Moment de fragilité
Salut,j'espère que vous allez bien
J'écris aujourd'hui pour extérioriser ce qu'il se passe dans ma vie,ça risque d'être fouillis car je suis en nuit blanche mais je compte dormir juste après la box
J'ai le besoin d'écrire ça maintenant.
Le titre porte bien son nom,beaucoup on une vie de merde comparé à moi donc vont plutot rire,tant que ça procure des bonnes ondes c'est tant mieux.
19ans,ne fait rien depuis 1 an à part trade de la crypto sans d'incroyable résultats,je conseil des gens qui eux réussise très très bien mais moi je n'y arrive pas.
Le problème viens de moi,depuis 2ans environ je me remet en question quasi tous les jours sans trouver de solutions,je stagne et je me dis que ça ira mieux après.
Je réfléchis beaucoup,beaucoup trop sur des sujets qui ne sont pas de "mon âge",réflexion sur les relations,la mort,la vie.
Comme beaucoup j'ai perdu mon père quand j'étais jeune,j'étais en 6ème.
C'est une douleur à vie que je souhaite à personne,après on vit avec et on se dit qu'il vaut mieux vivre heureux de toute façon.
Ce matin je regardais Happy Birthdead en toute légalité (une meuf se fait tuer le jour de son anniversaire,elle respawn à chaque mort et essaie de retrouver son meurtrier) et je me suis posé des questions sur la mort :
Le sentiment de ne plus être en vie après un réveil,ou sentir la mort,est-ce infini,y'a-t-il un paradis,un néant ?
J'ai paniqué,mais vraiment paniqué en répétant plusieurs fois "je veux pas ça,aidez moi" pendant une bonne 10aines de minutes.
J'ai stop le film (d'ailleurs si on peut me spoil la fin ça sera avec plaisir,je veux pas le finir) et je suis partis dans mon salon rejoindre ma mère.
Chez nous les sentiments c'est caché,nous sommes pudique à ce niveau,c'est plus facile de parler de sexe avec ma mère que de lui dire je t'aime,vous voyez le délire.
Je lui ai demandé de l'aide et au lieu de me rembarer et me casser,elle a vu que j'étais mal,vraiment mal je sangloté et je pleurais.
C'est réellement la première fois de ma vie que je pleure car j'étais à bout,je voulais pas qu'elle me voit triste car je sais qu'au fond d'elle ça la rend triste.
J'ai traversé une dépréssion quand j'étais en 3ème il y a 5/6ans je voulais meme me suicider,j'en parle depuis 2/3ans maintenant mais en soit,j'ai toujours traverser mes problèmes seul.
En seconde il y a 4/5ans j'ai fumé un oinj,j'ai fais un bad trip/white/blanc très violent et depuis ce jour la rien n'a plus était pareil.
J'ai un voile sur les yeux,j'ai l'impression de ne plus être dans la réalité,ce qui me rattache au réel c'est ma mère et mon frère.
J'ai peur de faire beaucoup de chose à cause des crises de spasmophilie (angoisse on va dire pour ceux qui ne conaisse pas,meme si c'est différent),j'ai l'impression d'être atteint de dépersonnalisation.
Je n'ai aucun ami (au début par dépit et maintenant par envie),pour moi c'est un lien fort que je n'ai jamais trouver.
Tout ce qui arrive dans ma vie c'est uniquement ma faute,simplement,je ne sais toujours pas comment m'en sortir.
J'essaie de rester positif,je lance un projet bientot,je vais me donner à fond pour que ça soit une réussite.
Voila,c'est fouillis et j'en suis désolé mais fallait que ça sorte
Paix & amour sur vous
TL;DR : J'ai pleuré dans les bras de ma mère pour la première fois,c'était génant mais ça m'a fait du bien
Une fois que tu as assimilé l'idée que tu dois mourir , le reste est beaucoup plus simple
Il n'y a rien de mal à pleurer dans les bras de ses parents... ça sert à ça les parents.
@EnigmaCrypto: j'ai vu un des types de stratis à Lisbonne. Il semblait ... confiant. J'en prends pas ceci dit..
C'est bien d'être allé voir ta maman.
Par contre :
"En seconde il y a 4/5ans j'ai fumé un oinj,[...] atteint de dépersonnalisation."
Arrête gamin, c'est dans ta tête. T'as besoin de deux choses : un psy et un coup de pied au cul.
Bienvenue dans la vraie vie, c'est pas facile. Mais y'a un moment tu choisis, soit tu es une victime et tu tends les bras pour être "sauvé" et avoir de l'attention, ce qui ne fera que te conforter dans ton petit train de vie de victime, de faible, et de looser, soit tu arrêtes de tourner en rond et tu te sors violemment les doigts du cul.
Pose toi de vrais questions, au lieu de te demander "ouain la douleur de vivre est elle trop forte pour que je continue à vivre ?".
Tu te flagelles et tu attends que les choses changent, tu te laisses bouffer par tes émotions négatives. Reste comme ça et tu vas crever.
Maintenant t'as un autre choix, celui de te prendre en main et de te dire : je veux quoi maintenant ?
Je veux quoi dans ma vie ?
Et puis franchement, c'est ultra simple de dire stop et d'arrêter de se faire bouffer par le malheur et les questions à la con.
Donc maintenant tu peux prendre mon message de deux façons :
1) Puke c'est un gros connard en plus il parle méchamment et il croit qu'il m'a compris alors qu'en fait je suis un être complexe et en souffrance et il connaît pas mon histoire.
2) Ah ouais, y'a plein de gens qui sont passés par ces phases là, je devrais ptêt arrêter de regarder mon nombril et devenir fort.
Allez, bisous.
@Puke: Je plussoie, tout ça est dit assez cruement, mais c'est la meilleure des façons, c'est honnète.
Ya pas de bonne façon de faire, ya pas de miracle, soit tu te bats, soit tu te laisse abattre.
Pour l'instant je dirais que tu te laisses grave abattre par les choses, tu vois que le mauvais côté.
Il y a toujours un bon côté, dans toutes les situations. T'as qu'à voir tout ça comme un challenge dont tu dois sortir vainqueur: te reprendre en main et être pragmatique, soit t'avances, soit tu coules, tu veux quoi toi ?
@Martos: C'est même pas cruel, au contraire, c'est bienveillant. Vous commencez à me connaître un peu, vous savez que je ne prends pas de pincettes. Être direct est parfois une bonne manière de faire passer un message clair.
@Puke: Ah j'ai pas dis "cruel" ! J'ai dit "cru", genre c'est cash.
Je communique pareil, être consensuel c'est moins efficace, voire pas du tout.
Si il y a quelque chose à dire, autant la dire.
@Puke: Et si il était réellement en dépression profonde ou même plus. Il parle de dépersonnalisation, tu rajoutes une mort dans son enfance et paf tu peux avoir une maladie psychologique sérieuse. Si c'est le cas et à moins de le connaître personnellement c'est impossible de savoir, ton message, en plus d'être à côté de la plaque et culpabilisant.
@PrinceMychkine: Je ne le connais pas, d'où le fait que je lui dise qu'il a besoin d'un psy.
Y'en a qui arrivent à avancer seuls, d'autres non. Faut pas avoir honte à aller chercher de l'aide.
Mais bon, désolé mais associer le fait d'avoir fumé UN JOINT dans sa vie aux problèmes qu'il a actuellement, ça me semble très peu crédible. J'appelle ça trouver un coupable. De mon point de vue, il associe ses problèmes à son joint, qui serait un élément déclencheur, et se culpabilise de l'avoir fumé.
Mais enfin... un joint quoi... soyons sérieux.
@EnigmaCrypto: Y'a peut être un avant et un après ce joint, mais ça ne veut pas dire que c'est la drogue qui en est à l'origine. C'est surtout ça, le truc que je veux te faire comprendre.
@EnigmaCrypto: Eh ben tu vois que t'en es capable.
J'imagine qu'on a tous des coups de barre à un moment où à un autre, mais "s'efforcer à être positif" c'est déjà bien.
J'ai entendu plusieurs fois "le bonheur, ça se choisit".
Perso je m'en fous, le bonheur c'est pas mon objectif. Du coup j'ai juste choisi de ne pas m'apitoyer et de ne pas être malheureux.
Mais tu sais, y'a beaucoup de gens comme toi. La plupart d'entre nous ont eu des phases comme ça ou bien ont ressenti des choses similaires. Si tu as des amis, parle leur en pour savoir ce que eux ressentent et comment ils perçoivent le monde.
@Puke: Á vrai dire, la dépersonnalisation et l'histoire du joint sont tout à fait liées, antécédents psychiatriques ou non. Enfin, c'est plutôt le bad trip violent qui en est à l'origine et non la drogue (disons le cannabis) dans une mesure plus large. Les symptômes de voile devant les yeux et de distance vis-à-vis de la réalité sont bien réels et non, comme tu peux le penser, "gamin, c'est dans ta tête". On parle d'ailleurs de déréalisation, la dépersonnalisation étant plutôt vue comme un sentiment de distance par rapport à soi-même.
Les questions vie/mort, on y a tous pensé. Certains se sont résignés à l'idée qu'un jour, ils mourront. Moi j'ai encore du mal à l'admettre. C'est vrai, au fond, on a pas envie de voir le protagoniste de notre histoire disparaitre.
Comme toi, j'ai une famille qui fait pas dans le sentimental, j'aurais énormément d'exemple à citer, mais ce qui donne du courage, ce sont ceux qui arrivent à vivre sans trop y penser. Au final ce sont eux les gagnants de l'histoire.
@benichouw: Dans tous les cas faudra bien mourrir un jour ou l'autre. C'est con d'en avoir peur maintenant alors que ca n'arrivera que dans 50-60-70 ans certainement. D'ici là il y a le temps de se passer des choses
@BouffeurDeCaca: C'est une façon de voir les choses mais tu peux aussi te dire que la mort est au cœur de la vie, à chaque rupture, chaque changement de job, à chaque soir où tu t'endors. Du coup fermer les yeux sur la mort c'est fermer les yeux sur tout. J'aime autant apprendre à mourir un peu tout les jours.
Je conçois que c'est une vision un peu particulière mais je la trouve utile.
J'ai eu la même a peu près au même age, avec pareil une dépression assez jeune. Le oinj faut éviter mais en soit je ne pense pas qu'il t'ai causer des pb mentaux pour toujours, je le sait car après un bad trip je pensait aussi que ça m'avait rendu fou et au final après un bon moment je me suis bien rendu compte que c'était pas le cas, genre je me disait pour donner une raison extérieur a des pb intérieur.
C'est normal de se poser des questions comme ça, encore plus a ton âge, t'es un peu a la croisé des chemin, le moment ou tu sort de l'enfance et du doit décider qu'elle sens donner a ta vie quoi en faire ect...
Perso au début je l'ai très mal vécu, j’étais dans le déni, en mode je fessais des étude que je détestais uniquement pour faire un truc, en me disant qu'il me faut juste une licence pour avoir un taff a peu près potable. Situation qui me rendait très malheureux. Au final j'ai plaquer les études, rien faire me rendez encore plus malheureux et du coup je taff depuis (usine ect bref de la merde aussi). Mais plutôt qu'être dans le déni, je cherche a donner du sens a se que je fais, genre aller a fond dans mes passions.
Même si je suis pas satisfait de ma situation actuelle, je dirais que chercher se qu'on veut vraiment faire de sa vie, bien que ça ne soit pas facile du moins au début, notamment en fessant des truc qui nous intéresse c'est un bon début.
Dans cette même situation, ce qui m'avait beaucoup aidé c'est d'en parler à mon frère, ça n'a pas fait disparaitre tous ces questionnement, mais je les vois sous un autre angle et c'est plaisant. Pouvoir ce poser ce genre de question sans partir dans un bad ultime de la vie et la mort.
Mets toi au sport, ou quelque chose d'autre hein, quelque chose qui pourrait te canaliser ou t'aider à maitriser tes sentiments/ressentis. Pour moi c'est le sport, pour toi ça sera peut-être la collection de canard vivants..
Force à toi.
T'es en pleine bourre à 19 ans. Sort toi un peu les doigts du cul, ça ira mieux. Bisous.
Wendigo a raison, une maman c’est aussi la pour ça !
C’est normal, après bouge toi le fion !
Commentaire supprimé.
Tu nous fais une belle déprime.
Le mieux, c'est en parler. Sur choualbox, tu trouveras même des gens à ton écoute (il y a des gens biens).
Ne néglige pas les amis. La solitude, on s'y habitue facilement. Mais que de regrets tu auras plus tard. Je parle par expérience. C'est cool que tu aies un projet.
Pour rencontrer des gens sur des thèmes que tu aimes, tu as Meetup.com qui est vraiment cool!
J'ai eu mes même questionnement sur la mort plus jeune, j'en dormais pas la nuit je faisais des crises d'angoisse mêlée à du somnambulisme, d'après mes parents c'était en mode exorcist.
Il y a un moment où tu surpasse tout ça, en trouvant le bon pote la bonne meuf ou le bon hobby.
Tiens toi éloigné de l'herbe, quand ta vie roule pas de problèmes mais quand t'es un peu bancale ça empire juste les choses.
Bon, j'ai 20 ans perso. Pendant deux ans j'ai été tox' à peu près à cause du même problème ( bon et puis aussi parce que j'ai aucune résistance à la dépendance ). Conseil, tiens toi éloigner de ça. Et puis c'est normal de se poser cette question mecton. On l'a tous fait.
Je ne sais pas si ça peut t'aider, mais personnellement, la réponse que j'ai trouvé à cela, c'est que oui les gens autour de toi vont mourir. Mais ta mort propre n'existe pas. Comme la leur n'existe pas pour eux. A partir de là, tu peux arrêter d'avoir peur. C'est réfléchir en égoïste dans un certain sens, mais du fait que tu n'auras pas conscience d'être mort, ça n'existe pas.
En quelque sorte, seule la mort des autres posent problème, mais tu n'as pas à en avoir peur du coup. Ca n'existe pas.
Ça fait flipper ton truc sur le bad trip, genre ya vraiment un avant et un après oinj dans t'a vie ?
@Minicho: /CSB On La semaine derniere j’ai bouffé un spacecake beaucoup trop chargé alors que j’avais jamais fumé auparavant. J’ai bader en mode hallucination crise de panique ect. Mes potes au bout d’un moment pensaient que j’etait possédé. Mais bon après ca ne m’a pas changer plus que ça je veux juste pas le revivre.
@Qult: Avoir un bad avec un taz pas de soucis, ça peut arriver, c'est géneralement pas très marrant. Par contre la ou je comprends moins c'est qu'elle associe son bad avec le fait de manger une grosse assiette ?
@Minicho: On a une expression pour les mecs à qui ça arrive dans mon entourage, on dit qu"il est resté collé".
@Scream441: La weed ingerée c'est très traitre, il faut faire vraiment attention !
Par contre même si sur le coup c'est très dur à vivre, j'en ressors toujours avec du positif de mes bads (quelque soit la substance). Un peu comme une epreuve difficile !
Je te conseille pas forcément de ne jamais reessayer mais avec une dose beaucoup moins importante et dans un bon cadre avec des gens que tu apprecies.
Mais si tu le sens vraiment pas, ne jamais se forcer !
@Minicho: ça peut arriver oui. Les gens ne reagissent pas aux drogues de la même facon et on peut meme aller plus en disant qu'on ne réagit pas de la meme facon aux types de drogues aussi (ce que beaucoup de monde a du mal à comprendre)
Tu peux tenir la weed en grande quantité par exemple puis ramasser sec avec 1/4 de toncar et inversement.
@Mezut: Ah mais ouais clair j'aurai du me contenter d'un bout mais bon je re ferait pas ça de si tôt
@Qult: Ouais ben c'est pas une super idée j'ai l'impression. MD/taz c'est à peu de choses prêt la même chose.
Courage mon gars, j'ai 20 ans. Je suis aussi en train de réfléchir à plein de choses. Et honnêtement si t'as un parent à qui tu peux mieux parler, hésite pas ou sinon écris le, ça fait du bien. C'est psychologique mais honnêtement ça peut marcher
A 19 ans, j'étais encore avec mes 107 kg encore chez ma mère, les cheveux longs et gras, aucun ami ni copine, et immature comme pas permis.
Aujourd'hui j'ai 26 ans, j'ai perdu 30kg, j'ai mon appart depuis 4 ans, dans 2-3 mois je me casse vivre à Londres, j'ai de super potes, j'ai baisé des filles vraiment bonasses, et là j'en ai deux sous le bras prêtes à être dégustées.
C'est normal d'être paumé à ce moment là. Des questions et des remises en question, je m'en pose souvent. Faut toujours le faire. Pas H24 évidemment, mais dès qu'il y a quelque chose qui va pas, pose toi des questions : "comment faire pour que ça change ; qu'est-ce qui m'a mené à ça ; comment l'éviter" etc etc....
La mort tout le monde y pense, moi le premier. Quand je suis couché dans mon lit le soir, prêt à dormir, je me demande comment ça se passe "après", et ensuite je vire sur l'Univers, sa taille, son infinité.... Ca me fait tellement tourner la tête que je stoppe tout et que je ferme les yeux pour dormir.
Tout ça pour dire que c'est normal. Te bile pas, ça passera.
Regarde Fight Club. C'est bidon pour certains, mais l'idée de toucher le fond pour renaitre c'est génial. Testé et approuvé.
@EnigmaCrypto: effet papillon je l'avais adoré à sa sortie mais maintenant il me fait bader.
y'a pas de secret: faut en parler, à ta mère si ça te/lui convient ou à un pro (psy)
Accepte la mort comme part de ta vie, elle peut arriver dans 80 ans, comme à la seconde ou...
En psychiatrie on reconnaîtrait quelques éléments de schizophrénie dans ton discours (ça n’a rien à voir avec ce que la plupart des gens s’imaginent et surtout rien à voir avec fight club, ca mele en tout cas dépersonnalisation, depression, TS, BDA, repli social, comme d’autres choses) mais on est pas sur doctissimo je m’abstiendrais de tout diagnostic de comptoir sur un texte de 10 lignes, on colle pas une étiquette sur quelqu’un pour si peu. Néanmoins je te conseille de consulter un psy. Au moins parler deuil et éventuellement envisager une thérapie qui pourra t’aider pour les questionnements existentiels.
@EnigmaCrypto: chaque deuil fait resurgir les précédents notamment s’ils ne sont pas réglés. Après pour ce qui est de la schizophrenie effectivement beaucoup de cas différents, le tout n’est pas que je pense ou que tu penses que tu l’es ou non mais’ qu’un spécialiste en juge, même si je t’accorde que c’est pas parce qu’un connard t’en parle sur CB qu’il faut aller voir un psy pour ça. Cependant tes autres questions justifieraient une prise en charge psy si tu le vies mal et donc par la même pourraient le cas échéant amener à un diagnostic et pourquoi pas, soyons fou, un traitement, qui je te l’accorde est bien pratique pour régler certains problèmes mais ne te fais pas d’illusions ça ne règle pas les questionnement existentiels. Et puis je te souhaite plutôt de te sortir du caca tout seul ou avec l’aide d’un psy mais sans être schizo que de l’etre et d’avoir un traitement, c’est souhaitable à personne...
@EnigmaCrypto: un psy ne fait pas le boulot à à place de toutes manières c’est toi seul qui y arrivera quand meme en bas de compte...
Relativise gros! T'aurais pu naître en étant une mouche à merde à Mossoul! Il t'est arrivé des trucs pas très chouettes mais ça fait partie de la vie et tout le monde voit des trucs moches. Certes c'est plus facile à dire qu'à faire mais ta vision des choses est complètement "inversable". Faut juste que tu te concentres sur le beau à la place du moche, que tu profites de ce qu'il t'arrive de bien et que t'arrêtes de te bloquer sur tout ce qui est négatif en pensant que c'est de ta faute.
Ca s'est passé? Ben voilà c'est la vie, allons voir ce qu'il va se passer ensuite! Autant t'as l'impression d'être au fond du trou, autant quand c'est l'inverse t'es sur un nuage. Lâche pas gros, te laisse pas avoir par le fatalisme, dis aux gens que t'aimes que tu les aimes, sois positif, tu verras, ça attire le positif.
Ahahah, alors la fin de Happy birthdead c'est:
chercher du réconfort sur choualbox...
@MyName: Ça à l'air d'être vraiment de la grosse merde, j'ai bien fais de pas aller le voir
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