NSFWLes filles en talons le soir.
Les filles en talons
A moitié ivre, une bouteille de bière à la main, je sors.
Il est minuit. l’heure du crime comme on dit. J’ai faim.
Je porte un grand manteau et une veste à capuche. Je suis l’inconnu. Je rumine et chantonne tout seul au rythme de mes pas. Une salope en talons qui claquent casse complètement ma musique. Je la hais. Ces petites putes me dérangent encore. J’aperçois sa silhouette, genre 25 ans, gamine coquette, un manteau en velours qu’elle remonte autour de son cou, petite jupe et collants. Elle semble pressée ou bien elle a peur. Normal vu l’heure, il doit lui tarder de rentrer chez elle après une soirée bien arrosée avec ses meilleurs amis. Je vois très bien le tableau. Madame et ses amies réunis dans un appart d’étudiant payé par papa maman, autour d’une table basse pleine de bouteilles de Malibu, Soho et autres merdes imbuvables, à s’enivrer en montant le son de la chaine, avec au programme les meilleurs tubes des années 80 ou les génériques de dessins animés de son enfance. Ambiance délire. La fête.
Je m’imagine y débarquer en défonçant la porte. Les éventrer puis les vider de tout leur sang, des litres et des litres, et m’y vautrer à poil en me pliant de rire. Avez vous connu la sensation que l’ont a en pénétrant les entrailles encore chaude avec les mains?... un vagin géant et généreux.
Je décide de la suivre. Pour rire. Elle n’est qu’a une vingtaine de mètres et ne semble pas m’avoir vu. Je presse le pas. Au bout d’une minute elle accélère, ses talons raisonnent dans la nuit. Elle m’a surement entendu. J’accélère aussi. Elle tient toujours son col d’une main et resserre un peu plus son sac à main contre elle. Pauvre idiote, je pense, je n’ai que faire de ton fric et ton attirail de pétasse.
Cette fois elle se sent vraiment suivie, je jubile, ce bon vieux frisson d’excitation me prend aux tripes. Mes poils se hérissent. Je suis le prédateur et elle la proie, une nouvelle fois. Je ne sais pas encore quelle tactique adopter. Elle bifurque à droite, sans doute pour rejoindre l’avenue principale, plus éclairée et fréquentée. Si je veux me la faire je dois frapper avant. L’instinct animal prend le dessus, je ne contrôle plus rien :
«?mademoiselle, vous avez fait tomber ça...?», elle marque un temps d’arrêt, hésite puis se tourne enfin vers moi. Elle voit un grand type, souriant lui tendre une main rassurante. J’arrive presque à la toucher. A son niveau elle aperçoit enfin ma main vide, il est trop tard et elle le sait. Je le vois dans ses yeux de petit animal apeuré. La suite va très vite, le geste est puissant et précis. Je l’empêche de hurler et serrant fort son cou, elle ouvre la bouche pour respirer. De l’autre main j’enfourne ma bouteille de bière dans sa gorge, au maximum, avant de saisir son visage et de le fracasser contre le mur le plus proche. Le verre éclate et se brise en milles morceaux qui déchirent sa mâchoire. Bouillie de sang, de langue et de chair à vif. Elle ne peut pas gueuler, ça ressemble plutôt à un gargouillis répugnant. Elle tombe sur les genoux en crachant ses restes et une partie de ses dents. Je recule un peu pour éviter les éclaboussures. Je m’extasie quelques minutes en essayant de calmer mon rythme cardiaque, c’est pas le moment de faire une crise, en plus j’ai oublié mes cachets à la maison. Ca m’arrive fréquemment, l’euphorie me gagne, le cœur s’emballe et je suis victime de vertiges. Pas bon.
Je m’appuis un moment contre le façade, ça va mieux. La rue et déserte. Mieux vaut déguerpir rapidement car la pute aura bientôt crachée tous les morceaux et pourra appeler à l’aide.
Impossible de l’emporter avec moi, je suis un peu déçu de pas gouter à sa chaire. Dans un ultime sursaut, je sors ma lame aiguisée et empoigne une dernière fois son visage ensanglanté pour découper une partie de sa joue que je fourre aussitôt dans ma poche. Il est temps de fuir, mais calmement, je pourrais croiser un futur témoin.
Il commence à pleuvoir, les pavés brillent à la lumière des réverbères. Je chantonne doucement, dans le silence et les cliquetis de la pluie. Je me surprend à sourire : Encore une qui ne pourra plus faire de karaokés entre amis et ne fera plus claquer ses talons dans la même rue que moi.
Bonne nuit ma poule.
c'est mon passage préféré quand il lui explose la gueule dans le mur avec la bouteille !! j'adore cette série c'est quand la suite ? je l'attend avec impatience !!
edit : Ha non ok tu pompe tout d'un site on ne peut même âs être sur que c'est de toi !
Sans doute car le g/lettres serait plus adapté. Pourrir le coolstory de nouvelles c'est pas vraiment le concept initial
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