Mais quel est donc ce sort qui nous tiens corps à corps ?
Qui nous prend de plaisir à se faire la cour
A court d'idée de mire, à court de vis à vis.
Fait de moi le Saint-Cyr, digne de ton amour,
Sans quoi je reste un homme à qui tu fais du tort.
Éloignés de la mort, éloignée de mes paumes
J'espère avoir dès lors, noyé dans ce poème
Ne serait-ce que ton corps, écoute moi, je t'aime
J'ai demandé à ChatGPT de me réécrire mon poéme, je crois que je vais arrêter d'écrire suffit d'en faire une prompt :
Telle est la vie, lassés, nos fronts inclinés,
Dis, chérie, vers lui ton bras est-il destiné ?
Nous nous emplissons d'orgueil, pourtant, pris au piège,
Ignorant que ton cœur tout entier m'oblige.
Ta voix, claironnant l'amitié en haut lieu,
Mais ce destin mystérieux nous unit, mon vœu.
Plaisirs de la cour, ivresse de ces échanges,
Mais en vain, sans objectif, sans profond échange.
Fais de moi, je t'en prie, digne de ton amour,
Sans quoi je suis un homme blessé, sans détour.
Loin des portes funestes, de tes mains éloignées,
En ce poème, noyé, je chante, je psalmodie.
Même ton corps évoqué, entends-moi, je t'aime,
Et mes vers, ardents échos, portent mon poème.
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