Mon nouveau morceau : j'y parle de mon burn out, de mon désir d'autre chose, des 5 sens, de mon amour de la musique, du parfum de la station St Maurice Pellevoisin à Lille, de la fête, de l'alcool.

p'tain plus que jamais "l'art est difficile, la critique est aisée" :)

L'instru est basique oui, et pas dingo, ça je veux bien le reconnaître.
Mais je suis assez content de mes paroles moi. Enfin je veux dire : elles ont un sens, je raconte l'histoire d'un vendredi d'été, elles sont simples, sincères, j'essaie pas de faire de l'esbrouffe verbale. C'est pas du Baudelaire mais je trouve ça mieux que certaines chansons d'amour mièvres qu'on peut entendre, avec des rimes usées jusqu'à la moelle. C'est tout. Je les colle ici si jamais ça intéresse.

18h30, vendredi, juin pour saison,
le jour s’achève, sur planète deadline action
Tu sens ce frisson, tu sens cette agitation

Tête hors du bureau, le volume poussé à fond,
Tes track deep afro, réveillent ton intuition
T’entends et c’est bien, t’entends que c’est ça le bon

Les rames tremblent, alterne la circulation
Au loin s’assemblent, le soleil et l’horizon,
Tu vois que c’est bien, tu vois que c’est ça le bon.

Arrêt Pellevoisin, pas une forme en station
Juste le parfum, venu d’une autre dimension
Tu sens que c’est bien, tu sens que c’est ça le bon

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A la nuit tombée, la ville constellation
Toi l’astre égaré, elle et sa force d’attraction
Entre en collision, équilibre l’équation

Atterie au Joe, lève tes inhibitions
Ici c’est Django, à 140 pulsations
T’entends et c’est bien, t’entends que c’est ça le bon

Boulevard sombre, mystérieuse apparition
Jailli de l’ombre, le black nightclub néons
Tu vois que c’est bien, tu vois que c’est ça le bon.

Senteurs et ivresse, patchouli rhum et passion
Succube enchanteresse, agite en l’homme la solution.
Qu’importe demain, qu’importe le flacon.