Mon rêve du 10 Juin

Voilà c'est mon rêve du 10 juin enjoy. Le partie "rêve" commence quand je l'annonce btw


Il fait nuit, et comme chaque nuit, ma pensée évolue au rythme du soleil. Il fait nuit, et comme chaque nuit, le soleil s'écrase.

Introspection, illusion, désillusion, maintenant, ni la pâleur de la lumière, ni la chaleur que dégage ce foutu PC n'a d'effet.

Nous sommes le 10 Janvier. Après cette quatrième nuit blanche, je dors, je rêve. Je laisse choix à la lucidité de venir ou non prendre part à ma trêve.

Il est temps, fermons les yeux.

. . .

La première scène prend place lors d'une randonnée en famille. Ou du moins, des personnes inconnues, qui sont censés être ma famille, ils se définissent comme tel, je le sens, mais je ne les ais jamais vus. Le ciel est bleu, le chemin de pierre et de cailloux tranchés s'affine au point de ne paraître, au loin, que le rebord d'une lame. D'un côté, le précipice, de l'autre, le dos paisible de la montagne qui dort. Je serais le personnage nommé Gleaf.

Gleaf : Heeey ! Ne serions-nous pas dans les montagnes qui se trouvent en Russie ? Ça y ressemble !
Personne 1 : … Tu dis n'importe quoi. Allez, avance.

J'éprouvais une certaine lucidité à ce moment là. Un besoin de curiosité, de vérifier.

Je gratte alors de ma main le versant de la montagne qui s'offre à ma portée. C'est un rêve, alors je m'imagine que la texture de la terre me permettra d'évaluer ma position sur Terre. Grave erreur. Je gratte, encore un peu. Le versant commence à gronder. La terre s'effile, le temps s'accélère. La montagne est maintenant en train de s'écrouler sur moi, sur nous. Le terrain glisse, glisse vers nous. C'est beau. Je n'ai plus le temps. Je cours, je dérape, je continue. C'est ainsi.

Nous pourrions dire que la scène qui va suivre n'a aucun rapport et, pourtant,dans mon rêve, tout s'est enchaîné à ce moment.

Je continue ma course folle, au loin, une ombre, un voix :

Personne 2 : Alors ? Tu faisais quoi ? Que fais-tu ici, d'ailleurs ?

Je ne suis toujours pas arrêter. En voulant arriver à sa hauteur, je brise une flaque qui jonchait le sol. Une flaque, de sang. ET je n'en connais pas l'origine. Je suis complètement couvert maintenant, ça ne me dérange pas. Je découvre les lieux, une clairière, comme un plaine perdue entre deux sapins, traversé d'une rivière à l'orée, et d'un pont en bois la surplombant.

Gleaf : Je n'ai pas le temps. Désolé. Je dois y aller. Je dois […]

Ici, mes mots se perdent. Je ne sais pas ce que j'ai dis. Toujours ets-il que j'ai effectivement bougé puisque la scène suivante se passe complètement ailleurs, et n'a absolument aucun rapport.

Je suis à présent dans une maison, un abri très vaste de style japonnais. Je pense qu'il se trouve lui aussi au milieu d'une clairière. Il fait nuit, et je me trouve dans une chambre, assis sur un lit. Dans le même esprit, la pièce n'est qu'un simple planché, des murs blancs, un lit. Une large baie vitrés recouvre l'intégralité du mur portant sur l'extérieur. De là, je vois des fragments de lunes et ses poussières d'étoiles. Je ne peux pas dormir.

Une fois encore, mon esprit galope ailleurs. Nous sommes au même endroit, mais nous changeons de pièce, et je vois désormais à travers les yeux d'une autre personne. Je suis conscient, dans mon rêve de ça.

Dans cette maison se trouve plusieurs chambre. Dans une se trouve inconnu, je ne le connais pas. Mais je vois à travers ses yeux. C'est un homme d'âge mature, la quarantaine. Une carrure de forestier, une casquette sur le chef, il semble occupé. Une ombre passe à sa fenêtre. Une ombre, en forme de faucheuse. L'homme le remarque. Surpris, oui, mais le temps de le réalisé, il meurt.

Je reprend possession de ma conscience et de la pièce où je me trouvais. Je suis totalement lucide maintenant et, je ne contrôle pas mon environnement extérieur. Je n'en ai pas envie. J'ai peur, je suis captivé.

L'ombre arrive à ma fenêtre, sous la même forme. Tout doucement, mon dernier rempart entre l'inconnue et moi s’entrebâille. J'ai peur, c'est captivant. Ma curiosité est piquée. Soudain entre la personne. Je dois là avouer que je ne m'y attendais pas, ou peu. Mais loin d'être surpris, je veux lui parler. C'est une fille stéréotype de ces mangas pseudo sombre, qui incarneré une fausse pureté maladivement schizophrénique. D'apparence, grande, fine, les cheveux à mi-chemin entre le blond et l'albâtre. D'aussi clair en effet, c'était sa peau, c'était son voile lui servant d'unique tenue. Le reflet de lune encore présent lui donnait un air surréaliste. Et nous avons parlé.

Dans mon rêve, il y eu lieu ici d'une conversation. Mais souvenirs trop flous ne serait plus prompt à transcrire exactement le récit et établir la vérité sans dévier des événement. Je préfère donc résumé ça en un paragraphe explicatif.

Comme je m'y attendais, tant cela était prévisible, elle ne connaît pas son nom. Elle dit être une forme de vie extra terrestre qui s'est égaré. C'est sa première venue sur Terre. Nous avons sympathisé, mais la question est venu. Qu'en est-il, de la terre, aujourd'hui ? Je devais lui répondre. De là, je commençais mon récit.

Nous entrons ici dans une phase de rêve-ception, si je puis dire. Dans tout les cas, cette scène prend fin et je ne reverrais plus jamais cette personne. Ici commence un nouveau rêve, celui de mon récit.

Les évènements dans ma tête sont encore flous. J'ai passé les 3 jours suivant mon têve a essayé de restituer leur ordre. Je ne pense pas avoir réussie. Tout cela était tellement réel. Pourtant, tout cela n'avait aucun lien avec la réalité commune à notre chère humanité .

Je suis Gleaf, un citoyen lambda, mon importance dans ce récit est nulle. Je vis dans la ville-mère. Nous sommes, moi et Ville-mère, liés par un pacte nous empêchant d'être séparés, comme à chaque citoyen. La société à évolué relativement positivement, la technologie fleurie de temps à autre. Je ne compte plus les années, mais nous devrions bientôt entamé l'an 2188. Voyez par vous-même : Mon Oncle est vendeur de Pizza. Il vient de créer son entreprise, et c'est sûrement la plus belle de ses créations. Je suis fier de lui. Grâce à elle, il est devenu célèbre, important, et surtout, riche.

Même ville, même histoire, autre scène.

Que s'est-il passé ? J'ai entendu les gens crier, affolés. Ils semblaient terroriser, tous levaient les yeux au ciel, plus personne ne bougeait. Ah, je vois.

En cet instant, un homme, inconnu de tous, survolait la ville à l'aide de Jet-Pack à déchets radioactifs. C'est un jetpack normal, sauf qu'il dégage toute sorte de déchets. Il rit, ce fourbe, dans sa tenue de Dandy. Inconsciemment, je sais pourquoi il est là. Il en veut à notre entreprise. J'ai l'impression que quelque chose de bien plus important se joue-à.


Ici, mon esprit à bien voulu m'expliquer ce qu'il mijotait. De ce fait, cette scène prend fin. Il est normale de ne pas l'avoir comprise, ou même de ne jamais la comprendre. Je ne suis même pas sûr de comprendre ce que je vais tenté d'expliquer.

Notre ville mère a été bâtie sur des ruines, celles précédents une grande guerre, comme nous, humains, en avons toujours connus. Les gouvernements, voulant faire fît d'un passé sans gloire ont, à la manière des chats, recouvert leur erreur d'une couche de mensonges et de subterfuges. C'est ainsi que les ruines de ce monde ancien ont disparus. Elles ont été enfermés dans une faille espace-temps ne répondant à aucun ordre, à aucune logique. Cet endroit inconnu ou oublier, se nomme le Monde Zéro. Le Monde, étant notre passé, le monde étant, aussi, notre futur. Mon rêves n'auraient pas été intéressant s'il n'y avait pas eu d'histoire et de facteurs Méchants / Gentils pour l'animé. Ainsi, en ce monde où la déprave règne, n'habite qu'un seul homme, Maire auto-désigné. C'est lui, qui vient de temps à autres attaqué les citoyens de la ville mère. Il traverse la faille, et revient dans le monde « Réel ». Seul lui en ai capable.

A ce moment, une scène étrange coupe mon récit

Je suis Gleaf, engagé, et prônant une idée. Avec moi, d'autres personnes. Nous ne sommes pas nombreux, mais nous comptons mettre un terme à tout cela. Actuellement, nous aussi voyageons. Je suis en 10 632, sur une exo-planète. Le paysage, c'est une clairière, avec un lac au milieu. Il fait si beau, si chaud. C'est si paisible. Mais maintenant, il temps, allons-y.

Mon rêve à continué, j'avais déjà perdu toute lucidité depuis mon dialogue avec l'extra terrestre. La suite est trop floue pour être pertinente. Il ne sert à rien de la compter, si ce n'est que déjà, rien n'est très clair.



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MaximeT90
MaximeT90
11 ans

Pavé César oh god

Polowan
Polowan
11 ans

On a vu pire en terme de pavé sur choualbox je crois o/

Jango
Jango
11 ans

C'est un beau roman, c'est une belle hiiistoire

boulbi
boulbi
11 ans

Didn't read , looool !!

Matt0122
Matt0122
11 ans

tl dr

Polowan
Polowan
11 ans

Pourtant c'est assez aéré.

CerealeKiller

Ligne 6 : 10 Juin*
"rêve-ception" pléonasme, une inception c'est déjà un rêve-ception comme tu dis.
Sympa, mais y a pas la partie ou t'es un gorille, que tu tues des gens et que tu leur parles, ou alors c'est moi même qui ai rêvé lorsque tu me l'as raconté.
Sinon un truc sympa à rajouter éventuellement, c'est de mettre en italique les passages ou tu sors du récit, même si je sais pas comment on fait.

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