-Singularité-
Tout commence pourtant simplement
Une histoire de chocolat virtuelle et inattendue,
Parfois solide, chaud mais aussi maladroitement fondu.
Une glissade, une balade et un musée aussi singulier que notre premier message
Une timidité estompée, un film, une barrière effacée pour laisser place aux vitres embuées
Nous voilà parti pour une histoire à durée indéterminée
Les premiers câlins, les premiers "je t'aime" comme une évidence authentique
Une certitude flagrante, un sentiment incandescent et pourtant énigmatique
Une trouvaille mutuelle intense alors imprévue mais néanmoins attendue.
Nous voilà dans ce palais, royaume de notre complicité
Une alchimie évoluant au gré des promenades en ce lieu céleste
Accompagnés par notre dévotion culinaire irraisonnée
Ici demeurent les souvenirs intacts des sourires et regards partagés
Les rires aux éclats qui raisonnent encore par leur intensité
Nos pas rythmant notre danse charnelle passionnée
Ces attentions disséminées trahissant la tendresse assumée
Ici, se cristallise un amour profond, réel et épuré.
Cette singularité toujours présente, encrée dans les profondeurs mais relative à chacun
Il a suffi d'une plongée dans mes pensées aussi sombres qu'isolées afin d'obscurcir un avenir pourtant éclairé.
Déclenchant une descente infinie d'une violence ineffable,
Le corps et l'esprit meurtris d'une tragédie insondable
Le poids d'une culpabilité m'entrainant toujours autant.
Au plus profond de mon être, une image qui se reflète
Au fond, une vérité finie qui se refuse à moi-même.
La nécessité d'un pardon, restant impossible à m'accorder.
Une paralysie terrible une fois la nuit tombée, mais nécessaire
La tristesse laissant place au flot de remords et de haine m'envahissant,
Laissant apparaitre des songes sinistres mais libérateurs au demeurant
Et ces questions revenant encore et encore, une hantise permanente, à chaque instant.
Pourrais-je seulement me pardonner ?
Pourras-tu seulement me pardonner ?
Ce refus, qui jour après jour, toujours un peu plus, m'anéanti
Ce voile que tu avais pressenti, considérant cette demande illusoire
Une ultime chimère à tes yeux, une échappatoire
Me remémorant le son de cette singularité cachée en ta voix
Un souvenir auquel m'accrocher, une utopie en soi...
Patient, je resterai étranger, poursuivant la valse des masques, histoire de ma vie.
Errant vers l'avenir consumé par ce regret ardent
Ce même avenir déjà assombri d'une étincelle manifeste
L'espoir de ton bonheur accompli.
Comme un devoir de mémoire, je n'oublierai jamais.
Comme si l'oubli était une possibilité...
"Le plus bel amour est celui qui éveille l'âme et nous fait nous surpasser.
Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprits.
C'est ce que tu m'as apporté. Et c'est ce que j'espérais pouvoir t'apporter pour toujours."
J'espère sincèrement pouvoir te recroiser un jour et échanger un sourire laissant imaginer la vie que nous aurions pu construire ensemble, en mémoire de notre singularité.
Je t'aime à jamais.
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