Or et Sang, haine dans nos rang
Et pour l'humain ici présent
Désolation, dysharmonie
Or et Sang, serait-ce fini ?
La beauté présente en toute chose
La prose et le vers dans nos âmes
Le chaos, cette fière prose
Le sort de tous, cet amalgame
Ainsi tout est réellement fini ?
Mais non ! Il nous reste l'écrire
Nous ne pouvons pas en finir
A notre porté l'infini
Or et Sang, êtres renouvelés
Opposés, réunis, changés
Ô funeste ode à la vie
Or et Sang, me voilà contrit