Gang bang au collège Saint-Michel à Bruxelles
"La jeune fille aurait également tenté de rejoindre un autre élève non-consentant dans son lit mais aurait été arrêtée par des élèves."
"un autre élève non-consentant"
"UN AUTRE ELEVE, NON-CONSENTANT"
ha bah ouais merde, on a pas envisagé cette possibilité, dans nos têtes les folles du cul sont forcément bonnes, la faute au porno
Pourtant c'est avec les moches que ça baise le mieux. À chaque fois qu'elles chopent un mec elles se déchaînent comme si c'était le dernier !
Un élève gay n'est pas forcément consentant avec l'idée de coucher avec une femme hein .
C'est quoi ce délire, pourquoi les garçons sont exclus et pas la fille ? ils l'ont pas violé, elle le voulait, c'était des personnes consentantes. Ils connaissent le principe d'égalité des sexes les belges ou pas ?
Soit tout ce petit monde est exclu soit aucun n'est exclu.
Bah la fille n'a pas été renvoyée contrairement aux 5 garçons, alors qu'elle a autant participé qu'eux.
"Les jeunes gens, qui étaient censés profiter de l'excursion au monastère afin de faire le point sur leurs valeurs et leur foi..."
Ah bah j'aimerai bien faire souvent le point aussi...
bah vu qu'elle a que 16 ans, c'est vrai qu'on peut dire qu'elle est dérangée et fragilisée, y'a forcément un truc qui va pas.
Ben aimer le cul au point de se taper tout les mecs de son collège, 5 par 5, à 16 ans, dans les salles de bain et à l’infirmerie ça ne me semble pas incompatible avec la nymphomanie. En revanche ça me semble un peu plus "qu'aimer le cul", la vrai vie c'est pas un porno cheap ou un bar à putes thaïlandais.
Et pour le côté fragilisé c'est le directeur qui parle en connaissance de cause, indépendamment des faits puisque manifestement contrairement à nous il connait son histoire.
D'ailleurs vous seriez très surpris de connaitre la proportion de filles qui ont été victimes d'abus dans le milieux du X ou chez les filles comme ça qui se construisent un sexualité extrêmement débridée. C'est triste et les amateurs de porno/prostitution ont pas envie de le reconnaître mais c'est une réalité.
