Pauvre Nicolas ....
Commentaire supprimé.
Alors actuellement c'est le système qui brûle les écoles ? QUI brule les écoles, qui ? qui ? QUIII ?
Le système n'est pas bon c'est sur. Mais un système sain ne peut être bâtis avec des gens qui déteste le pays dans lequel ce système évolue. Le vivre ensemble ne marche pas, regardons les exemples de la Suisse et de l'Autriche, des pays Nordiques et asiatiques.
J'y ai cru au vivre ensemble, sur le papier c'est ainsi qu'une civilisation cherchant à s'élever devrait faire, mais depuis 10 ans il faut ouvrir les yeux, lorsque l'intégration ne peut être appliquée il y à de la casse.
Je n'y vois pas la source, j'y vois aussi un symptôme, c'est juste que bruler des écoles ça prouve aussi un niveau de connerie stratosphérique
Donc tu prends un cas particulier, et tu généralise, tranquille. Le type qui a du mal à s'intégrer parmis les bouseux, comme n'importe qui d'autre à sa place : ses parents seraient venus de Paris, au lieu du Maroc, que, pour les gens du coin, il aurait été le fils du Parisien. À vie.
Tu ne vois que des gens qui n'ont pas réussi à s'intégrer, sans tenir compte du fait que, dans les dernières générations d'immigrés, il y en a qui n'ont jamais eu cet objectif : ils ne viennent que pour les allocations et prestations sociales, les infrastructures bien plus développée que dans le pays corrompu qu'ils quittent et qui est bien content de les voir partir.
Non, tous n'ont pas la volonté de s'intégrer. Quand tu débarques sans avoir pris le peine d'apprendre un peu le français, sans contacts, sans projet d'emploi, en transportant la culture ou les coutumes de ton bled, qui se rapproche peut être de celles de la France... mais de la France du siècle dernier, ça va coincer au niveau de l'intégration, c'est logique, si tu ne fais rien pour. Si tu prends l'exemple d'un Français qui va travailler au Japon, pays bien plus xénophobe que la France au passage, et qui ne veut pas apprendre le japonais, se plier aux coutumes du pays où il débarque, et qui en plus te sors "c'est entièrement de la faute aux japonais si je ne m'intègre pas" tu diras que c'est un gros connard.
Symboliquement ça dis rien du tout. C’est une déformation d’une réalité tangible et chiffrable sur la chance d’habiter en cité contrairement aux cul-terreux de la France profonde. Lire l’excellent « la France périphérique » de Guilluy pour comprendre que ceux qui l’ont dans le cul ba c’est les p’tit blanc (même pas forcément) des campagnes et des petite & moyenne villes. Sauf qu’avec ton discours victimaire il est possible de justifier une pseudo colère qui ne repose sur rien de concret et tangible de la part des casseurs.
Je connais pas Maudin Malin. Pas certains que tu connaisse le monde de l’enseignement en banlieue. Pour y graviter je t’assure qu’il y a plus d’école que n’importe où ailleurs et que les enseignants en poste sont souvent les mieux placés au concours. Certes jeunes parce que aucun vieux de la vieille ne veut y aller mais peut on les blâmer pour ça ? Une zep est une zep à cause de ceux qui en font une zep (les élèves). Et si tu savais le nombre d’activités extra scolaire, d’ateliers artistique et sportives, de sorties qu’ils ont gratuitement C’est indécent. Regarde le budget d’un projet comme « cité éducative » pour comprendre à quelle point ils sont choyés. L’enseignement est le même partout, ce qui va différencier un collège de banlieue avec un collège de campagne ba c’est l’éducation des parents, l’envie d’apprendre, le respect au corps professoral. La carte du « maman et papa parlent pas français donc c’est dur pour les devoirs » elle est bullshit, t’as du soutien scolaire à gogo avec des moniteurs périscolaires payé grassement par la mairie. Sauf que l’initiative doit venir des élèves à un moment. On est en France l’un des systèmes les plus égalitaire en terme d’éducation. N’importe quel teubé est accepté en fac public et est en capacité de s’en sortir avec un minimum de travail. Et si t’es trop con pour l’école t’as encore pôle emploi qui paye des formations, ou la mjc qui accompagne pour des stages, ou la mission local ou une dizaine d’association d’insertion. Encore une fois zéro excuse. La preuve il y a une partie qui s’en sort
En tant que prof non titulaire t’as pas vraiment le choix d’y aller ou pas ! Et bien souvent s’il le niveau est l’ambiance n’était pas aussi catastrophique il y en a pas mal qui reverrait de rester (proximité avec la ville etc). Les vieux sont dépassés (plus de « châtiment physique » ou d’autorité un peu viril possible sans risque le renvoi), il n’y a plus que les jeunes biberonnées au nouvel norme d’enseignement qui sont capable de supporter ça !
Au final l’enseignement reste le même partout, c’est simplement l’éducation qui va faire la différence. Le programme reste le même c’est juste que dans un classe avec un perturbateur c’est géra le mais dans une autre avec les 3/4 t’avance pas. C’est malheureux mais c’est du sabordage. Bien souvent de la faute de l’entourage.
Je trouve au contraire que la banlieue bénéficie de beaucoup d’avantage de la ville (accès en transport en commun, mise en place d’une politique événementiel de qualité, tarifs préférentiels dans les centre culturel et sportif) auxquels n’on pas accès la majorité des campagnes. C’est du gâchis en fait
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