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Sarah Noëlle (CLP) - 
 
 24 juil. 2024 à 12:00
 
 | mis à jour le 24 juil. 2024 à 12:01
 - Temps de lecture : 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Le mis en cause était sous escorte renforcée lors de l’audience au tribunal correctionnel. Photo d’illustration César Vargas
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Hélène Cellier, présidente du tribunal, dépeint la personnalité de Kamel et justifie la nécessité de cette escorte policière. Depuis son incarcération en mai, Kamel subit menaces, intimidations et violences, si bien qu’il a été placé en cellule d’isolement pour sa propre sécurité. La peur est palpable dans les yeux du prévenu chaque fois que la porte de la salle d’audience s’ouvre. « Des personnes que je préfère ne pas nommer ici me demandent de rembourser des choses que je ne peux pas rembourser », confie-t-il. « Le passage à tabac en prison est en lien avec ça....
 
 
 
 
 
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Dijon. Quatre mois de prison ferme pour refus de donner les codes de son téléphone

 
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 International Géorgie 
 Le texte devrait malgré tout pouvoir entrer en vigueur car le président du Parlement a le pouvoir de la signer en cas de refus de la présidence. 
 Des militants pour les droits des personnes LBTQIA+ à Tbilissi, en Géorgie, le 17 mai 2017. SHAKH AIVAZOV / AP 
La présidente géorgienne, Salomé Zourabichvili, pro-européenne et en rupture avec le gouvernement, a refusé de signer une loi restreignant les droits LGBTQIA+, ont annoncé ses services mercredi 2 octobre, le texte ayant été fermement condamné en Occident.
 
Mme Zourabichvili « a refusé de signer la loi et l’a renvoyée au Parlement sans y apposer son veto », a déclaré la porte-parole de la présidente de ce pays du Caucase, Marika Botchoïdzé. La loi devrait malgré tout pouvoir entrer en vigueur car le président du Parlement a le pouvoir de la signer en cas de refus de la présidence.
 
« Stigmatisation » et « discrimination »
 
Les élus géorgiens avaient adopté en septembre ce texte sur les « valeurs familiales », qui interdit « la propagande des relations homosexuelles et de l’inceste » dans les établissements d’enseignement et les émissions de télévision, et restreint aussi les « rassemblements et manifestations ».
 
Des groupes de défense des droits ont critiqué cette formulation mettant sur le même plan l’inceste et l’homosexualité.
 
L’Union européenne avait estimé au début de septembre qu’il « porte atteinte aux droits fondamentaux des Géorgiens et risque de renforcer la stigmatisation et la discrimination d’une partie de la population ».
 
La législation, similaire à ce qui existe en Russie, a été approuvée par les députés du parti au pouvoir, Rêve géorgien.
 
Ce parti, à la rhétorique conservatrice et antioccidentale, est accusé de mettre en danger le rapprochement de la Géorgie avec les Etats-Unis et l’Europe. Le pays ambitionne de rejoindre l’OTAN et l’UE, mais les détracteurs de Rêve géorgien l’accusent de préférer Moscou.
 
Le pays est appelé aux urnes le 26 octobre pour des élections législatives vues comme cruciales.
 
Manifestations massives au printemps
 
La Géorgie avait été secouée au printemps par des manifestations massives contre une autre loi, cette fois sur l’« influence étrangère » et elle aussi inspirée d’un texte russe répressif.
 
En Russie, une législation réprimant la « propagande LGBT » a été adoptée il y a une dizaine d’années et considérablement élargie depuis, Moscou ajoutant même ce qu’elle qualifie de « mouvement international LGBT » sur sa liste des entités déclarées « terroristes et extrémistes », même si aucune organisation ne porte ce nom dans le pays.
 
 Le Monde avec AFP 
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En Géorgie, la présidente refuse de signer une loi anti-LGBTQIA+, malgré la pression du gouvernement

 
France 29/09/2024 11:07 Actualisé le 29/09/2024 16:24 
 
Les quatre policiers responsables de l’agression ont immédiatement été suspendus et placés en garde à vue au moment où l’enquête débute.
 Capture d’écran X Capture d’écran de la vidéo de l’agression policière filmée à Papeete depuis un balcon voisin. 
Capture d’écran X
 
Capture d’écran de la vidéo de l’agression policière filmée à Papeete depuis un balcon voisin.
 
POLYNÉSIE - Une vidéo massivement relayée sur les réseaux sociaux. Depuis vendredi 27 septembre, les images d’un homme en fauteuil roulant agressé par des policiers provoquent de très vives réactions à Papeete, capitale de la Polynésie française où la séquence a été tournée.
 
Publiée vendredi en ligne, cette vidéo de violences policière filmée depuis un balcon montre une personne en situation de handicap se faire malmener par quatre agents de police dans le quartier défavorisé d’Estall, à Tahiti. Poussée, violentée et même frappée au visage, la victime de cette agression est un homme âgé de 47 ans, selon Tahiti Nui TV. Pourtant, à aucun moment la personne en situation de handicap ne manifeste de signe d’agressivité dans la vidéo, présentée toutefois sans le moindre contexte.
 « Mais tout le monde a vu la vidéo… »
 
Face au scandale provoqué par ces images, les quatre policiers impliqués dans l’agression ont été suspendus et placés en garde à vue pour trois chefs d’accusations : violences en réunion, violences sur personne vulnérable, violences de personnes dépositaires de l’autorité publique. C’est ce qu’a annoncé samedi le Haut-commissaire de la République en Polynésie française et la procureure.
 
« Le Haut-commissaire a décidé la suspension administrative immédiate des quatre agents impliqués, dans l’attente des résultats de l’enquête interne ouverte par la Direction territoriale de la Police nationale », a indiqué dans un communiqué le Haut-commissariat, qui représente la France dans cette collectivité ultramarine autonome dont la sécurité reste assurée par l’État.
 
Les policiers « ont été immédiatement suspendus et mis en cause », a confirmé ce dimanche le nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, sur son compte X. Ajoutant : « Si les faits sont avérés, ils devront être punis sévèrement. Je serai un soutien à toute épreuve de nos forces de l’ordre mais j’attends d’eux la plus grande exemplarité. »
 
Au moment du placement en garde à vue des quatre policiers, la procureure de la République en Polynésie française Solène Belaouar a rappelé qu’il faut « respecter la présomption d’innocence », avant d’ajouter, « mais tout le monde a vu la vidéo ».
 49 secondes de violence
 
« Je ne sais pas ce qui a précédé la vidéo, mais ça ne peut de toute façon pas justifier ces actes », a précisé la procureure, qui a donc ouvert une enquête judiciaire. Selon la chaîne de télévision locale qui cite des témoins de la scène, l’homme en fauteuil roulant « était saoul et proférait des injures aux policiers qui l’ont violenté ».
 
Malheureusement, la vidéo publiée sur les réseaux sociaux ne dure que 49 secondes, et sans contexte, difficile d’en savoir plus tant que la victime et les fonctionnaires n’ont pas été entendus. Ce qui doit prochainement être le cas, selon l’AFP. Sur les images, les quatre policiers entourent clairement l’homme en fauteuil roulant, puis l’un des agents soulève le fauteuil et fait tomber l’homme à terre. Ce dernier parvient à s’asseoir au sol, mais le même policier lui assène un puissant crochet au visage et l’homme tombe à nouveau.
 
Selon Tahiti Nui TV, seul l’un des quatre agences de police est un policier titulaire. Les trois autres seraient des « policiers adjoints », est-il précisé. La pression a d’ailleurs été mise au niveau local pour demander « une enquête approfondie », comme en témoigne la lettre de l’ancien député Tematai Le Gayic, aujourd’hui représentant de l’APF France handicap, envoyée au procureur de la République et relayée par Radio1.
 
« Les abus de pouvoir doivent être traités avec la plus grande fermeté pour préserver la confiance entre les citoyens et ceux qui les protègent », peut-on notamment y lire. Dans l’Hexagone, la vidéo a déjà été relayée par plusieurs élus qui dénoncent une énième affaire de violence policière, quelques jours après la prise de fonction de Bruno Retailleau.
 
À voir également sur Le HuffPost :
 

En Polynésie, des policiers frappent un homme en fauteuil roulant, la justice saisie


Par La Provence
Publié le 25/09/24 à 07:38
Depuis le 1er janvier, il est encore possible d’utiliser ses titres-restaurant&lt;QA0&gt; pour acheter des produits alimentaires en supermarché.
Photo Cyril Sollier (archives / illustration)
&quot;Le Syndicat National de l’Alimentation et de la Restauration Rapide (SNARR) appelle les pouvoirs publics à recentrer l’utilisation des titres-restaurant sur les produits de la restauration et ce dès le 1er janvier 2025, afin d’assurer la pérennité de ce mode de paiement&quot;. Dans un communiqué publié il y a quelques jours, le SNARR dénonce une dérive autour de cette pratique qui a été prolongée d&#039;un an en décembre 2023 par l&#039;ancien ministre de l&#039;Économie dans une volonté d&#039;offrir du pouvoir d&#039;achat supplémentaire.
Le SNARR assure que cette mesure ne bénéficie pas aux commerces de bouche ou aux artisans comme les boulangeries ou le boucheries mais plutôt aux grandes et moyennes surfaces (GMS). &quot;Selon la CNTR (Commission Nationale des Titres Restaurants), environ 1 milliard d&#039;euros de chiffres d’affaires en titres-restaurant ont ainsi été absorbés par les GMS en seulement un an. À la fin du deuxième trimestre 2024, ce secteur représentait 30,8% du flux financier du marché des titres-restaurant&quot;, regrette le syndicat. 
Dans un communiqué diffusé ce mardi, l&#039;Union des Métiers et des Industries de l&#039;Hôtellerie (UMIH) &quot;rappelle que le secteur de la restauration a besoin du titre-restaurant pour stimuler la fréquentation des établissements à l’heure du déjeuner&quot;. Le syndicat ajoute que les &quot;entreprises sont aujourd’hui confrontées à une augmentation très importante de leurs coûts d’exploitation à laquelle il faut ajouter le remboursement des PGE&quot;.
Les deux syndicats appellent donc à un recentrage de cette utilisation sur des produits en quelque sorte consommables sur place. &quot;Une nouvelle prolongation de l’utilisation à tous produits alimentaires transformerait à coup sûr le titre-restaurant en titre caddie&quot;, dénonce encore l&#039;Umih.
Votre opinion compte pour nous. Rejoignez la communauté laprovence.com en réagissant sur l&#039;article Titre-restaurant en grande surface : les syndicats de restaurateurs veulent &quot;recentrer&quot; son utilisation.


Titre-restaurant en grande surface : les syndicats de restaurateurs veulent &quot;recentrer&quot; son utilisation


 
 
 
 
 
Entre difficultés d’accès aux soins ou manque d&#039;argent, plus de trois Franciliens sur 10 ont renoncé ou reporté des soins médicaux. La CPAM des Hauts-de-Seine organisait ce mercredi une journée d&#039;information sur le parvis de la Défense. Objectif : informer et expliquer les droits et les démarches pour mieux se soigner.
 
 
 
 
 
 
 
 
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Patricia est venue ce midi glaner des informations sur le parvis de la Défense pour cette 7e journée de la Santé organisée par l’Assurance maladie des Hauts-de-Seine. Au programme : conférences et animations sur le thème de la santé.&quot;J’ai des problèmes de dos, alors lorsque j’ai reçu une invitation pour cette journée, j’ai pensé que peut-être, je trouverai ici les réponses à mes questions&quot;, explique-t-elle.
&quot;Je suis à la retraite depuis quelques années et pour l’instant, je n’ai pas eu de gros problèmes de santé&quot;, se félicite cette habitante de Nanterre. &quot;Je me suis rarement trouvée dans une situation où je devais renoncer à me soigner, mais l’an dernier alors que je souhaitais me faire soigner les dents, mon dentiste m’a annoncé des dépassements d’honoraires énormes&quot;. Une radio panoramique à 250 euros et un devis pour 1000 euros pour la dévitalisation de ses deux dents. &quot;J&#039;ai cru que j&#039;allais devoir renoncer à me soigner, car c&#039;était vraiment trop cher&quot;, s&#039;exclame-t-elle. Finalement, une voisine lui conseille d&#039;aller au dispensaire à Nanterre. &quot;Les soins ont été très bien faits&quot;, se réjouit-elle. Elle a déjà prévu un nouveau rendez-vous dentaire dans ce centre.
Même problème dentaire pour Ajar réceptionniste en CDD dans un hôtel. &quot;Les dents, c’est vraiment un gouffre financier&quot;, explique cette femme d’origine syrienne couverte par la CMU, la couverture médicale universelle.
&quot;J’ai des gros soucis avec les dents de devant qui ont été cassées lors d’une chute&quot;, raconte Ajar. Pour l’instant, elle porte un appareil dentaire amovible, &quot;mais c’est très inconfortable&quot;, souligne-t-elle. &quot;Malheureusement, je n&#039;ai pas les moyens actuellement de mettre des implants. On m&#039;a remis un devis, il s’élève à 5000 €.&quot;
Josiane attend un rendez-vous au stand &quot;accès aux droits et aux soins&quot;, installé sous l&#039;une des tentes face à la grande Arche. Elle souhaite obtenir des informations sur une meilleure prise en charge santé depuis le décès accidentel de son mari. Cette femme au foyer qui se débat dans des difficultés financières importantes, explique renoncer à de nombreux soins pour elle et pour son fils de 19 ans. &quot;Je n’ai pas de complémentaire&quot;, explique-t-elle. &quot;J’ai mes lunettes à refaire, car ma vue a baissé, mais pour l’instant, je n’ai pas les moyens de me racheter une paire de lunettes progressives&quot;, déplore-t-elle. 
Elle souhaiterait être aidée parce que d&#039;après les renseignements qu&#039;elle a pu avoir, elle pourrait avoir accès à une meilleure prise en charge de ses soins médicaux. Pour l&#039;instant ce n&#039;est pas possible, ses revenus sont trop élevés, il dépasse de 50 euros le plafond. Josiane part rejoindre la conseillère CPAM dans l&#039;espoir d&#039;une solution.
Ce mercredi 18 septembre, la CPAM des Hauts-de-Seine a installé des barnums sur le parvis de la Grande Arche de la Défense. Entre 10 heures et 18 heures, elle propose à tous de suivre gratuitement des conférences : sur le dépistage des cancers, l’alimentation et la diététique, mais aussi sur les écrans et les addictions.
Des animations permanentes sont aussi proposées au public. Là aussi, les thèmes sont variés : conseil et accès aux droits et aux soins, aide financière, présentation de l’examen de santé gratuit et prise de rendez-vous.
Christian Collard, directeur général de l’Assurance maladie des Hauts-de-Seine connaît bien le problème du renoncement aux soins. &quot;Plus de 6 % des personnes en affection longue durée (ALD), n&#039;ont pas ou n&#039;arrivent pas à avoir de médecin traitant&quot;, observe-t-il. &quot;Alors que ce sont des personnes qui ont souvent des pathologies lourdes&quot;.
La CPAM a mis en place une action auprès des médecins pour leur demander d&#039;accepter de nouveaux patients. &quot;Grâce à cette action, on estime qu&#039;on a permis à 1500 patients en ALD d&#039;avoir un médecin traitant sur le 92&quot;.
&quot;C’est aussi la rareté de l’accès à la ressource médicale qui complique le bon suivi des assurés sociaux&quot;, reconnaît Christian Collard. La solution de la CPAM repose sur le principe du &quot;allez vers&quot;, c’est-à-dire contacter les assurés sociaux pour les informer de leurs droits et demander aux médecins de prendre de nouveaux patients.
La CPAM propose des rendez-vous dans leurs centres d’examen de santé. &quot;Dans ces centres, on ne soigne pas, mais on fait des bilans de santé&quot;, décrit-il. &quot;Les personnes sont ciblées et peuvent avoir accès à plusieurs examens : examen clinique, examen cardiologique, analyse sanguine…&quot;. Plus de 4000 rendez-vous par an ont été proposés par l&#039;antenne des Hauts-de-Seine.
 
 
 
 
 
 
Des animations étaient proposées tout au long de la journée.
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 © France 3 IDF / EB
 
 
 
En 2023, trois Franciliens sur dix déclarent avoir été obligés de renoncer ou de reporter, voire d&#039;annuler des soins ou des examens médicaux, note le baromètre des Franciliens de l&#039;Institut Paris région, publié en mars 2023. 
&quot;Dans un contexte durablement marqué par l’inflation et les tensions sur l’accessibilité des médecins, les raisons financières et le délai d’obtention d’un rendez-vous sont les motifs avancés&quot;, peut-on lire dans ce baromètre.
Les soins dentaires et ophtalmologiques arrivent largement en tête des soins pour lesquels des renoncements sont déclarés, suivis des consultations chez le généraliste et de celles chez le gynécologue pour les femmes.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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REPORTAGE. &quot;J&#039;ai cru que j&#039;allais devoir renoncer à me soigner, car c&#039;était vraiment trop cher&quot;, les Franciliens renoncent de plus en plus aux soins

 Blondet Eliot / Blondet Eliot/ABACA 
 
« Patrimoine incontournable de l’alimentation », « marché unique au monde »… Rungis, qui remplit les assiettes d’environ 18 millions de Français, jouit d’une image exceptionnelle. Et la Semmaris a visiblement décidé d’en tirer profit. Cette société d’économie mixte est chargée de la gestion et de l’aménagement de ce marché de gros né en 1962 et installé à cheval sur deux communes du Val-de-Marne, Rungis bien sûr mais aussi Chevilly-Larue. Après avoir déposé la marque Rungis en 2019 ainsi que de nombreuses déclinaisons (voir encadré), la Semmaris a, selon nos informations, lancé un appel d’offres qui s’est clos fin janvier. Son intitulé est limpide : « évaluation et valorisation financière de la marque Rungis ». Le gestionnaire explique dans le document que connaître la valeur de cette marque présenterait plusieurs atouts en termes de promotion des activités, d’évaluation d’éventuels préjudices, et de prise de « décisions stratégiques éclairées ». De manière plus détaillée, il est prévu la « détermination et justification du montant d’une licence de marque ou d’un contrat de partenariat », dans le cadre des activités liées au marché mais aussi dans les projets de développement. Ce montant lié à l’utilisation de la marque « Rungis marché international » serait « décliné selon le destinataire de la licence (grossiste/acheteur/partenaire notamment) ».
 

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