IGPN, un an après l'episode Burger King

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Steamer
Steamer
4 ans

L'organisme le moins crédible et le moins fiable de toute l'administration française. Et pourtant y'a de la concurrence putain.

Fargus
Fargus
4 ans

T'aurais un screen de l'article complet stp ?

anonyme
anonyme
4 ans

@Fargus: En jouant avec F12, j'ai supprimé les deux paywall et footer, j'arrive à ça :
Les scènes remontent soudainement par vagues, mémoire écrasée par le trop-plein hebdomadaire d’images violentes. On revoit ces CRS caparaçonnés tabassant plusieurs personnes au sol, dans le huis clos d’un restaurant Burger King devenu souricière, avenue de Wagram, à Paris (17e). C’était le 1er décembre 2018, l’acte III des « gilets jaunes ». Sidérée par l’aspect quasi insurrectionnel des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre et la dégradation de l’Arc de triomphe, la France prêtait alors peu attention aux violences policières.

Les investigations menées de manière ambivalente
Un an après la captation de cette scène par diverses caméras de journalistes amateurs et professionnels, l’enquête préliminaire confiée à la branche parisienne de l’inspection générale de la police nationale (IGPN) est achevée. Une information judiciaire a été ouverte en mai 2019 et confiée à un juge d’instruction. Le dossier, dont Le Monde a pris connaissance, témoigne de la façon ambivalente dont ont été menées les premières investigations de la police des polices.

D’un côté, les enquêteurs ont établi avec une grande précision la violence des faits, dont le déroulé fait apparaître un emploi de la force par les CRS qualifié à plusieurs reprises d’« injustifié ». Les coups y sont détaillés pour chaque manifestant, notamment grâce à la vidéosurveillance du restaurant, un document jusque-là inédit. La grande pression à laquelle ont été soumises les forces de l’ordre ce jour-là est également parfaitement documentée, à l’aide de rapports confidentiels dont Le Monde dévoile le contenu.

Sur les 14 fonctionnaires qui ont pénétré dans le fast-food, seul le capitaine a été interrogé.

De l’autre, les agents de l’IGPN ont échoué pour le moment à identifier la quasi-totalité des CRS impliqués, ainsi qu’une bonne partie des victimes. L’impossibilité de désigner les auteurs des violences semble davantage due au manque d’empressement des enquêteurs qu’à la confusion des événements : un an après les faits, sur les 14 fonctionnaires qui ont pénétré dans le fast-food, seul le capitaine a été interrogé. La justice dispose pourtant de la liste nominative des 13 autres policiers, tous membres de la 1re section de la 43e compagnie républicaine de sécurité de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).

Les deux officiers entendus – le capitaine présent et un commandant divisionnaire resté à l’extérieur du restaurant – assurent qu’ils sont dans l’incapacité de différencier leurs propres hommes sous l’uniforme. Tout comme le commissaire de police censé encadrer ce jour-là la CRS 43. Sur les images de vidéosurveillance, on distingue pourtant plusieurs fonctionnaires avec la visière relevée, et d’autres détails, comme des armements et des dossards distinctifs.

Fargus
Fargus
4 ans

@Art60: Merci ! (Là j'suis sur téléphone mais je note l'astuce)
En fait, i faudrait qu'les manifestants s'équipent de cosplay de CRS pour éviter les coups, gardes à vue, etc...

Sparthenos

@Fargus: Pour ne pas se faire arrêter il faut se déguiser en black block, puisque on sait que c'est tous des flics infiltrés.

GIF
GIF
Fargus
Fargus
4 ans

@Sparthenos: Astucieux !

Shird
Shird
4 ans

@Art60: tu pourrais expliquer le petit stratagème pour hacker Le Monde tel un pirate russe stp ? ça fait longtemps que j'ai pas mis mon nez dans du code :/

anonyme
anonyme
4 ans

@Shird: alors, je n'appelle pas ça du code, en fin pas au sens programmation. Ce que tu vois à l'écran n'est qu'une superposition de couches.
S'il y en a une pour t'empêcher de voir ce qu'il y a dessous, tu la supprimes et basta.
Pour ça, chrome (et tous les autres navigateurs, je pense) dispose d'un outil qui permet de voir et d'intéragir surtout avec le contenu de la page.
J'ai pas fait d'études spécifiques et c'est franchement pas sorcier. Je dis pas que ça marche à tous les coups, surtout lorsque le serveur n'envoie pas toutes les infos, tu risques pas de les faire apparaître par magie.
L'outil qui te permet de voir et modifier la page que tu vois est disponible par simple appui de la touche F12.
ça divise ta fenêtre de navigateur en deux. A gauche : ta page, à droite il y a la console.
En haut à gauche de cette console il y a un flèche pointant dans un carré qui permet de sélectionner un élément de la page sans avoir à le rechercher. Tu cliques sur cet icône puis tu cliques sur l'élément qui t'embête à gauche, par exemple le dégradé qui te dit que la suite est réservée aux abonnés.
ça met en valeur à droite le "code" qui y correspond. C'est là que j'appuie sur la touche Suppr du clavier et ça le supprime de la page en cours.
Dans le cas précis de la page du Monde, cela a eu pour effet de remonter le pied de page qui me masquait toujours le texte intéressant.
Rebelote, je clique sur l'icône de sélection puis sur le bandeau bleu qui me gêne et puis Suppr.
Dix de Der : je n'ai plus qu'à fermer la console grâce à la croix en haut à droite et je récupère une page lisible.
Je ne sais pas où tu peux avoir de plus amples infos sur cette console, peut être là :
https://www.supinfo.com/articles/single/2161-console-google-chrome

Fargus
Fargus
4 ans

@Art60: Bah en tout cas merci !

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