Grosse gastro

Aujourd'hui dur dur, grosse gastro, j'ai repeints les WC et l'odeur s'est imprégné dans les murs, maintenant on croirait vivre dans une fausse sceptique, c'est invivable, je pense mettre fin a mes jours sous peu.

Jour deux :

L'atmosphère est de plus en plus lourde et pesante et cela ce fait ressentir sur la gravité même de l'appartement, la balance indique même que je pèse 90 kilos et une bouteille vide étant tombé au solce matin a traversé le sol et est atterri chez le voisin du dessous, ce qui a crée une dépression d'air et maintenant le mal a atteint sa résidence aussi.

Petit a petit, l'odeur de merde et la pression atmosphérique augmente et prend de l'ampleur

Jour 5 : tout ce qui est électronique ne marche plus, portable, ordinateur, télé 4 k, nous n'avons plus accès à rien et je suis donc dans mon cyber café favoris pour rédiger la suite de ce calvaire.

Tout l'immeuble ainsi que les 100 mètres autour sont touché par la déferlante de merde. Des équipes de secours ainsi que la presse sont sur place pour essayer de canaliser l'anomalie, mais pour l'instant nous n'avons aucune information sur l'ampleur que va prendre cette histoire, les pompier nous interdisent formellement d'allumer des bougies pour nous éclairer ou d'utiliser le gaz pour la cuisine car le méthane se dégageant des WC pourrait faire exploser tout l'immeuble et créer une onde capable de détruire toute les fenêtres sur 20km dû a l'onde de choc.


Jour 14 :

Mon dieu qu'ai je fait , la situation empire d'heure en heure, nous avons dû fuir la ville car quelqu'un ayant voulu allumer une cigarette dehors a fait exploser toute une rue et notre bâtiments est en flamme continuellement a present. Toute la ville est voué à disparaitr, selon l'état, il n'y a plus de solution a part poser un dôme de béton sur le lieu principal, des chercheurs et des hommes en combinaison anti radiation de rendent z tour de rôle dans la zone pour effectuer des tests mais le dôme reste la seule solution a present.


Jour 31

Le dôme a été posé, 436 travailleurs sont mort durant le chantier extrême, le matériel et les conditions on fait périr les plus sensible, l'odeur fécal continue a provoqué chez certain des malaise qui les on conduit a épuiser leurs stock d'air. On dénombre au total 981 mort depuis le début de cet enfer que j'ai causé. Aujourd'hui je suis dans une prison haute sécurité qui empêchera a mon sphincter de récidiver ce crime contre l'humanité. Je ne sais pas qui pourra lire ces mots mais mes remords sont réel et aujourd'hui je vais mettre fin a mes jours en partant dans la cellule pour m'étouffer . A dieu.