MadMoiZelle.com... De pire en pire....
J'suis pas une salope, juste une traînée...
"Cet évènement m’a fait prendre conscience d’un autre viol. Une fois où j’avais dit non, que ce n’était pas une bonne idée, puis comme il insistait je m’étais résolue, juste une fois, puis j’avais couché avec enthousiasme…" Ouai donc en fait à ce niveau, on peut vraiment parler d'une conne.
Ce serait intéressant de mettre la source la prochaine fois.
Après avoir lu une partie de l'article, que je résumerai par : " J'avais envie, mais j'étais pas sure, je voulais pas sauter le pas, j'aimais le chauffer mais j'avais peur que ça aille plus loin ", suivie de " Je l'ai invité à boire un verre puis à manger chez moi, je ne pensais pas que ce serait une invitation a coucher, mais je crois qu'il l'as pris comme ça ".
Je pense pouvoir dire que l'essence de l'article c'est : " Je suis une conne qui réfléchit pas, qui aimer chauffer son boss parce que je fantasme dessus, et quand je me rends compte que depuis le début il est sérieux et qu'il veut me baiser, je panique, j'ose pas dire non, j'ai honte de moi, et après coup je me sens nulle, stupide, et souillée ". Et j'ai envie de répondre : Fallait y penser avant ... Le mec est clair depuis le début, t'es indécise mais tu laisses faire, jusqu'au moment ou t'oses plus dire non parce que t'as trop laissé faire, pour moi, le mec a rien à se reprocher.
On pourrait débattre sur le fait qu'il est plus haut qu'elle dans la hiérarchie, mais il a pas joué dessus, donc pour moi ça joue pas plus que ça.
"Le viol, finalement, c'est un rapport amoureux qu'une partie des deux souhaite. La deuxième pourrait faire un effort..." Stéphane Ravier, Sénateur FN des Bouches-du-Rhône.
Faudrait que tu revois ta définition de viol hun. Il peut y avoir viol entre mari et femme. Flirter veut pas dire "défonce moi pendant que je gueule d’arrêter et que je veux pas"
Dans ce cas c'était : "je flirt pour avoir une promotion", sauf que jouer avec des psychopathes c'est pas cool.
Pas de tags, pas de source, juste une box de merde pour faire des blagues pas drôles déjà faites milles fois et dire que les meufs c'est quand même des grosses connes. En plus dans tes commentaires tu rajoutes une couche bien épaisse de préjugés et de phrases faciles : "faut avouer qu'elle le cherche un peu"
Le pire c'est que tu oses dire que tu ne fais pas l'apologie du viol alors que tu renies d'emblée le statut de violée d'une meuf qui témoigne sur internet, sans aucune connaissances des faits sinon l'article (un peu nul je le reconnais) ?
C'est toi l'élu de la beaufécie ?
Je vois pas le rapport, je te parle d'un truc sérieux et je pense sérieusement que t'es un gros con dans cette box et c'est tout ce que tu réponds ?
Et moi je pense que t'est une réac insupportable féministe à la con qui passe sont temps à s'indigner pour rien. Mais on peut pas plaire à tout le monde c'est comme ça alors on fait avec.
Tu manque au g/CGW.
Oui je suis réac, parce que je pense qu'il faut changer les mentalités, que sous couvert de ton humour un peu lourd je suis sûre qu'il y'a une vraie ignorance et que parfois il faut se remettre en question (je retire le gros con, qui n'a pas d’intérêt sauf te faire réagir à ton tour). Je suis féministe, je souhaite que tes préjugés sur le viol changent et je vois pas pourquoi ça fait de moi quelqu'un d'insupportable. Je me suis ultra renseignée sur le sujet, viens pas me dire que je suis "à la con". On s'en fou de cette histoire d'article. Ce qui me révolte c'est la facilité avec laquelle tu répands tes idées qui participent à cette culture du viol
Encore une fois, aucun rapport avec le CGW.
Et pour répondre à ta question: C'est simple je ne veut pas lancer de débat, un débat n'a d'utilité que si il y a une chance de changer l'avis de l'un ou de l'autre. A voir tes commentaires tu ne changera pas d'avis et moi non plus.
Je tiens juste à faire remarquer que je ne traite aucunement les femmes de "grosses connes", par contre celle de l'article est sacrément stupide. Et c'est le genre d'article que pond MadMoiZelle.com souvent. Après si tu crois que t'indigner pour n'importe quelle remarque envers une femme fait avancer la cause féministe tu te goure fortement.
C'est justement le fait d'être réac qui n'aide pas la cause féministe. J'ai aucun préjugés sur le viol, je suis suffisamment documenté sur le sujet moi aussi, de part mon job et mon expérience personnelle. Ce que je trouve insupportable c'est pas que tu n'accepte pas le viol mais la manière dont tu apostrophe les gens sous couvert de féminisme. Si tu lis correctement ce que j'ai commenté tu verra que je vise directement cette fille et pas toutes les victimes de viol.
Mais en justifiant un rapport sexuel non équilibré (elle sait pas ce qu'elle veut lui s'en fou de ce qu'elle veut) et en blâmant la meuf de regretter de s'être laissée faire prendre par un connard qui profite (moi j'aurai regretté direct) tu fais l'apologie de ce genre de rapport. Si t'es contre ce genre de trucs nuls (le mot viol est trop fort ?) il fallait plutôt dire : "mais pourquoi diantre se sent-elle dans l'incapacité de refuser franchement ce rapport sexuel, avec un bon coup de boule dans la tête du mec ?" et pas "elle l'a cherché".
Tu es pompier c'est ça ? Tu dois avoir entendu parler de la tétanie liée au choc ? Si tu es renseigné aussi, tu dois avoir entendu parler de cette pression que les femmes peuvent avoir "je lui dois un coup de bite, il m'a payé le resto" parce que le mec pense "je vais sans doute avoir mon coup de bite, je lui ai payé le resto". Ce que tu dois avoir compris au fil de tes recherche, c'est qu'il y'a une inégalité dans le rapport au sexe entre les hommes et les femmes, et ça favorise le viol. Qu'on dise au mec d'attendre que la meuf sorte sa queue et qu'on dise à la meuf que si elle veut de la queue elle va se servir. Y'aura moins de viol.
J'ai lu... "J’aimais jouer, le chauffer, tourner autour du pot." "Cependant, j’avais envie de passer un peu de temps avec lui," "mes fantasmes hiérarchiques" " j’ai proposé de finir la soirée en allant manger chez moi."
Encore une SDP qui a vu 50 nuance de grey et qui rêve de ce faire son boss mais qui assume pas.
..."j'ai proposé de finir la soirée en allant manger chez moi" c'est censé être une invitation a baiser ? Ça doit être sympa tes relations avec les filles si chaque fois qu'une fille t'invites chez elle tu lui sautes dessus persuadé qu'elle te veut.
Sinon cet article est justement là pour montrer qu'un viol c'est pas forcément le méchant loubard qui viole une inconnue en utilisant la violence, mais qu'il est possible que la fille soit attiré par son violeur (avant le viol). Le viol c'est dès que le consentement des deux parties n'est pas donné.
"mes fantasmes hiérarchiques", "J’aimais jouer, le chauffer, tourner autour du pot."
A partir de ce moment là, le "j’ai proposé de finir la soirée en allant manger chez moi." prend un autre sens dans la tête du gars. Il est surement persuadé qu'elle veut qu'il lui saute dessus...
Faut avouer qu'elle le cherche un peu, elle le chauffe pendant un moment puis elle l'invite chez elle tout en sachant qu'il a que l'intention de lui sauter dessus... Le pire c'est que ça devient un viol qu'une fois qu'elle regrette le lendemain. C'est trop facile.
Elle lui a dit 3 fois par texto que ça n'arriverait jamais, dans la tête du gars c'est pas censé vouloir dire quelque chose. Et oui elle le draguait, ça arrive souvent des jeux de séductions qui mènent nulle part, autant de la part d'hommes que de femmes, c'est jamais une excuse pour un viol.
Elle regrette sur le moment en fait, c'est un viol dès le début, elle ne veut pas, mais vu que dans notre culture l'homme est dominant et la femme soumise (heureusement ça change et ce n'est plus le cas tout le temps), elle n'ose rien dire et s'excuse même "d'être froide". Et le fait que c'est son boss joue aussi. Trop facile les viols, je suis d'accord.
Y a que les mecs qui ont le droit de draguer pour le plaisir sans avoir l'intention de coucher je crois.
Jamais j'essaierais d'excuser un viol... Mais je vois pas pourquoi j'excuserais ce que font parfois les femmes "juste pour s'amuser".
Aprés je fait pas l’apologie du viol et je comprend ton point de vue c'est juste que là la situation est quand même cocasse...
Donc tu mets sur un même niveau draguer pas sérieusement quelqu'un et le viol ? Ok
" j’ai proposé de finir la soirée en allant manger chez moi."
la sdp a reçu une leçon pour avoir parler hors de sa cuisine.
Honnêtement elle le mérite.
Elle explique également le contexte.
Si une simple invitation à manger un bout à la maison ne sous entends pas une invitation à coucher.
Le contexte ici présent est plus flou, le sous entendu aussi.
Je comprends parfaitement sa panique qui l'a paralysé pendant l'acte l’empêchant de réagir comme elle le voulait réellement. Mais rien ne l’empêchait de mettre les choses au clair avant, avec lui mais aussi avec elle même :
- "Cependant, j’avais envie de passer un peu de temps avec lui, dans une perspective plutôt amicale… mais peut-être aussi plus"
- "Une partie de moi avait envie d’aller plus loin avec lui, mais je ne voulais pas passer à l’acte"
Bien sur je n'excuse pas le mec qui doit avoir le tact d'un rugbyman en pleine mêlée pour ne pas voir que la fille ne veut pas.
Je t'aide, la phrase importante c'est : "Mais rien ne l’empêchait de mettre les choses au clair avant, avec lui mais aussi avec elle même".
Donc tu décharges la responsabilité du mec sur celle de la femme en gros, tu l'excuses.
J'ai un secret. J'ai le vertige.
Quelqu'un a qui je tiens beaucoup me raconte qu'il connait un endroit super, il faut monter en haut d'un immeuble, s'approcher du bord et il y a une vu superbe sur la ville.
Il arrête pas de m'en parler, veut m'y emmener. Le frisson de l'interdis et la beauté du paysage me donne envie. Je lui fais comprendre que j'aimerai bien voir ça.
Mais j’angoisse de paniquer sur place, dans ma tête je n'ai pas envie.
Après une soirée au bar, sur laquelle je ne donnerai pas plus d'information sur ce que nous avons bu, j'accepte de monter en haut de l'immeuble, dans ma tête il était clair que je ne m'approcherai pas du bords.
Une fois en haut il me tire par la main et m'approche du bord, je panique je n'arrive pas a dire non, je m’évanouis.
Dans cette histoire mon ami n'aurai jamais du me tirer vers le bords sans mon consentement (j’insiste), mais j'aurai pu jouer la prudence lui dire que je n'avais pas envie, ne pas monter en haut également.
Donc en fait n'importe quelle personne timide ou introvertie mérite d'être dominée dans la mesure ou elle ne peut se confronter socialement à d'autres gens plus sûr d'eux, moins empathique ou simplement manipulateurs...
On ne parle pas de quelqu'un qui joue un jeu dangereux, (perso quand je drague sérieusement ou non j'ai pas l'impression d'y jouer ma vie ou ma dignité) on parle de quelqu'un qui se cherche avec quelqu'un d'autre et qui fini par se retrouver pris au piège d'une situation qu'elle ne contrôle plus du tout.
Y a un coupable et une victime c'est tout, le reste c'est du débat stérile qui ne change rien à ce fait.
Pris au piège ? Un autre choual a dit : "Sinon cet article est justement là pour montrer qu'un viol c'est pas forcément le méchant loubard qui viole une inconnue en utilisant la violence, mais qu'il est possible que la fille soit attiré par son violeur (avant le viol)."
Le mec était en chien, la trouvait belle, l'aborde, essaye de passer du temps avec elle, fait son BG pour la faire rire, la chauffe par message totalement explicitement.
Il l'a drague, sérieusement ou juste pour la mettre dans son lit ? Peut importe, la fille le sait. Et l'accepte. Et en joue (ce n'est pas un reproche, dans un jeu de drague les deux partie font bien ce qu'ils veulent, dans le respect mutuel et sans engagement futur).
Il ne semble pas que c'est un dangereux psychopathe qui se sert de son statut social pour amener ses secrétaires au lit.
Il ne semble pas que la fille soit introvertie ou timide ou qu'elle soit dans l'incapacité de communiquer (en dehors du moment de panique ou elle fait blocage total)
J'ai une petite amie dont je suis amoureux. Demain je rencontre une fille très attirée par moi, elle me fait des avances évidentes et j'aime passer du temps avec elle. Elle commence à semer le doute dans mes sentiments. Je flirt avec elle, mais les pensées envers ma copine me fait comprendre au fond de moi que je n'ai pas vraiment envie.
Je lui dis plusieurs fois qu'il se passera rien par sms mais je continue notre jeu d'adulte, elle m'envois un sms "Ce soir tu t'occupes de moi ?". J’avais envie de passer un peu de temps avec elle, dans une perspective plutôt amicale… mais peut-être aussi plus. J’étais en effet constamment tiraillée entre mes fantasmes d'adultère, et mon refus de faire la moindre bêtise avec quelqu’un qui n’en valait pas la peine. Une partie de moi avait envie d’aller plus loin avec elle, mais je ne voulais pas passer à l’acte. Je ne voulais plus de ce genre de relation sans lendemain. Je lui ai néanmoins proposé un verre pas très loin de chez moi.
Pendant le verre, elle a bien tenté des approches mais on a surtout plaisanté et ri. Elle avait faim et le bar n’offrait pas de quoi dîner : j’ai proposé de finir la soirée en allant manger chez moi. Est-ce qu’inviter une amie chez soi est une invitation à coucher ? Je ne l’ai pas pensé mais je crois que elle, si.
Blablabla elle me saute dessus, j'arrive pas a réagir, je dis un peu non car je pense à ma copine, mais en même temps etc etc (blocage).
Dans cette histoire elle n'aurai jamais du me sauter dessus au final. Mais putain pourquoi je l'ai attirée dans ma chambre alors que je savais qu'elle allait me sauter dessus ?
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