Ce midi pendant que je faisais caca, j'ai été faire un petit tour sur CB et j'ai vu passer cette box: http://choualbox.com/xeA1R

Je me suis dit que ça pourrait être sympa de vous raconter un peu le parcours que nous avons eu avec la mère de: insert ici le nom du choual de ton choix sauf OP ,pendant cette période, de la prise de contact au défonçage de fion, ou plus précisément sur ce que nous avons vécu lorsqu'on a fait le choix d'une Sodomie SANS LUBRIFIANT.

Quand je dis on, à la base c'est surtout moi qui étais motivé par cette décision, à la fois par crainte d'avoir plein de gel qui coule sur mes couilles (les témoignages que j'ai pu avoir de son entourage et ceux que j'ai pu glaner ça et là ne m'ont pas du tout donné envie), des conséquences et, surtout, par le désir de vivre à fond le défonçage de sa rondelle de mamie.

Quand je lui en ai parlé, elle n'était évidemment pas d'accord pour qu'on suive cette voie, comme je lui avais dit à l'époque, dans l'histoire, c'est moi qui vais fournir le plus gros du travail (c'est pas entièrement vrai) alors ferme ta gueule. Donc au final, je lui ai imposer . C'est son corps, ses capacités, ses limites et finalement, qu'importe son désir, je l'aurais enculé à sec de façon soutenue quelque soit son choix.

On a eu la chance d'avoir du côté de sa famille une personne qui a beaucoup étudié le sujet, qui a participé à beaucoup d'ateliers liés au fisting à sec parce qu'elle même a souhaité se faire enculé sans cheat code. Elle a été d'une source d'apprentissage incroyable, non seulement sur les mécanismes du corps de la femme pour atténuer la douleur et favoriser les contractions (coucou spasme du rectum) mais aussi sur la préparation psychologique ET physique pour accueillir au mieux les différentes phases de la pénétration anal (dilatation, transition, expulsion, délivrance) et enfin, sur le rôle du partenaire. Il ne faut surtout pas négliger l'importance d'être bien accompagner pour les événements à venir.

Évidemment, on a aussi rencontré des difficultés. Pas tant qu'on a douté. Mais parce que dans notre environnement familial, de son côté, l'idée d'une sodomie à sec a été à la limite moquée. Des femmes qui ont eu du lubrifiant par choix, et qui trouvent ça génial. Des femmes qui n'ont pas pu l'avoir, le travail étant trop avancé et qui ont dû se faire enculé sans la gel et... sans jamais avoir été préparée à cette situation. Des femmes qui ne conçoivent pas qu'on puisse désirer de le faire sans, et des membres de sa famille en particulier les enfants qui n'ont pas compris pourquoi on parlait de notre projet durant les repas de famille.

Quelque part, ça m'a encore plus motivé à continuer à lui mettre dans cette voie, rien que pour leur prouver que c'était possible. Je vais pas vous faire l'affront d'évoquer ici les autres remarques, mais les racontars sur les femmes qui hurlent dans les salles de fist parce qu'elles avaient pas eu ne serait ce qu'une noisette de beurre blablabla... on y a eu droit. C'est marrant quand j'y pense, comme si ça devait nous faire peur pour qu'on finisse par faire comme tout le monde. Mais ça nous a surtout blessé dans le sens où, plutôt que de nous soutenir dans ce choix, ce qui serait logique venant de sa famille, on nous a juste dit "Tu finiras par demander du lubrifiant".

Boom

Qu'importe, même si elle avait peur après toute les horreurs qu'elle avait entendu, moi j'étais sûr de vouloir aller au bout. J'ai donc regardé du côté des clubs libertins et donjon SM ce qu'il été possible de faire selon leurs aménagements pour accueillir notre projet. Et chose assez rare pour être soulignée, la Donjon la plus proche de chez nous avait une salle "nature" justement prévue pour ces pratique, quasi considérées comme atypiques. Et loin de tenir un discours pro-Lub, ils ont été de très bons accompagnants. Enfin, surtout pour elle, logique, c'est le trou de balle de la SDP qui va prendre lol (mais j'avoue que d'être jamais considéré comme un élément important du projet avait fini par me déprimer un peu).

On a ensuite continué de s'informer sur l'enculage à sec, sur les positions de pénétrations (dans une piscine, suspendue debout à des bandes de tissus, à quatre pattes ou encore simplement allongée selon ce qui est le plus confortable pour la SDP). On avait vu la sodomie d'une femme qui se faisait bourrer le cul dans une piscine (en vidéo), c'était impressionnant.

Le jour de la Sodomie tout s'est enchainé. On est arrivé au donjon dans la nuit et après un doigt ou deux, on est allé en chambre en attendant que la situation évolue. Et ça allait évoluer. D'abord des ptits mouvements espacées pour faire de la place, supportables. C'était une attente assez longue, où on essaie de la dilaté comme on peut, on discute, on appréhende, on se rassure, on se motive... c'est un face à face avec la mère de : du choual de ton choix sauf OP* , c'est intime. Et les Ptits mouvements se sont faites plus rapprochées, plus profond, relativement supportables, mais suffisamment intenses pour qu'on nous envoie dans cette fameuse salle nature. On m'a envoyé dans un petit vestiaire pour que j'enfile des protections: des bottes en caoutchouc et un chapeau de marin, j'ai pas trop compris pourquoi mais bref.. puis on m'a emmené dans la salle. J'ai découvert , *la mère du choual de ton choix sauf OP , accrochée aux bandes de tissu, en faisant des mouvements de balancier, comme une grosse mouche prise dans une toile d'araignée, et en respirant fort. C'était plus tout à fait la même personne qui m'avait quittée il y même pas 10 minutes auparavant. J'étais dans la cage d'un animal dont l'objectif immédiat était de se faire défoncé la rondelle.

Et c'est là qu'on découvre sa propre force. Elle, évidemment, qui a déployé une volonté incroyable de patience, de résilience. Mais moi surtout, qui me suis révélé d'une puissance incroyable sur elle. Je suis devenu un sportif quasi sans faille. Il faut savoir qu'à ce stade, vous ne faites plus qu'un avec elle. Elle n'est plus capable de formuler que quelques mots tant l'effort qui se produit en elle est intense. Il faut donc que vous soyez là pour la comprendre, pour communiquer avec elle, pour l'accompagner. J'étais debout derrière elle, je la soutenais physiquement, en lui tirant les cheveux. Et je l'aidais à se balancer, je lui disais de respirer: RESPIRE SALOPE! je respirais avec elle, je l'encourageais: VAS Y SALOPE BOUGE TON CUL! je lui disais à quel point elle était forte: T'AS UN GROS CUL SALOPE! TU LA SENS BIEN MA BITE DANS TON CUL HEIN?!
C'était intense, c'était sans pause et ce jusqu'à la fin. C'était très important qu'elle soit encouragée, pour rester focus, pour atteindre l'objectif, pour être prête à la suite.

On a aussi eu la chance d'avoir son fils en Face time qui nous a mis tout de suite en confiance et qui a été, pour moi, d'un support vraiment important (non, je l'ai pas baisé). Durant la sodomie, bien que le rôle du partenaire se résume beaucoup à du bourinage, c'est physiquement épuisant. Vous faites fasse à des émotions intenses. C'est votre chibre qui va et viens au fond de son cul, c'est la fatigue des apéros qui se sont accumulées et, à plusieurs reprises un peu plus tôt, je me suis senti faillir. Et c'est là que son fils avait sa place, parce qu'il m'encourageait à son tour et, mine de rien, ça remotive de savoir que ce que vous faites, c'est bien (on a appris qu'il avait été dans la situation de sa daronne quelques semaines avant nous et qu'il comprenait ce qu'elle vivait).

On a finit par se retrouver sur le lit, pour l'ultime sprint. C'est là que la daronne a dû trouver une force intérieur incroyable pour s'enfourner la bête. C'était intense et (c'est assez confus pour elle de l'expliquer) selon ses propos, c'était même pas tant la douleur qui la pesait, mais l'épuisement. Certes, c'était douloureux (on va pas se mentir), mais il y a tellement d'émotions, d'énergies, de fatigues qui se mêlent, j'avais l'impression parfois qu'elle était là, sans l'être vraiment. Limite, elle se souvient surtout de la douleur du cercle de feux (c'est le passage de la couronne du gland, la sensation que l'écartement va au delà des limites possibles du corps). Mais c'est une sensation qui est passagère, un instant relativement court quand on prend en compte toute la durée de la sodomie.

Une fois ma semence sortie, c'était la délivrance. Toutes les tensions avaient disparues, toutes les douleurs se sont envolées (ou presque), on est envahit par une vague d'émotions très intenses. J'avais la teub pleine de merde et de sang (no scato), totalement dégeulasse. Mais qui peut rester stoïque quand on s'est autant investi dans le défonçage d'un cul?

Je termine ici, je crois que la pavé est suffisamment grand. Le but n'est pas de dire que le lubrifiant ça pue du cul et que la sodo- physio, c'est trop génial. C'est juste d'apporter un témoignage de ce que ça représente, que malgré ce qu'on peut en dire, c'est pas insurmontable ni si terrible que ça. Il faut être préparée, accompagnée, et chacun, dans le couple, à une part de boulot à faire. Le rôle du partenaire n'est pas négligeable. Chacun fait avec ses propres capacités, ses propres limites, mais ne vous laissez pas polluer par des avis de gens qui ne l'ont pas vécu où qui ont juste "entendu que...". Et même si vous faites le choix de la vaseline, intéressez-vous quand même à l'enculage à sec, on sait jamais, si jamais vous étiez amenée à ne plus avoir le choix.

TL;DR : J'ai toujours pas compris pourquoi les bottes en caoutchouc.