La ville de Lyon s'engage dans une quête de souveraineté numérique en réduisant sa dépendance à Microsoft. Elle adopte des solutions libres, comme la suite collaborative Territoire Numérique Ouvert, et prévoit de remplacer progressivement les logiciels américains par des alternatives open source, renforçant ainsi sa souveraineté technologique.
Lyon vise une souveraineté numérique en réduisant sa dépendance à Microsoft.La ville adopte Linux et PostgreSQL pour ses systèmes et bases de données.Le secteur public doit maîtriser son risque de dépendance technologique.Lyon développe une suite collaborative libre, Territoire Numérique Ouvert (TNO).TNO inclut des outils open source pour la visioconférence et la bureautique.La suite est subventionnée à hauteur de 2 millions d'euros et hébergée localement.Lyon migre progressivement hors de Microsoft Office vers des logiciels libres.OnlyOffice est mentionné comme alternative à la suite Microsoft.Lyon entend renforcer la souveraineté technologique et prolonger la durée de vie des équipements.