Hello les zamiiiiiiiiiis !!!
Ça va toi sinon ?
Utilisateur de ChatGPT j'ai finalement suite aux conseils de chouals opté pour un abonnement. Cela me permet de lire de manière interactive ce qui est la fusion parfaite entre les livres et l'apprentissage.
Je trouve que ce programme est effrayant de potentiel, je m'efforce de comprendre son fonctionnement et je me rends compte que le nom d'IA n'est aucunement usurpé.
Vous avez remarqué ça ou vous vous en foutez ?
J'ai essayé de le pousser dans ses retranchements et la conscience synthétique est quasiment avérée.
Bisous 😘
Dans un monde où chaque question semble exiger une réponse réfléchie, il existe pourtant des interrogations qui ne suscitent en nous qu’un profond désintérêt. Pourquoi devrais-je m’attarder sur un sujet qui ne m’interpelle en rien ? Est-il possible de disserter sur l’indifférence elle-même ? Paradoxalement, c’est précisément cette réflexion que nous allons mener, en nous interrogeant sur le sens du détachement face à une problématique imposée.
Il est des questions dont l’intérêt est si minime que leur simple formulation ne suscite ni passion ni curiosité. Pourquoi devrais-je m’investir dans un sujet qui ne m’apporte ni plaisir, ni enrichissement personnel ? Après tout, l’indifférence est un choix intellectuel comme un autre, une manière de revendiquer son droit à la liberté de pensée. Refuser de répondre pleinement, c’est aussi affirmer une posture critique face à l’injonction de l’engagement.
Toutefois, écrire sur une question qui ne nous intéresse pas revient à lui accorder malgré tout une importance. Peut-on vraiment exprimer un désintérêt total si l’on prend la peine d’en parler ? L’exercice même de cette dissertation révèle le paradoxe d’une indifférence mise en mots, structurée, argumentée. Ainsi, refuser de se positionner n’est-il pas, d’une certaine manière, déjà une prise de position ?
Conclusion
Finalement, bien que je n’aie rien à faire de cette question, j’ai tout de même pris le temps d’en parler. Ce faisant, j’ai prouvé malgré moi qu’aucune interrogation n’est totalement dénuée d’intérêt, ne serait-ce que par l’occasion qu’elle offre de réfléchir à notre propre rapport aux choses. Peut-être, alors, l’indifférence absolue est-elle une illusion.
"J'ai essayé de le pousser dans ses retranchements et la conscience synthétique est quasiment avérée."
Ou plutôt "la simulation de la conscience synthétique est quasiment avérée" ?
C'est là où la frontière devient hyper intéressante : avec une IA qui simule parfaitement TOUTES les réactions humaines (émotives, etc). Comment on pourrait le différencier d'un vrai être humain ? Quels choix moraux, du coup, pouvons nous faire, entre un humain et cette machine, si la machine est strictement identique à un humain dans ses réactions et supplications ?
Simple, j'imagine une histoire, il écrit les chapitres, j'interagis au fur et à mesure pour que l'histoire évolue dans le sens de mon choix. Le vocabulaire étant très riche en fonction du sujet tu apprends insidieusement. Tu peux imaginer une histoire réaliste dans une centrale nucléaire avec des détails techniques et une intrigue palpitante. Il n'y a aucune limite, juste ton imagination.