Adressé à booba en 97 : "Le hip-hop est plein de gangsters en toc, qui vivent dans des pavillons, nous prennent pour des couillons, parlent de crimes mais ne tuent que des papillons, parlent de la rue mais ne connaissent que ses stations de métro."
Déjà le morceau n'est pas adressé uniquement que à Booba mais surtout prends la bonne phrase.
"Des MCs, qui s'font la guerre sur des maxis
Parlent d'avoir du cash, n'ont pas assez pour prendre un taxi"
sa réponse :
"Je suis tombé si bas, que pour en parler faudrait que je me fasse mal au dos
Putain quelle rime de bâtard !"
