-- Témoignages chouals anonymes --

Merci du partage en espérant que les concernés soient toujours dans le coin

Et si jamais il y a d'autres personnes qui veulent témoigner anonymement il y a toujours la possibilité de contacter n'importe quel choual pour qu'il poste à votre place qqn en qui vous avez confiance ou si vous êtes un giga Ghost et que vous connaissez personne les modos et admin du groupe sont tout à fait disposés à publier des boxs pour vous sans trahir votre anonymat auprès des autres

ça fait maintenant 5 ans que je me terre chez moi sans amis , sans famille, je garde contact avec le monde grâce au net !
Je suis devenu incapable de parler avec quelqu'un , d’être avec une personne , voir un personne m'horrifie , me fait peur , je suis perdu et je deviens de moins en moins capable de communiquer et interagir avec les gens ne serait ce que au téléphone

Je n'aime plus.

L'amour a toujours été pour moi un point essentiel dans ma vie. J'y accordais une importance toute particulière. J'encensais la tendresse que mes proches pouvaient me donner en tendant à toujours rendre le double.
Qu'il soit familial, amical ou amoureux, j'aimais l'amour, pour ce qu'il procurait : cette douce sensation de chaleur qui semble de jamais périr.
J'étais passionnée. J'ai toujours été aimante et prévenante envers ceux qui comptaient pour moi.

Depuis 1 an et demi, je n'aime plus. Ça a commencé par une sensation désagréable au fond de moi lorsqu'un soir tout à fait anodin mon copain m'a dit un énième "Je t'aime". Cette nuit là, j'ai ignoré cet émoi acerbe.

Sauf que ce léger pic, à peine prenant s'est diffusé petit à petit, grandissant sournoisement en moi chaque semaine et mois qui passait jusqu'à un soir où un "je t'aime" de plus fut le "je t'aime" de trop. Ma gorge s'est nouée, le son de réponse n'en est jamais sorti.

Depuis, je joue mes "Je t'aime" et je crois mériter un Oscar de la plus chaleureuse des personnes à l'esprit glacial.

Mais... Je ne peux pas en parler, je ne veux pas en parler car depuis que je n'aime plus persiste en moi un bonheur malsain, un jeu envoûtant qui semble de permettre de manipuler et dominer chaque millimètre d'émotion que je souhaite procurer à mes interlocuteurs.

C'est pourtant d'une dualité perverse. Si la journée ce jeu me captive, arrivé la nuit il m’écœure. Je ne m'endors jamais sans pleurer et ne me réveille jamais sans rire.

Ca fait 4 ans que je n'ai pas parlé à ma famille. Je dis à tout le monde que c'est de leurs fautes, mais en vérité, c'est un peu aussi la mienne. Ma mère est une connasse doublée d'une putain, ça j'avoue, c'est pas ma faute. (Non, je ne suis pas GraysonPoulet). J'ai tenté de recontacter la dernière de mes soeurs, celle que je pensais être la plus sympa. Elle a refusé l'invitation facebook et a juste "lu" le message que je lui ai envoyé. Je fais genre que non devant ma copine, la putain de femme de ma vie, mais à l'intérieur, je suis encore plus dévasté qu'avant.

la vie c'est des hauts et des bas, plus de bas que de haut, j'imagine que ce qui fait souffrir marque plus profondément ...

Je suis venu au monde dans un foyer brisé, mes parents se sont séparés alors que je savais à peine parler, mon père battais ma mère ce qui l'a poussé à pété les plombs et à m'enlever et à me laisser chez mes grands parents à l'étranger.
Mes grands parents d'amour m'ont gentiment laissé dans un pensionnat pour enfants, parceque apparent à 4 ans on est pas sage.
Comment ne pas avoir la peur de l'abandon après ça ?

De retour en France ramené par mon père en plein divorce j'ai vécu un temps avec, jusqu'à ce que ma mère obtienne ma garde, mon père est alors parti vivre seul me laissant avec ma mère.

Ma mère était violente avec moi (elle devait sûrement voir mon père à travers moi)
L'école c'est pas évident quand tu parles pas la langue, que t'as l'air différent des autres...
Enfin la vie continue, on grandit on passe par des épreuves et on sais déjà que rien ne sera simple c'était mes premières pensée morbide je crois. c'est

À 14 ans je me retrouve en famille d'accueil, une famille superbe un des meilleurs moments de ma vie.
Arrivée à 18 ans on me place en foyer et en avant. La vie solo on s'adapte comme on peut même si vivre seul à 18 ans rhymes avec excès en tout genre dogue alcool l'innocence de la jeunesse quoi.

En générale à ce stade, la vie t'a déjà démontré par a+b que les gens que tu rencontres te laisseront allègrement tombé dès que tu ne seras plus là pour écouter leurs problème ou pour leur fournir de l'herbe (enfin j'ai mon petit Noyau dur d'ami qui sont là pour moi et à qui je le rend bien)

Alors en plus de la peur de l'abandon (merci la famille), je suis dépendant affectif, quand t'as pas de famille il ne te reste que l'amour alors quand tu ressens ça tu donnes tout comme jamais.

Quand t'est pas sociable c'est dur de rencontrer du monde surtout des gens avec qui tu t'entends bien pour une fois dans ma misérable vie j'avais trouvé un groupe d'amis parmi eux, cette fille, une gentille artiste et un peut perché.

Bref cette fille c'est pas m'a première, mais j'en ai eu assez pour savoir qu'il faut toujours avancé avec sa guarde, alors je me montre gentil, je l'aide à régler ses problèmes on s'attache on se prend d'affection, on décide d'aménager ensemble, je me trouve un boulot tout se passe bien.

Mais ça ne dure pas elle préfère sortir dans des bars jusqu'à des heures pas possible et ce qui devait arriver arriva, elle me trompes, on pardonne bien-sûr trop bon trop con et puis personnes d'autres ne peut m'aimer voyons.

3 mois plus tard je rentre de mon boulot, accident de vélo à 10 mètre de chez moi, sous le choc je ne fais pas de constat je rentre, je passe chez le médecin pour me faire soigner et de retour à la maison surprise : le feu

On se retrouve séparé, elle qui travaille de nuit se retrouve dans une caravane prêter par ces patrons et moi je me retrouve chez la belle famille en attendant que l'appartement soit de nouveau habitable.

On est en plein été alors un couple qui bat de l'aile au printemps ne dure pas en général, "désolé je te quitte je t'ai trompé avec le barman"

N'ayant jamais été violent je me suis promis de m'efforcer d'être
là meilleure personne possible pour ma partenaire mais la c'était
trop la gifle est parti même si on se sent mal on ne peut plus rien rattrapée.

Alors vraiment c'est sa la conclusion de la relation on s'est soutenues, entraider, on a avancé ensemble et hop du jour au lendemain je te remplace sans état d'âme merci la vie pour cette belle leçon

Aujourd'hui ça aurait fait 2 nos dommage.

Bref, j'expose m'a vie haha il fallait que ce soit exprimé Merci

"Si ton QI dépasse un certain score vivre est à peut près insupportable.
L'ironie c'est que ce score n'est même pas très élevé"

Il y a tellement de choses que je souhaiterais me décharger. Prenons cette brève comme premier point.

Je suis un homme, célibataire au moment où j'écris ces lignes. J'en ai déjà parlé dans mon entourage, mais je plus j'avance, plus je pense que trouver mon âme sœur n'est qu'une illusion. Ce qui va suivre n'est en aucun cas un appel à la haine.

En fait, je déteste les femmes. Cela peu paraître idiot, mais c'est un fait, impossible de me sentir bien avec une personne du sexe opposé. Outre la pornographie ou les images du quotidien qui demeurent plaisantes, le contact humain est quand à lui extrêmement difficile. Je me suis renseigné et questionné sur ma sexualité, je suis hétérosexuel si jamais vous vous posiez la question.

Les précédentes expériences les plus traumatisantes de ma vie avaient pour actrices principales des horreurs perfides et malignes. Je n'ai jamais eu comme exemple une icone féminine dans mon cercle familiale et amical. Peut-être est-là l'origine de mon problème.

Je respecte les femmes, mais au fond de moi, l'envie de les voir disparaître de ma vue à peine une conversation commencée fait surface, et encore c'est la solution la plus légère que j'ose écrire ici.

Je vie difficilement cette situation au jour le jour. Je porte mon masque et reste courtois, mais c'est très douloureux à la longue. J'espère un jour parler avec une femme sans avoir honte de moi-même, et peut-être plus tard fonder une famille.

Je peux encore rêver, ça n'arrivera probablement plus. Je suis trop méfiant maintenant. Vous les femmes qui lisez ces lignes, mes excuses si ce texte a pu vous choquer. Désolé de ne penser que vous ne devriez pas exister, qui vous devriez toutes disparaître. Je me déteste.

Bonne journée.

Bonjour. Gost depuis plus de 7 ans, j'aime ton idée de box anonyme, ça manque sur choual.

Dans la vie je suis personne, je fais ce qu'il faut pour que cela dure encore aujourd'hui à 30 ans passé, cela dit j'ai une autre vie que peu comprenne et bien peu présentable .. nan je suis pas esclave sexuelle pour immigrés transsexuelle jentends déjà les cassos du fond ricaner.. nan je suis née dans l'occulte , ça me suis tous les jours c'est véritablement une seconde vie. Ouais j'ai eu droit à la total : visite obscure, premonition, magnetisme, passage d'âme entre autre.

Et putain je sais toujours comment allié ces deux vies !
J'ai peur de m'enfoncer en plongeant totalement dans ce monde, déjà que j'ai un peu de mal avec l'être humain alors la ! J'arrête là si il y a pas trop de troll je re témoignerai.

à vous !

Je sais pas lequel est le plus badant, mais l'incel fais un peu peur.

Il y as peut être un pendu dans le lot vu les histoires.
Et le mec on as même pas pu l'aider. Il s'est dit que personne l'aiderait

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