En 1961, le département de la Santé de New York décrète en effet qu'il est désormais "illégal pour quiconque de tatouer un être humain". Une interdiction justifiée par la prolifération de l'hépatite, qui contraint alors les artistes-tatoueurs de l'époque à piquer à l'ombre des regards, conférant au tatouage un caractère plus que jamais marginal.
