Bien avant l’autre baltringue de Prison Break, s’est développée au sein des prisons soviétiques toute une sous-culture liée à l’art du tatouage. Sous l’impulsion des sanguinaires Vory v Zakone (« les voleurs dans la loi »), ces tatouages sont devenus une véritable carte d’identité des prisonniers, phénomène répandu dans la Russie communiste.
http://lignesdefrappe.com/vory-v-zakone/