La ville sans porte

@kodi: Pour la quatrième fois, d'où les rerolls successifs

@JackOlantern:

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@Sebauskov: c'est un hôpital et non un centre pénitencier psychiatrique, y'a une énorme différence, justement d'un point de vue sécu, quand a la question : "pourquoi mettre un violeur récidiviste dans cet environnement ?" elle n'est malheureusement pas du ressort des soignants, ni de l'administration de ces établissements. (après peut être que tu voulais dire : "centre hospitalier", dans ce cas je te dirais que la plus part des centres hospitaliers ont une sécurité déplorable. Surtout à ce niveau

@Checkmate: un violeur ne contrôle pas ses pulsions, alors où faut il le placer ? Un CH avec traitement ? Une MA avec traitement ? La dehors, il va pas se contrôler. En espérant vraiment que personne ne soit sa nouvelle victime....

@Checkmate: j'ai bossé dans des cliniques et hôpitaux psychiatriques, il y a des zones "ouvertes" et des zones "fermées", ces dernières concernant les patients hospitalisés d'office car ils sont un danger pour eux-même ou pour les autres. Les bâtiments ont plusieurs portes, des sas de sécurité , il faut se trimballer plusieurs clés et toujours ouvrir et refermer toutes les portes à clé chaque fois qu'on entre et sort de la zone "fermée".
Si les patients s'évadent, c'est que des soignants ont merdés. Il n'est pas évident de recruter en psychiatrie, sauf exception pour les personnes qui ont choisi d'en faire leur vocation, c'est toujours le tout dernier choix parmi les spécialités de médecine, comme c'était le dernier choix de stage pour les étudiants ergothérapeutes dont j'ai fait parti. Moi je trouvais ce job intéressant, mais pour la majorité de mes collègues, ils n'y allaient que parcequ'un minimum de stages en service de psychiatrie était obligatoire pour passer le diplôme d'état.

@Sebauskov: Dans un cimetière.