Poésie du soir

Nous pourrions rêver notre vie.
Pourriez-vous jouer dans des forts ?
Sous l'olivier ou le poirier espérant avec votre mie.
D'où le tenancier pleurer qui nous endort.

Apprendre ou prétendre, espérer ou casser.
Tout cela n'a d'importance pour l'errance.
Mériter ou bien espérer, rendre ou prétendre.
Mais la voix n'entrevoit que le chemin mince et rance qui pousse à la fulgurance.

Rebrousse chemin et laisse sur le pouce ceux qui délaissent et fuient la vie.
Berce ceux qui prient à l'envie et se laissent porter par la mousse et glousse jusqu'à l'avoir dit.

J'irai chanter n'importe quoi, zina reviens-moi !
J'accrocherai une photo de toi, zina pardonne-moi !
Je laisserai nos rêves me hanter, zina explique-moi !
Je graverai ton nom aux sommets, zina ne pleure pas pour moi !

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anonyme
anonyme
4 mois

Ho comme c'est joli. Ça m'évoque des images tragiques, comme un portier de nuit. Mais c'est sûrement parce que zina ça fait nazi.

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