Une histoire de gauchiasse
Alors que les droitardés, eux, ne se plaigne de rien.
Vous savez qui existe une troisième sorte de personne, une sorte de personne qui vous trouve, les droitardés comme les gauchiasse, complètement débiles et immatures.
on dit "vous savez qu'il existe" et pas "qui existe" putain d’illettré !
Cette troisième sorte on appelle ça des "gauchistes mentaux", ce ne sont pas des gauchistes mais ils résonnent pareillement.
Non, je ne suis pas illettré.
Juste pas motivé à soigner la syntaxe pour un sujet aussi con qu’infantilisant.
Gauche ou droite, c’est la même pièce : deux camps qui se détestent pour combler le même vide.
Tout le monde a un manque, mais quand tu le remplis avec de la haine, t’as déjà perdu.
Ces gens-là, c’est pas des militants, c’est des dégénérés.
Ils créent des ennemis pour pas voir leur propre néant.
Tu me confirmes exactement ce que je pense par ta réponse depuis tout à l'heure tu ne fais que pointer du doigt. De ton point de vue ne pas détester quelqu'un, ne pas l'insulter, ne pas cristalliser un débat, ne trouvez victoire que dans l'anéantissement total et complet de son opposant c'est de la fainéantise mentale très bien et pas dans ce cas je préfère être feignant que comme toi.
La réflexion n’a pas de parti.
Elle devrait rassembler les idées, pas les opposer.
La politique, à la base, c’est censé nous aider à réfléchir ensemble à des problèmes communs.
Mais beaucoup préfèrent se battre pour avoir raison plutôt que chercher à comprendre.
Ils confondent débat et duel, idée et camp, réflexion et ego.
Sans adversaire, ils s’effondrent, parce qu’ils n’existent que dans le conflit.
C’est pas de la pensée, c’est du bruit.
