Savoir rester humble

@TheBee: Mec ... elle est brésilienne... Le pays ou ils s'implantent des ballons de volley ball dans les seins et les fesses dès 16 ans uniquement pour paraître.
Tu t'attendais à quoi d'autres?

@Globoso: g/cgw

@Globoso: Brésilienne ou pas c'est toute une génération élevé aux réseau sociaux qui rêve de son quart d'heure de gloire avec une photo à la con. Ce qui est assez triste, ça finira mal tout ça...

@SmartKer: je me disais autre chose. Je connais des brésiliens diplômés comme pas possible, avec une culture américaine ( je parle du continent. Ils s'inspirent du nord comme du sud ) et ils sont très gourmands sur la culture européenne. J'en connais plein à Montpellier et Lisbonne, Barcelone, c'est un vivier de latinos.
La plupart viennent de milieux trop modestes pour s'offrir le luxe d'une vie superficielle. Quand l'Union européenne te donne 4 ans pour tes études et pas une journée de plus sur le visa, t'es concentré sur le fait de rentrer chez toi avec des diplômes et des expériences inaccessibles de l'autre côté de l'Atlantique. La télé peut attendre.

@35mm: Si tu trouves un taff en sortie d'école tu peux rester en France.

@35mm: J'aurais plutôt dit l'inverse, si t'as un peu de thune et le moyen de se payer une éducation, et bien tu changes de mentalité.
Essayer de ressembler aux autres et d'avoir un peu de fame, c'est la seule chose que connaisse la classe populaire.

Et je ne connais pas un brésilien qui est venu étudier en France sans avoir de l'argent derrière (en plus des bourses).

Sinon, on voit bien la brésilienne essaye de tenter de pécho juste parce qu'il est important.

@Banditz: elle est juste fascinée. Comme n'importe quel gosse ou pétasse.
Pour les étudiants brésiliens, ceux que je connais sont loin être issus de famille aisée. Ils ont juste travaillé dur.
J'en connais un à Lisbonne qui vit légèrement comme un SDF mais il a pas lâché le morceau et il a eu son diplôme et la nationalité portugaise

@35mm: Fascinée? Le président se barre, elle revient et lui sort vous êtes qui tout en le matant.

Sinon, j'ai jamais dit que c'était la vie facile et que c'était l'équivalent de nos bourgeois. Ceux qui se barrent de leur pays, c'est justement des gros bosseurs qui n'ont pas envie de revenir, contrairement à la classe pop du Brésil qui ne pense absolument pas à ça.

@Banditz: je ne suis pas un expert en putologie, donc je vais te faire confiance.