Le député (FI) Danièle Obono défend les stages syndicaux interdits aux blancs
qu'on continue avec ce débat à la con pendant ce temps ça permet aux membres du gouvernement de faire passer ce qu'ils veulent.
Pour moi la non mixité c'est le pont d'or au communautarisme, basta. Si on est pas capable de parler entre personnes dites "différentes" (sexe, couleur de peau, religion etc..) c'est qu'on est vraiment de beaux abrutis.
Je ne vois pas vraiment en quoi un stage syndical a le droit de se permettre d'interdire telle ou telle couleur de peau mais bon
Tu vas fermer ta gueule et vite te conformer à cette nouvelle initiative qui empêche le diable blanc d'étendre son horrible emprise sur son pays oppresseur et maudit !
t'as dejà ça si tu veux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9d%C3%A9ration_fran%C3%A7aise_des_travailleurs_chr%C3%A9tiens
Plutôt que d'être désolé je préfère rire de ce qui se passe, j'espère même que ce genre de situation complètement surréaliste continuera à se produire et s'amplifiera.
J'vous avais prévenu, le grand remplacement arrive, mais vous aurez plus que vos larmes de bobo gauchiasses pour pleurer !
J'ai du mal à être de gauche quand je vois des gens pas de gauche au sein de la gauche.
Ou l'inverse, je sais plus.
Dans tous les cas ça serait la député, pas le député. Mais si tu avais lu le premier paragraphe, tu saurais qu'ils acceptent que certains noms soient féminisés (et députée fait partie de ces noms "entrés naturellement dans l’usage").
Et deuxièmement, l'académie française n'a pas autorité sur ce sujet, et une circulaire du ministre demande explicitement la féminisation des noms de métier (tiens, tu as du manquer la box à ce sujet : https://choualbox.com/kpu4C).
Paragraphe 4 :
"Il convient par ailleurs de distinguer des noms de métiers les termes désignant des fonctions officielles et les titres correspondants. Dans ce cas, les particularités de la personne ne doivent pas empiéter sur le caractère abstrait de la fonction dont elle est investie, mais au contraire s’effacer derrière lui : c’est ce que mettait en lumière un rapport remis, à sa demande, au Premier ministre en octobre 1998 par la Commission générale de terminologie et de néologie, qui déconseillait formellement la féminisation des noms de titres, grades et fonctions officielles, par distinction avec les noms de métiers, dont le féminin s’impose naturellement dans l’usage. Ce texte marquait une grande convergence de vues avec l’Académie française et complétait utilement les déclarations sur cette question que la Compagnie avait elle-même rendues publiques. En 2002, l’Académie française constate que, « de ce rapport, le gouvernement n’a pas plus tenu compte » que de l’« analyse scientifique irréfutable » des Professeurs Georges Dumézil et Claude Lévi-Strauss.
La Commission générale rappelle que, si l’usage féminise aisément les métiers, « il résiste cependant à étendre cette féminisation aux fonctions qui sont des mandats publics ou des rôles sociaux distincts de leurs titulaires et accessibles aux hommes et aux femmes à égalité, sans considération de leur spécificité. […] Pour nommer le sujet de droit, indifférent par nature au sexe de l’individu qu’il désigne, il faut se résoudre à utiliser le masculin, le français ne disposant pas de neutre ». Elle ajoute que « cette indifférence juridique et politique doit être préservée dans la règlementation, dans les statuts et pour la désignation des fonctions ». Elle affirme « son opposition à la féminisation des noms de fonction dans les textes juridiques en général, pour lesquels seule la dénomination statutaire de la personne doit être utilisée. » Elle « estime que les textes règlementaires doivent respecter strictement la règle de neutralité des fonctions. L’usage générique du masculin est une règle simple à laquelle il ne doit pas être dérogé » dans les décrets, les instructions, les arrêtés et les avis de concours. Les fonctions n’appartiennent pas en effet à l’intéressé : elles définissent une charge dont il s’acquitte, un rôle qu’il assume, une mission qu’il accomplit. Ainsi ce n’est pas en effet Madame X qui signe une circulaire, mais le ministre, qui se trouve être pour un temps une personne de sexe féminin ; mais la circulaire restera en vigueur alors que Madame X ne sera plus titulaire de ce portefeuille ministériel. La dénomination de la fonction s’entend donc comme un neutre et, logiquement, ne se conforme pas au sexe de l’individu qui l’incarne à un moment donné. Il en va de même pour les grades de la fonction publique, distincts de leur détenteur et définis dans un statut, et ceux qui sont des désignations honorifiques exprimant une distinction de rang ou une dignité. Comme le soutient la Commission générale, « pour que la continuité des fonctions à laquelle renvoient ces appellations soit assurée par-delà la singularité des personnes, il ne faut pas que la terminologie signale l’individu qui occupe ces fonctions. La neutralité doit souligner l’identité du rôle et du titre indépendamment du sexe de son titulaire. »"
L'académie française est l'institution la plus légitime pour fixer les règles e la langue française, bien plus que n'importe quel ministère.
"L'académie française est l'institution la plus légitime pour fixer les règles e la langue française, bien plus que n'importe quel ministère." Pas du tout.
Tu ne dois accéder à ce site que si tu as au moins 18 ans ou si tu as l'âge légal pour visionner ce type de matériel dans ta juridiction locale, l’âge le plus élevé étant retenu. En outre, tu déclares et garantis que tu ne permettras aucun mineur à d'accéder à ce site ou à ces services.
En accédant à ce site, tu acceptes nos conditions d'utilisation.