Etude en psychologie
J'aimerai faire des études en psychologie, je sais pas encore dans quoi me spécialiser, je suis justement entrain de me documenter la dessus.
J’habite en Haute-Savoie, j'irais donc à l'université de Chambéry.
Le principal problème, c'est que j'ai pas trop les moyens financier pour faire des études et ma mère aimerait que j'aille droit au but, et donc ne pas changer de filière si je n'y arrive pas, mais aussi m'orienter la ou il y'a des débouchés.
Le problème est la, on me dit que psychologie y'a aucune débouché. Ma mère en a parlé avec une amie infirmière qui bosse dans un hôpital psychiatrique, et cette fille disait que les psychologues de l’hôpital étaient en CDD et que les contrats n'étaient jamais renouvelé...
On m'a aussi dit que les études c'était pas simple aussi, que d'année en année les élevés étaient sélectionnés et que donc il y'en avait de moins en moins.
Je me pose aussi des questions, qu'est-ce que je peux faire concrètement avec un diplôme de psychologue ? J'ai l'habitude de rêver, et j'aimerai ouvrir un cabinet. Mais je pense que cela ne sera pas possible si je réussis, donc qu'est-ce que je peux faire d'autre ?
Est-ce qu'il n'y'a vraiment aucune débouché ? Et est-ce que le diplôme est valable à l'international ?
Comme vous le voyez je ne suis pas très éclairé et je recherche justement des informations...
PS: Je suis actuellement en première ES.
Ah bon ça va en fait t'es en première ES t'as largement d'y réfléchir le temps, en lisant la box je pensais que t'étais déjà coincé dans une année de psycho.
@Polowan: Non, mais je veux pas trop me retrouver coincé dans une année de psycho, je veux partir direct dans le bon sens vu que ma mère sera seule pour payer mes études et qu'elle roule pas l'or
@Dasteagle: Tu pourras jamais être sûr que tu vas faire les bonnes études tant que tu as pas commencé les dites études.
Je t'arrête tout de suite concernant la difficulté des études. C'est pas ultra simple mais si t'es pas trop con et que tu t'y intéresses un minium, tu t'en sortira très bien.
Le fait qu'il y ait de moins en moins d'élèves chaque années c'est à cause des trous du cul comme moi qui arrêtent en cours de route parce que... Parce que rien en fait, ça m'a gonflé (ouais ouais je sais... no judgment please...).
@MrPersonne: Bah généralement si je fais quelque chose de moi même c'est que ça m'intéresse, et en général beaucoup de chose m'intéresse, suffit juste que ça ai du sens pour moi. Donc je pense que la psycho je serais bien intéressé et que ça va me donner envie de bosser.
Après j'espère juste que ça va pas me gonfler comme toi, car j'ai vite tendance à baisser les bras.
EDIT: Par exemple je suis intéressé par la musique, la médecine, l'informatique, l'économie, la politique déjà ça c'est un tas de truc que j'aimerai étudier.
@Dasteagle: J'ai tenu 3 mois moi en philo/psycho c'est vraiment hyper intéressant (sur la fin j'allais plus en cours que pour ça alors que ma fillière principale c'était philo) mais le problème ouais c'est les débouchés c'est vraiment compliqué je trouve de se créer un projet professionnel en psycho surtout que tant que t'es pas dedans tu peux pas savoir quel spé tu préfères et suivant la spé les horizons varient beaucoup même si au final on fait pas grand chose avec un diplome de psycho.
J'te conseille quand même d'essayer de trouver des étudiants de licence (évite les premières années) ou master psycho pour leur poser ces questions.
@Klhunt: La question est plutôt: pourquoi j'ai commencé ?
Non en fait j'étais parti là bas parce qu'après mon bac je savais absolument pas quoi faire et la philo me passionnait beaucoup sauf que la philo c'est intéressant mais pas son apprentissage. Et vu où j'en suis maintenant je dirai que contrairement à ce que j'ai toujours cru je suis pas fait pour les études.
@Amumu: j'hésite a faire philo l'année pro mais si t'aime pas les études alors t'es pas forcément la meilleur personne a consulté , merci
@Dasteagle: Poses-toi sur la question de savoir si tu te sens de faire minimum 3 ans, peut-être 5 et certainement plus que ça puisque l'idée c'est d'en faire un métier.
J'ai à aucun moment trouvé ça inintéressant, j'ai même passé ma première année et le premier semestre de la deuxième les doigts dans le nez (j'ai arrêté au début du second semestre). C'est juste qu'il faut vraiment être sur de vouloir en faire son projet d'avenir et pour ma part, je me suis rendu compte que non.
Je dis pas ça pour te décourager, loin de là ! Seulement si t'as pas trop le droit à l'erreur, sois sur de toi et n'y va pas yolo comme moi!
Et pour en revenir brièvement sur la difficulté, je viens à la base avec un bac pro électrotechnique donc quand on veut, on peut (même si j'ai, au début, beaucoup galéré avec la méthode de travail de la fac).
(putain j'ai jamais autant raconté ma vie sur Choualbox !)
@Klhunt: Ouais j'suis un peu trop parti en couilles mais en tout cas ce que je peux te dire c'est que pour al philo c'est très difficile de se rendre compte à l'avance de ce que c'est, et ça dépend énormément des profs que tu vas avoir parce que chacun pose son programme sur différents auteurs et différents thèmes j'avais un prof qui nous faisait bosser sur Descartes et Pascal en rapport aux sciences (ce prof était aussi prof de maths) qui était très intéressant et une autre qui l'était beaucoup moins parce qu'elle nous faisait bosser sur un allemand dont j'ai même oublié le nom et qui parlait plutôt d'art.
Après ouais j'peux pas te dire grand chose de plus parce qu'à l'époque je parlais à personne et puis les spécimens que je croisais en cours m'inspiraient peu la sociabilité donc j'avais aucun recul sur ce que je faisais parce que je savais pas ce que les autres en pensait ou ce que les autres qui avaient choisi un autre parcours faisaient mais je pense que la philo je m'y remettrais tôt ou tard par moi même.
"Je me pose aussi des questions, qu'est-ce que je peux faire concrètement avec un diplôme de psychologue ? "
Je comprend pas comment on peut choisir ses études sans savoir sur quoi ça débouche concrètement. C'est pas plus logique (et simple) de choisir ses études par rapport à un métier qui nous intéresse?
@Saaam: Bah justement la psycho ça m'intéresse, la réflexion sur l'homme et ses actions. Pourquoi il à fait ça, pourquoi à t'il peur d'une certaine chose et comment peut on l'aider à ne plus en avoir peur, comment l'aider à aller mieux. Tout ça m’intéresse
Je sors de ma première année et je ne suis pas déçu. Après là moi je préfère aller travailler car j'ai pas la patience d'aller jusqu'au Master pour ensuite commencer à être tranquille. (Oui parce que si tu ne comptes pas aller au moins jusqu'au Master, ne fait pas de Licence, qu'importe le domaine).
Les cours sont super intéressants, c'est loin d'être compliqué si tu t'en donnes les moyens, que tu t'intéresses et que tu approfondis ce que tu vois dans les amphis chez toi.
Au niveau des débouchés, si tu as de bonnes notes, donc un super dossier, tu ira où tu voudra ensuite. Moi j'étais parti avec le projet d'avoir mon cabinet ensuite. Avec l'augmentation de demeurés que la nature engrangent chaque année, la crise n'est pas chez les psys je pense.
Enfin voilà j'ai lâché. Pas parce que je n'y arrivais pas mais parce que je préfère travailler et monter mon truc et être tranquille le plus vite possible. Après peut être que je reprendrai à distance si j'ai du temps.
Mais t'es en première, t'as 100 fois le temps de te préparer à tout ça.
Généralement, ta première année en supp' tu la rates.
Soit parce que tu te rends compte que tu t'es mal orienté, mais aussi parce que tu trempes pour la première fois tes lèvres dans la grosse débauche (la grosse j'entend, pas tes soirées dans les salle des fêtes) et aussi parce que tu n'es plus encadré. Après certains y arrivent, je ne fais pas de généralité.
Concentre toi sur tes exams et le BAC pour commencer, si tu sors du Lycée avec un bon dossier et une bonne mention, tu aura plus de portes ouvertes déjà.
@Grumpy: Tu travaille dans quoi maintenant ?
Après au niveau des notes sur tout mes bulletins c'est marqué "A des facilités mais ne les exploites pas" normal les matières du lycée ne m'intéresse pas. La seule pour laquelle j'éprouve de l'intérêt c'est les sciences éco et la sociologie, l'histoire et l'anglais... En ce moment je bosse, et étant une vrais merde en Français et en ayant bossé j'ai eu 12 à mon écrit blanc de français et 14 à mon oral blanc, donc ça m'a bien motivé pour bosser la. Faut que je tiennes cet engagement. Mon prof d'éco me dit que je suis super bon en dissertation et que c'est encourageant pour la terminal et la fac.
Après le bac je sais pas trop comment ça va se passer...
@Dasteagle: Là je suis retourné dans la restauration, j'espère me trouver un magasin de prêt à porter et y être vendeur (J'ai déjà essayé et ça m'a plu) pendant quelques années, passer responsable et puis avoir ma franchise à moi, et si tout va bien en avoir d'autre.
Ce sera plus facile que d'aller jusqu'au Master.
@Devilyos: Suffit de mettre son honneur de côté et de faire le requin, je vais essayer !
@Grumpy: "Suffit de mettre son honneur de côté et de faire le requin"
Tu me plais. #nohomo
@Devilyos: J'ai toujours été attiré par les expressions des gens et les regarder dans des situations, avec les cours de psycho en plus, je m'en sortirai à ce niveau là j'espère.
@Devilyos: Non car je m'en moque. Je veux juste essayer de sortir mon épingle du jeu, qu'importe les moyens. Si je me plante, j'aurais essayé.
déjà t'aura une petite approche en terminal avec la philosophie , je pense pas que tu puisses éviter le passe avec Freud et sa théorie de l’inconscient
Bon pour faire simple : 70% d'échec en première année, milieu professionnel hyper saturé, niveau des fac et courants très hétérogènes qui se fight sans cesse, reconversion compliquée en dehors de la sociologie.
Après il y a du bon, la diversité des courants est un bonheur si tu te trouve dans une fac qui galère pas trop et qui propose un panel large d'enseignements, si tu es curieux de la nature de l'homme et éclectique, ça peut te plaire. Au fil des années on se spécialise dans un courant (sociale, cognitivisme, pathologie) et une méthode (scientifique, analytique, comportementale), et une voie (recherche, pro), et donc on fait vraiment ce qu'on aime. Mais faut avoir des bons profs, un bon encadrant de stage, car c'est de plus en plus pratique et personnalisé donc si tu es encadré par des mauvais, tu peux dire adieu à ton année.
Si tu étais dans une démarche dilatante, je te dirais de foncer, mais si tu cherches à t’insérer rapidement, c'est clairement pas la voie à prendre si tu n'as pas un réseau en béton. Même pour les stages tu peux en chier ta race. Je ne suis même pas sûr que les licences pro de psychologie soient à conseiller pour ça.
@Redeamer: Bah après faut que je vois avec ma mère les capacités financières qu'elle a et voir si mon père voudrait payer un peu.
Faire bac +5 moi ca me pose pas de soucis si j'aime ce que je fais, si c'est un truc que j'aime pas ouai ca me fait chier. Et le problème c'est que ma mère veut que j'étudie dans des trucs qui me plaisent pas et ou je peux faire des etudes en alternance avec du travail dans mon domaine d'étude.
Les stages en psycho y'en a beaucoup ? A partir de qu'elle année ? Et c'est combien de stage par an ?
@Dasteagle: Il y a de fortes chances que quand tu y arrives, il y en ait un par an à partir de la L3 (stage d'observation). Faut cumuler 500h de stages minimum sur le master pour avoir le titre de psychologue, avec un encadrant psy en activité depuis au moins 2 ou 3 ans. Mais c'est surtout un problème de gratification. C'est tellement saturé que les étudiants en psycho réclament de ne pas être payés pour les stages ! La gratification étant obligatoire maintenant sous des conditions auxquelles ne peuvent pas échapper les étudiants en master, les hôpitaux par exemple ont tendance à ne plus en prendre. Les entreprises sont frileuses également. Et faut penser également aux limites de places dans les masters et aux sélections à leur entrée.
Après n’oublies pas qu'il existe des bourses et des jobs étudiants. Faut pas que la thune soit le premier facteur. Certains arrivent à cumuler un temps plein et les études, sans même être en formation continue... Bon je te souhaite pas ça.
@Redeamer: C'est tellement saturé qu'au final ça me flipper de pas trouver des stages, ou même qu'une fois mes études terminées je trouve pas de job...
Pour ma mère l'argent est le premier facteur en fait... Elle veut pas que j'aille à la fac car elle à peur qu'elle puisse pas payer ou que ça coûte simplement trop chère (logement, plus la bouffe, plus l'inscription à la fac...) et je sais pas trop quoi faire comme métier, j'ai encore le temps de réfléchir mais bon c'est pas infini
@Dasteagle: Je vais pas te mentir, cj'ai pas mal de connaissance qui galèrent pour trouver untruc et qui refont des masters et autres DU pour se spécialiser ou se reconvertir, mais en général, tous ceux qui sortent psychologues sont contents du regard qu'ils ont appris à avoir. Donc si en lisant un peu tu trouves que c'est vraiment un truc qui te plait, dis toi qu'il y a moyen d'avoir des bourses, des apl, et que la majorité des étudiants s'en sortent, même sans soutient financier familial.
@Redeamer: Ouai mais très franchement si je fais des études dans quelque chose c'est pour trouver un boulot dans le domaine d'étude, je veux pas faire des études de psycho, être super heureux car je peux exercé le métier de psychologue mais au final faire un autre master car je trouve pas de boulot...
Après les bourses ça peut suffire à payer une partie d'un loyer, de la bouffe et l'inscription ?
@Dasteagle: Ca dépend quel échelon tu es (ne fais pas de simulation sur internet par contre, j'avais test, il me disais que j'allais touché 440par mois, au final j'en ai 168~), avec 600balles par mois (apl et crous compris) tu vis convenablement.
L’inscription est prise en charge par le crous pour tout étudiant boursier je crois, donc t'as pas à t'en faire.
Si t'es boursier, même échelon zero, le crous paye l’inscription à la fax, c'est que dalle les études en france si tu vas pas en privée.
@Kryo: Chacun son point de vu, c'est intéressant à savoir que tu ai trouvé ça chiant.
Tu as juste fais la première année ?
Pour toutes les études je dirais que ou que tu ailles plus le temps passe, plus ça sera sélectif.
Je peux pas dire pour le boulot, mais on annonce clairement en fac que tout le monde n'aura pas accès au master ou même une place en psycho clinique.
Pour l'histoire du cabinet tire une croix dessus pour l'instant. Surtout si t'as pas d'argent.
Et enfin si tu veux vraiment trouver de l'emploi, je dis peut être des conneries, go électricien/plombier.
Commence déjà par lire Freud, voir si le principe te plait ou pas.
@Cthulhu: On m'a conseillé ce livre que j'ai commencé à lire e tqui est (je trouve) intéressant :http://www.amazon.fr/gp/product/2212538812?psc=1&redirect=true&ref_=oh_aui_detailpage_o00_s00
Sinon c'est vrais que se lancer dans des études et se demander si on va avoir accès au master ça fait assez flipper...
Ca dépend un peu où tu veux aller, c'est clair qu'en hopital on prend plus vite des psychiatres que des psychologues.
Déjà, une petite clarification. Le psychiatre est un médecin spécialisé, pas le psychologue. Il a donc suivi des études de médecine. Il est également habilité à prescrire des médicaments. Ce n'est pas le cas du psychologue.
@THX_1138: Oui ca je sais, mais j'ai pas le niveau pour médecine, ca réduit le problème.
J'suis en Master 2 clinique. Des débouchés il y en a, ça passe juste pas mal soit par du bouche à oreille, soit il faut vraiment être prêt à être assez flexible d'un point de vue géographique (genre pas hésiter à aller au fin fond de la cambrousse). Sinon c'est vrai qu'il y a pas mal de CDD à l'hôpital, le but c'est d'être titularisé assez vite pour sécuriser son poste. Le diplôme n'est pas valable à l'international, faut que tu passes des équivalences pour ça. Ouvrir un cabinet en début de carrière c'est pas forcément une idée géniale, faut commencer par se faire un réseau professionnel et une "clientèle", bref se faire un nom quoi, sinon tu prends un risque. Avec un diplôme de psycho tu peux faire psychologue en gros (logique), après tout dépend de ta spécialité : clinique, neuropsy, travail (rh, ergo, risques psychosocio etc.), développement, géronto... Sinon je crois que Chambery est une fac très élitiste.
Si t'as d'autres questions.
@dreamgiver: D'accord, c'est bon à savoir tout ça.
Tu peux juste me présenter vite fait les différentes spé ? Parce que sur internet c'est pas très clair...
Pour Chambéry je sais pas si c'est élitiste, mais en tout cas c'est mon université de secteur, ça m'évite d'allez n'importe ou pour une fac.
@Dasteagle: Pour te faire un gros résumé : Clinique c'est assez large, tu peux travailler un peu partout (hôpital psy, maison d'arrêt, clinique psychiatrique, cmp, esat... etc. aussi bien avec des adultes, ado, enfants, personnes âgées..), tu fais des suivis individuels, de la psychopatho (compréhension des troubles), bilans etc.
Développement c'est pour bosser avec enfants et ados.
Géronto avec les personnes âgées.
Travail pour bosser en entreprise, genre recrutement, consulting, risques psychosociaux etc. (harcèlement au travail par exemple)
Neuropsy c'est le cerveau, la mémoire, lésions cérébrales tout ça.
Sinon t'as aussi la recherche, si t'es passionnée par ça !
Autrement j'te conseille de lire les brochures des différents masters de ta future fac pour te faire une idée plus précise.
@dreamgiver: Neuropsy et clinique ça me parait bien. Clinique comme je suis un peu "touche à tout" je me vois bien la dedans.
La recherche j'aime bien, mais y'a quoi à chercher dans ce domaine, et comment ça s'organise ?
@Dasteagle: De la recherche tu peux en avoir dans tous les domaines que je t'ai cité. Ça peut très bien être des articles sur des techniques de soins en clinique, ou la fiabilité d'un test, que des recherches sur le fonctionnement de la mémoire (les sciences cognitives de manière plus générale), enfin c'est très très large quoi.
effectivement, les etudes de psycho c'est de "etudes passion" ou des "études jesaispasquoifairedemavie".
C'est comme faire une fac d'histoire, ca doit être super intéressant mais derrière ya très peu de débouché.
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