Je suis tombé sur ça il y a quelques instants.
Hugo, Balzac, et toute la clique peuvent aller se rhabiller.
tl;dr: Obligé de poster dans le g/csb parce que le lien ne passe pas dans le g/fun
LOL j'adore la réaction mais c'est incroyable à quel point ta désinvolture te porte préjudice, et pour rester cohérent, mieux vaut rester en dehors des propos concernant la totalité des comptes Twitter influents (c'est mou du genou) , si tant est que les femmes actives n'ont jamais voté oui à la Constitution Européenne . Restons calmes, tu n'as aucune info concrète sur le rédac chef de Libé qui peut ouvertement crier plus fort que le voisin ! J'espère que je n'ai pas envenimé le débat...
Après tout ce drama habituel, tu ne peux pas être aussi péremptoire, les débordements politiques viennent alimenter le vieux débat sur le capital régional (si tu vois ce que je veux dire…) , personne avant toi n'a décrété que les élites du monde ont peur des excès du capitalisme ! C'est la fin d'une époque, à moins de cautionner les experts qui sont les seuls à payer les pots cassés … Sans ça, les anti-vaxx auront gagné leur combat.
Si tu retrouve la box originale avec le lien du site qui générais ces phrases t’as mon respect
Je connaissais déjà mais c'est pompé sur ça : http://www.ecrans.fr/sirkisator/sirkisator.php qui fait carrément des chansons complètes.
L'absence de vertu. La galopade des prairies de quinoa. L'élan de la sauce barbecue. La couleur neutre de ton antre.
Tes yeux de velours me scrutent dans la cuisine carrelée. Espoirs déçus. Viande mi crue. C'est encore moi qui vais faire la vaisselle ma belle.
Pour qui sait sourire à la flânerie. Pâles copies pour piètre dévotion. Les coeurs tanguent mais tes mains consolent. Je déterre les deuils, les armes de déraison.
Oh...
Quand tu ris, c'est moi qui pleure. Quand tu cris, c'est moi qui meurs. Quotidien tragique. Nuit de granite. Miroir brisé. Espoir rouleau compressé.
Tu es mon défi cosmique. Oh oui mon défi cosmique. Laisse moi toucher ta lune. Laisse moi croquer tes prunes. Allez viens. On court ensemble. Ensemble vers mon radeau spacial. Glacial.
Partir sans regarder derrière nous. Mon coeur saigne de joie. Tu m'appelles mais je ne réponds pas. Le micro-ondes respire l'amour. Il y a une fissure dans la cabine de douche.
"Cela coule mieux quand je me penche. Mets ta main devant ta bouche. Le frigo me dit que tu mens. Noir comme l'encre de ma vie." Oh bordel