Il était une fois un p'tit gamin, environ 14 ans, qui avait été absent au collège. Devant rattraper ses cours et étant de nature timide tel un shy squirrel (
http://choualbox.com/Img_generateur/1392974866128.jpg ), il demanda à l'élève auquel il parlait le plus. L'élève en question, étant une véritable crasse, répondit qu'il ne prêterait pas ses cours et qu'il fallait aller chez lui pour les récupérer en les recopiant. Le jeune zéro de notre histoire, sans personnalité aucune, accepta et fixa un rendez-vous.
Une fois chez son con-marade de classe, le jeune zéro se mit à recopier les cours, comme un petit esclave soumis qu'il était, pendant que l'autre vaquait à ses occupations. Cependant, à un moment alors qu'il recopiait les cours, quelque part entre deux phrases de grammaire, un berger allemand au poil brillant se pointa dans la pièce et vint regarder amoureusement le jeune zéro. Une sorte d'éclair se passa entre les deux protagonistes... enfin surtout dans le chien, le jeune zéro étant plongé dans sa réécriture. Le chien, Ulysse de son nom, sentait que le feeling passait, alors voulait faire passer autre chose, à savoir son grand désir, donc se mit à se frotter sur la jambe du zéro. Le maître gueula sur le chien pour qu'il arrête, ce que ce dernier fit, mais recommença quelques temps plus tard, résumant l'échange entre le maître et son chien à un va-et-vient d'autorité. Peu de temps après, le maître dit au jeune zéro "Viens dehors, j'ai un truc à te montrer". Le zéro, étant un zéro sur toute la ligne, ne se posant aucune question, le suivit.
Une fois dehors, un assez grand jardin (à vue de nez, 20m/20m, donc plutôt à vue de nez juif) se profilait aux yeux du zéro. Le maître dit au zéro de le suivre au centre du jardin et d'attendre, ce que le zéro fit sans rechigner. Là, le maître se mit à courir à toute allure dans tout le jardin, appelant Ulysse à le suivre, excitant ce dernier petit fifrelin de toutou. Au bout d'un temps, le maître revint jusqu'au zéro, toujours en courant, toujours suivi de son fidèle ami à quatre pattes, et se cacha derrière le zéro. Ulysse, dans sa hâte, ne put tourner (ou ne voulut tourner) et sauta sur le jeune zéro. En vint alors un combat de titans entre un jeune gamin de 14 ans, petit, bouboule et debout sur de l'herbe mouillée (donc facile à faire rouler, difficile à faire tenir debout) et un chien viril et puissant au poil doux. Le maître, ne voyant pas d'un bon œil la résistance du zéro, précipita le combat et fit un croche-pied au zéro, qui s'affala par terre, le chien lui retombant dessus.
Allongé à terre, le chien en ayant profité pour se rapprocher de la bouche, le pauvre jeune zéro était impuissant et pouvait voir que le chien, lui, ne l'était pas. Le zéro tentait tant bien que mal de résister à son assaillant, la sensation perdurant encore aujourd'hui de ses mains contre les cuisses musclés du bestiau pour le repousser, mais le chien ne voulait rien entendre, plutôt sentir. Le voilà alors qui fit des mouvements de va-et-vient pleins d'excitation, son poireau rose ("poirose") sorti pour être accueilli par la grotte buccal de sa victime. Le maître, à côté, était absolument hilare, et son autre chien, un collet dont le nom est aujourd'hui oublié, gueulant dans l'oreille du zéro, probablement par jalousie.
En très mauvaise posture, le zéro se dit "il faut absolument que je me dépatouille de ce bourbi infâme !" ("Que je me tire de cette merde", si vous préférez), alors il cria et cria, espérant qu'on l'aide. La mère du maître, à ce moment, sortit de chez elle et vit le gamin à terre, sexuellement assailli. Le jeune zéro se dit alors "ouf, je suis sauvé !". La mère, dans son immense bonté, pleine de compassion et d'empathie, se... mit à rire un bon coup et rentra chez elle. Le zéro pensa alors "quelle connasse ! Bon, je suis seul, il faut que je me sorte de là par mes propres moyens". Il eut alors une sorte de poussée d'adrénaline (pendant que le chien eut une poussée d'autre chose), prit son courage à deux mains (à défaut d'autre chose de rose et gluant) et réussit à se retourner, se mettant sur ses genoux. Quelle erreur !
Cela ne calma pas Ulysse, qui en profita pour prendre une meilleure position, les papattes déposées à l'aise sur les épaules, la langue pendouillante et la gueule haletante juste à côté du visage du zéro, qui sentait le poirose du chien dans son dos, montant et descendant. "Je n'en peux plus, il faut absolument que je fasse quelque chose !". A nouveau, il prit son courage à deux mains et réussit à se lever et à courir à toutes jambes jusqu'au portail, mettant un pied sur le muret et l'autre enjambant la barrière. "Je suis sauvé, enfin !! Je suis libre !"
"Mais attends... où est mon sac... ? Oh non...". Et oui. Le zéro avait oublié son sac à l'intérieur de la maison de son bourreau, qui, évidemment, ne voulait pas le lui rendre. Le zéro refusait à tout prix de retourner dans cette maison des enfers, alors préféra être lâche et déloyal et y laisser son fidèle compagnon de cours. Le maître, voyant que le zéro ne reviendrait pas récupérer son sac, lui rendit tout de même. Suite à cela, le jeune zéro appela ses parents pour qu'ils viennent le chercher, attendant un petit 10 minutes. Une fois les figures parentales arrivées, le jeune zéro se mit dans la voiture, n'osant pas toucher les sièges car ayant, recouvrant son pull qui était noir à l'origine, un liquide visqueux, immonde, que le jeune zéro espère encore aujourd'hui être de la bave et non la preuve que le chien a pris son pied.
FIN (enfin)
/old but true story/
(Et plus srsly, j'ai appris dernièrement que zoophilie = "méthode particulière de masturbation", c'est génial)
Ah putain qu'est ce que j'ai ris !
Merci pour cette csb, t'as une jolie prose.
Si tu veux j'ai un plan on dresse un cheval a lui bouffer la bite ! #Cartman