C'est une licence suffisamment imposante pour que même un épisode médiocre fasse un joli score au box-office, c'est d'ailleurs tout le problème, un peu comme avec la licence Assassin's creed en jeux-vidéo : il a fallu enchaîner les projets douteux à un rythme effréné pour créer la saturation, avant ça se vendait quoi qu'il arrive et comme ça se vendait quoi qu'il arrive, ça laissait entendre que la stratégie était la bonne.
Concernant Kathleen Kennedy, la dame était pas franchement en odeur de sainteté chez Lucas Films, j'imagine que pas mal d'employés seront soulagés de son départ.
Ils vont pas tarder à virer la moitié de leur effectif comme tous les studios d’animation cette année