Poésie
Liasses, passe ton AS, j'ai une quinte flush royal
La quinte juste, brush loyal.
Je rush dans la shite royale, j'esquinte les murs.
T'es mûr comme un murmure dans un chant deutsch
Je fais l'Histoire, fais tes devoirs sur du Laurent Deuscht.
La mise en jeu est fêtée en TT.
Yo les loups de christine boutin, Christiane imitant homer ira bien, le rat du christ signe avec des signes.
On lui passe l'insigne après l'avoir trempé dans de l'enduis et de l'huile
Il rentre chez lui à Rome trempé par l'averse, il se verse après quelques rimes du rhum.
Il faudra un album posthume, peut-être s'embaumer mais c'est far comme un pharaon en exhibition à Paris.
Six paris à Paris pour partir sans tirs.
Devant, deux vents, deux ventes éventées, pars devant.
Explications, le cas est que l'ex pli les vêtements de Tyrion, rions des bijûu possédant Dante.
Les vestes de l'aimante s'aimantent contre le vert qui lâche du lest.
Chantons à Clermont, passons à Leclerc prendre du Chatillon.
Il est clair que sa voix clair enchantent Claire tandis que les éclairs éclairent nos prières.
Commentaire supprimé.
Ouaah... Et ben c'est pas avec ça qu'on va réconcilier les gens avec la poésie, mon copain.
Alors oui mais non je me dois de rectifier : j'ai partiellement écrit ces vers mais on dirait qu'ils ont été accolés bizarrement et SURTOUT voici le poème que je voulais poster :
Je me vois m'envoler dans les airs
Plein d'airs chavirant mon esprit clair
Je me vois dans cette voiture ardente
pour savoir si tu me reviendras requérante
La voix raque, rose pâline, ce sont donc mes derniers souffles.
Si je savais encore qui j'étais je crierai avec ma petite voix le nom de ma mère.
Si je pouvais encore penser ou rêver, j'aurais une pensée délicate pour mon père ou mon frère.
Partons d'ici vers le voyage infini faits de rencontres non-désirées, de luttes fraternelles, d'insoumission face à l'horizon depuis une montagne escalier façonnés hier.
Attitude lassitude.
J'adule la solitude.
