Femmes humiliées, discrimination anti-blanc... Dans le monde de Nasdas, l’influenceur qui promeut une effarante contre-culture en France
Je vois pas comment on peut tenir responsable la gauche alors qu'elle n'a pas été au pouvoir depuis presque 50 ans. Ou alors tu considères à à gauche tout ce qui est à gauche de Marine Le Pen. Dans ce cas là d'accord. La gauche c'est les responsables.
C'est une blague j'espère ? Le programme de Sarkozy était plus à gauche que celui de Hollande. C'est le même moule que Macron. Si ça aide ses potes milliardaires parce-qu'ils financent la campagne, c'est pas la gauche.
Oh my lord ! Tout s’explique ! Tu viens de donner un exemple criant de ce que tu viens de dénoncer : la post-vérité et la contre-culture !
Étrange, j'ai 50+ et la gauche a bien été au pouvoir.
Je le sais ceux élu disait qu'il fallait voter contre ceux de droite.
Mitterrand en 81 et 88 et Hollande en 2012, ça fait pas 50 ans d'après ma calculette !
Hollande n'est pas de gauche, mais même si il l'était, c'est un peu facile de tout mettre sur la gauche. Je pense que la droite a largement eu la place pour se rattraper. Mais bon c'est plus facile de s'inventer des faux ennemis visiblement.
Du coup c'est quoi le critère pour être de droite, ne pas être socialiste ? Et t'aurais un exemple de parti de doite en France ?
Selon moi, les concepts traditionnels de gauche et de droite sont désormais obsolètes.
L'échiquier politique d'autrefois était principalement structuré autour de l'économie, avec une gauche "communiste" et une droite "capitaliste".
Aujourd'hui, la droite capitaliste a triomphé et a redirigé le débat politique vers les questions sociales, créant ainsi une gauche "progressiste" et une droite "conservatrice", à l'instar de ce qui se passe aux États-Unis.
Le capitalisme, grâce au contrôle des médias, empêche désormais toute remise en question de son emprise et de son enrichissement personnel. En même temps, il occupe et divise la population avec des faux débats sociaux.
La naissance même du "centre" sur cet échiquier est révélatrice de cette évolution. Il incarne un capitalisme pur, dont les représentants cherchent à se positionner entre les deux bords, en adoptant des lois à la fois de gauche et de droite, dans le but de toujours apparaître sous un jour favorable et de maintenir leur contrôle sur le capital, qui reste intouchable.
Aujourd'hui, les discussions politiques dans les médias se concentrent souvent sur des sujets comme l'immigration ou les droits des LGBT+, mais l'économie, qui était autrefois au cœur des débats, semble reléguée au second plan.
Tout n'est pas arrivé en un jour, les flics sur le terrain s'en sont rendu compte petit à petit au milieu des années 80 mais on leur a dit (déjà) de ne pas faire de vague. Après sont arrivé les SOS Racisme et Touche pas à mon pote et plus personne n'a ôsé dire quoi que ce soit.
On voit ou on en est aujourd'hui.
