C'est scandaleux, alors qu'on sait très bien qu'avec l'extrême-droite au pouvoir cela n'arriverait pas !
Merci pour l'explication, j'étais trop con pour lire l'article et comprendre le but de ton post.
Les bâtiments sont laissés à l'abandon, avec des problèmes de sécurité. c'est le batiment qu'a des problemes de sécurité ou c'est les habitants?
genre la culture et l'education.
tout le monde sait qu'un africain a la culture de la vente de drogue. et que les parents éduquent leurs enfants pour qu'ils finissent dealer.
mais sinon donc la securité c'est pas les batiments. meme si l'ascenseur tombe en panne ca c'est con :/
Non tu fais un homme de paille.
Mais par exemple la culture de la famille nucléaire, du père présent à la maison etc... ça joue pas mal sur le développement des enfants tu sais
Je sais pas, le fait que le risque de délinquance soit multiplie dans les familles monoparebtales te mets pas la puce à l'oreille ?
je suis issue d'une famille monoparentale et je peux t'assurer que ce n'est pas le fait que le pere soit absent qu'est le probleme. le probleme c'est que le pere soit violent qu'est le vrai probleme dans une famille.
Ton cas personnel n'est pas un argument face à une réalité statistique.
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/39130-Adolescence-issu-d-une-familles-biparentale-protegerait-delinquance?utm_source=perplexity#gsc.tab=0
Et même, le fait que le père soit violent ça vient aussi de la culture. Mais plus que la violence, c'est la présence du père ou non qui est déterminant.
ce qui protege de la deliquance c'est l'argent, l'amour, et l'évolution dans un environnement saint de l'individue.
ce qui amene a la delinquance c'est :
les parents qui maltraite leurs enfants.
le manque d'argent.
et plus tard les frequentations de l'enfants. fin.
ta culture et education, je sais pas ce que ca veut dire.
ce qui rend les enfants delinquant c'est la vie et le soleil. (la c'est de la paille.)
Fort heureusement, les politiques issue de bonne famille dans des environnements sains ne font pas de délit et ne sont pas délinquant ! Ni les patrons et autre ! Il n'y a d'ailleurs jamais de fraude fiscal dans le pays !
Au bout d'un moment faudrait comprendre que c'est les individues qui font de la merde et que l'environnement et créer par ceux qui font de la merde et non l'inverse.
Rapporté à son volume, le groupe le plus représenté dans le logement social est celui formé par les immigrés et descendants d’immigrés en provenance de l’Afrique sahélienne (Sénégal, Mauritanie, Mali, Niger…). 57 % d’entre eux sont locataires d’un logement HLM, et les descendants de la génération précédente le sont encore à 63 %31. Dans ce groupe, par ailleurs, plus de la moitié des majeurs habitent encore chez leurs parents. À l’intérieur de cet ensemble, ce sont les immigrés maliens et sénégalais qui sont les plus représentés. Le sous-groupe des Maliens, non compris les Français d’origine malienne, détient 98 000 cartes de séjour32. Il s’est constitué à partir d’une migration de jeunes adultes, d’abord logés en foyers de travailleurs migrants, pour l’essentiel en Île-de-France. Dans ce sous-groupe, les familles nombreuses sont la règle et la polygamie demeure à l’état résiduel. Le deuxième sous-groupe est celui des Sénégalais (96 000 cartes de séjour en circulation).
Le deuxième groupe représenté dans le logement social, en proportion de son volume, est celui des immigrés de l’Afrique guinéenne ou centrale (Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, République démocratique du Congo, Gabon…). 52 % d’entre eux en sont locataires. Les descendants de la génération précédente s’y trouvent encore à 47 %. Plus de la moitié des majeurs habitent chez leurs parents. Dans ce groupe, les Ivoiriens disposent de 91 000 cartes de séjour, les ressortissants de la République démocratique du Congo de 78 000 et les Camerounais de 66 000.
Le troisième groupe en proportion, mais de loin le plus important en volume, est celui des immigrés algériens. La moitié d’entre eux habitent en HLM et 44 % des descendants des immigrés de la génération précédente y vivent encore. Le quart des majeurs vivent toujours chez leurs parents lorsque ceux-ci sont descendants d’immigrés. Ce groupe doit être considéré de manière particulière car les Algériens représentent, depuis l’indépendance de leur pays, le premier volume de l’immigration en France. En 2020, ce groupe cumulait 611 000 titres de séjour. La diaspora algérienne en France compte entre 2,5 et 3 millions de ressortissants, disposant pour la plupart de la double nationalité.
Le quatrième groupe en proportion est celui constitué par les immigrés marocains et tunisiens. 44 % de ces immigrés vivent en HLM ; 38 % des enfants de la génération précédente y sont encore. 34% des majeurs vivent chez leurs parents lorsque ceux-ci sont descendants d’immigrés. Les Marocains représentent le deuxième volume d’immigration, après les Algériens. Il est impossible de distinguer dans ce groupe les Marocains des Tunisiens, mais ces derniers étant plus souvent commerçants, il est probable qu’ils sont moins souvent locataires en HLM33.
Ces proportions, s’agissant d’une population de plusieurs millions de personnes, issues pour une part d’une immigration ancienne, semblent témoigner d’une forte réticence à quitter le logement social. Plusieurs raisons pourraient expliquer ce phénomène : le refus de s’ancrer, par un achat, dans le pays d’accueil, l’opportunité économique offerte par le faible montant des loyers résiduels pour investir dans le pays d’origine ou le désir de demeurer regroupés en communautés dans de mêmes espaces de vie.
Une vraie plaie effectivement.
En Belgique ( de tous les peuples de la Gaule etc... ) , c'est un peu différent que chez vous, mais c'est aussi une putain de plaie purulente..